dimanche 18 novembre 2012

Les Lituma – phrases 245-246

Después,  ni siquiera eso, el recuerdo de Juan no existiría más; por lo tanto, él tampoco,  se habría integrado a la nada desde la cual venía. (En ocasiones, es mejor deshacerse del recuerdo para sobrevivir, dejar atrás a quienes compartieron una parte de su vida con nosotros.

Traduction temporaire :

Après,  même le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus. Il serait réduit au néant dont il provenait. (Parfois, il est préférable de se libérer du souvenir pour survivre, laisser derrière soi ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.

11 commentaires:

Sonita a dit…

Après, même plus ça, le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus, il se serait assimilé au vide duquel il provenait. (Parfois, il est préférable de se défaire du souvenir pour survivre, laisser derrière ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.

Tradabordo a dit…

Après, même plus ça [????], le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus, [ponctuation ?] il se serait assimilé [temps] au vide duquel il provenait. (Parfois, il est préférable de se défaire [ou « libérer » ?] du souvenir pour survivre, laisser derrière [« nous » ou « soi » ; en tout cas, il faut une cheville] ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.

Sonita a dit…

Après, ni même ça, le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus. Il aurait été assimilé au vide duquel il provenait. (Parfois, il est préférable de se libérer du souvenir pour survivre, laisser derrière soi ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.

Tradabordo a dit…

Après, ni même ça [incorrect], le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus. Il aurait été [« serait » ?] assimilé au vide duquel il provenait. (Parfois, il est préférable de se libérer du souvenir pour survivre, laisser derrière soi ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.

Sonita a dit…

Après, ni même pas ça, le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus. Il serait assimilé au vide duquel il provenait. (Parfois, il est préférable de se libérer du souvenir pour survivre, laisser derrière soi ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.

Elodie a dit…

Après,même le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus. Il serait assimilé au vide duquel il provenait. (Parfois, il est préférable de se libérer du souvenir pour survivre, laisser derrière soi ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.


Juste une question : on ne pourrait pas remplacer "vide" par "néant" ? Le mot est peut-être un pleu plus fort.

Tradabordo a dit…

OK, Élodie.

Pour l'ensemble, je vous propose :

Après, même le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus. Il serait réduit au néant dont il provenait. (Parfois, il est préférable de se libérer du souvenir pour survivre, laisser derrière soi ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.

OK ?

Sonita a dit…

OK.

Après, même le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus. Il serait réduit au néant dont il provenait. (Parfois, il est préférable de se libérer du souvenir pour survivre, laisser derrière soi ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.

Tradabordo a dit…

Validation d'une autre Lituma, svp.

Elodie a dit…

Après, même le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus. Il serait réduit au néant dont il provenait. (Parfois, il est préférable de se libérer du souvenir pour survivre, laisser derrière soi ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.


OK.

Justine a dit…

Après, même le souvenir de Juan n’existerait plus et, par conséquent, lui non plus. Il serait réduit au néant dont il provenait. (Parfois, il est préférable de se libérer du souvenir pour survivre, laisser derrière soi ceux qui ont partagé une part de leur vie avec nous.


OK.