mercredi 29 février 2012

Les StelR-2 – phrase 54

Al mirarlo lo sintió suyo como no lo sentía hace más de cien años, de su sangre y de su carne... como a un hijo que murió joven. 

Traduction temporaire :
En le regardant, il eut la sensation qu'il lui appartenait comme il ne l'avait plus éprouvé depuis plus de cent ans, qu'il était de son sang et de sa chair… Il lui sembla se trouver face à un fils mort trop jeune.

4 commentaires:

Amélie a dit…

En le regardant, il eut la sensation qu'il était à lui comme cela ne lui était pas arrivé depuis plus de cent ans, qu'il était de son sang et de sa chair… comme un fils mort trop jeune.

J'avoue qu'une nouvelle fois, je ne comprends pas du tout où va l'auteur, donc j'ai du mal à saisir le sens de la fin de la phrase.

Tradabordo a dit…

1) « qu'il était à lui » ou « qu'il lui appartenait » ?
2) « comme il ne l'avait plus éprouvé… »
3) « était » ou « appartenait » ?
4) la fin « et il lui sembla être devant / face à un fils… »
(je crois que l'idée est l'inversion des rôles, précisément parce que le fils est bien plus vieux, etc.)

Qu'en penses-tu ? Réfléchis bien à tout ça… et prends mes propositions comme ce qu'elles sont : juste des pistes.

Amélie a dit…

En le regardant, il eut la sensation qu'il lui appartenait comme il ne l'avait plus éprouvé depuis plus de cent ans, qu'il était de son sang et de sa chair… Il lui sembla se trouver face à un fils mort trop jeune.

Tradabordo a dit…

En le regardant, il eut la sensation qu'il lui appartenait comme il ne l'avait plus éprouvé depuis plus de cent ans, qu'il était de son sang et de sa chair… Il lui sembla se trouver face à un fils mort trop jeune.

Je mets la suite.