lundi 19 novembre 2012

Projet Céline – phrase 34

Sí, efectivamente en esa ocasión que ahora le parecía tan lejana, o quizás inexistente, él, una noche, incluso una noche de felicidad, o por lo menos de tranquila sensualidad, que estaba casi seguro de ello, que él pensó en irse, en irse rápidamente,  absolutamente mañana, pasado mañana, el sábado, pero después del llanto y del sudor, de ese sudor y ese llanto que los separaba y los mantenía unidos, había seguido yendo a la ciudad, a hacer compras en el supermercado, a mirar las camisas en la sastrería y, de vez en cuando, entre la entrada y la salida a algún bar en que se servía, solo, siempre solo, una cerveza o un schnell, cansado, desorientado, regresaba a la casa,  siempre regresaba.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

5 commentaires:

Unknown a dit…

Oui, effectivement, c’est à cette occasion - qui à présent lui paraissait tellement éloignée, ou peut-être inexistante - que lui, une nuit, même une nuit de bonheur, ou du moins de paisible sensualité, il en était presque certain, il pensa partir, partir rapidement, impérativement demain, après-demain, samedi ; mais après les larmes et la sueur, cette sueur et ces larmes qui les séparait et les maintenait unis, il avait continué à aller en ville pour faire des courses au supermarché, pour regarder les chemises chez le tailleur et, de temps en temps, entre l’entrée et la sortie d’un bar où il se servait, seul, toujours seul, une bière ou un schnell, fatigué, désorienté, il rentrait chez lui, il rentrait toujours.

Tradabordo a dit…

Oui, effectivement [que penses-tu de le mettre après « c'est » – notamment pour éviter « l'entrevirgulage » ?], c’est à cette occasion - qui à présent lui paraissait tellement [ou « incroyablement » ?] éloignée [pourquoi pas « lointaine » ?], ou peut-être inexistante - que lui, une nuit [ou « qu'une nuit, …………, il » ?], même une nuit de bonheur,

Fais déjà ça.


ou du moins de paisible sensualité, il en était presque certain, il pensa partir, partir rapidement, impérativement demain, après-demain, samedi ; mais après les larmes et la sueur, cette sueur et ces larmes qui les séparait et les maintenait unis, il avait continué à aller en ville pour faire des courses au supermarché, pour regarder les chemises chez le tailleur et, de temps en temps, entre l’entrée et la sortie d’un bar où il se servait, seul, toujours seul, une bière ou un schnell, fatigué, désorienté, il rentrait chez lui, il rentrait toujours.

Unknown a dit…

Oui, c’est effectivement à cette occasion - qui à présent lui paraissait incroyablement lointaine, ou peut-être inexistante – qu’une nuit, même une nuit de bonheur, ou du moins de paisible sensualité, il en était presque certain, il pensa partir, partir rapidement, impérativement demain, après-demain, samedi ; mais après les larmes et la sueur, cette sueur et ces larmes qui les séparait et les maintenait unis, il avait continué à aller en ville pour faire des courses au supermarché, pour regarder les chemises chez le tailleur et, de temps en temps, entre l’entrée et la sortie d’un bar où il se servait, seul, toujours seul, une bière ou un schnell, fatigué, désorienté, il rentrait chez lui, il rentrait toujours.

Tradabordo a dit…

Oui, c’est effectivement à cette occasion - qui à présent lui paraissait incroyablement lointaine, ou peut-être inexistante – qu’une nuit, même [ou « y compris » ? Je te laisse trancher] une nuit de bonheur, ou du moins de paisible sensualité, il en était presque certain, il pensa partir [ou « s'en aller » ?], partir rapidement, impérativement demain [ou « lendemain » ?], après-demain [ou « le jour d'après » ?], samedi ; mais après les larmes et la sueur, cette sueur et ces larmes qui les séparait [« aient » ?] et les maintenait [idem] unis, il avait continué à [« de »] aller [« se rendre »] en ville pour faire des courses au supermarché, pour [obligée de répéter ?] regarder les chemises chez le tailleur et, de temps en temps, entre l’entrée et la sortie d’un bar où il se servait [???????], seul, toujours seul, une bière ou un schnell, fatigué, désorienté, il rentrait chez lui, il rentrait toujours.

Unknown a dit…

Oui, c’est effectivement à cette occasion - qui à présent lui paraissait incroyablement lointaine, ou peut-être inexistante – qu’une nuit, y compris une nuit de bonheur, ou du moins de paisible sensualité, il en était presque certain, il pensa s’en aller, s’en aller rapidement, impérativement le lendemain, le jour d'après, samedi ; mais après les larmes et la sueur, cette sueur et ces larmes qui les séparaient et les maintenaient unis, il avait continué de se rendre en ville pour faire des courses au supermarché, regarder les chemises chez le tailleur et, de temps en temps, entre l’entrée et la sortie d’un bar où on lui servait, seul, toujours seul, une bière ou un schnell, fatigué, désorienté, il rentrait chez lui, il rentrait toujours.