jeudi 24 juillet 2014

Projet Elsa 2 – phrases 18-19

El hombre quedó mucho más tranquilo.
Se acostumbró a compartir las noches con protagonistas tan singulares hasta que un día despertó convertido en pez y no pudo hacer nada por llegar a coletazos hasta la piscina.

Traduction temporaire :
L’homme se sentit bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes aussi singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson, n’arriva pas à donner des coups de nageoires pour atteindre la piscine.

17 commentaires:

Unknown a dit…

Maria Sergia Martin Gonzalez

L’homme demeura bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec ces protagonistes si singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson et il ne pu rien faire pour arriver jusqu’à la piscine à coups de queue.

Unknown a dit…

Maria Sergia Martin Gonzalez

L’homme demeura bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec ces protagonistes si singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson et il ne pu rien faire pour arriver jusqu’à la piscine à coups de nageoire.

Tradabordo a dit…

L’homme demeura bien plus serein [en fait, c'est qu'il est rassuré, non ? Et dans ce cas, le dirait-on vraiment comme ça ?]. Il s’habitua à partager ses nuits avec ces [pourquoi ?] protagonistes si singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson et il ne pu [grammaire] rien faire pour arriver jusqu’à la piscine à coups de nageoire [manque de fluidité].

Unknown a dit…

Maria Sergia Martin Gonzalez

L’homme demeura bien plus apaisé [ ?] [en fait, c'est qu'il est rassuré, non ? Et dans ce cas, le dirait-on vraiment comme ça ?]. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes si singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson et il ne put rien faire pour atteindre la piscine [ou je garde « pour arriver jusqu’à la piscine »] en battant des nageoires [ ?] [manque de fluidité].

Tradabordo a dit…

L’homme demeura bien plus apaisé [ ?] [en fait, c'est qu'il est rassuré, non ? Et dans ce cas, le dirait-on vraiment comme ça ? // en fait, « serein » allait mieux ; c'est « demeuré » qui pose pb].

Effacez nos commentaires… car je n'y comprends rien. Mettez juste autre chose.

Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes si singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson et il ne put rien faire pour atteindre la piscine [ou je garde « pour arriver jusqu’à la piscine »] en battant des nageoires [ ?] [manque de fluidité].

Unknown a dit…

Maria Sergia Martin Gonzalez

L’homme fut bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes si singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson et il ne put rien faire pour atteindre la piscine en battant des nageoires.

Tradabordo a dit…

L’homme fut [« se sentit » ? Comme vous voulez] bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes si [« aussi »] singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson et il ne put rien faire [mal dit ; pas naturel] pour atteindre la piscine en battant des nageoires.

Unknown a dit…

Maria Sergia Martin Gonzalez

L’homme se sentit [pour éviter de griller le verbe être] bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes aussi singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson et il n’arriva pas à battre des nageoires pour atteindre la piscine.

Tradabordo a dit…

L’homme se sentit bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes aussi singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson et il [nécessaire ?] n’arriva pas à battre des nageoires [sûre, au fait ?] pour atteindre la piscine.

Unknown a dit…

Maria Sergia Martin Gonzalez

L’homme se sentit bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes aussi singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson, il [Plutôt une virgule à la place de la conjonction de coordination « et », non ?] n’arriva pas à donner des coups de nageoires [vaut-il mieux garder la traduction littérale avec « coups »? Je trouvais ça plus naturel de mettre « battre des nageoires »] pour atteindre la piscine.

Tradabordo a dit…

L’homme se sentit bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes aussi singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson, il [nécessaire ?] n’arriva pas à donner des coups de nageoires [vaut-il mieux garder la traduction littérale avec « coups »? Je trouvais ça plus naturel de mettre « battre des nageoires » // ouais, mais est-ce que l'auteur ne l'aurait pas mis ainsi en V.O. ?] pour atteindre la piscine.

Unknown a dit…

Maria Sergia Martin Gonzalez.

L’homme se sentit bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes aussi singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson il n’arriva pas à donner des coups de nageoires pour atteindre la piscine.

Tradabordo a dit…

L’homme se sentit bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes aussi singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson il [virgule à la place du « il »] n’arriva pas à donner des coups de nageoires pour atteindre la piscine.

Unknown a dit…

Maria Sergia Martin Gonzalez

L’homme se sentit bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes aussi singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson, n’arriva pas à donner des coups de nageoires pour atteindre la piscine.

Tradabordo a dit…

L’homme se sentit bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes aussi singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson, n’arriva pas à donner des coups de nageoires pour atteindre la piscine.

OK.

Tradabordo a dit…

Maintenant, vous pouvez aller dans « Travaux en cours », prendre votre texte, vous assurer que des phrases n'ont pas sauté entre l'espagnol et le français, relire… et m'envoyer le tout quand c'est prêt.
On enchaîne avec autre chose ?

Unknown a dit…

María Sergia Martín González (Espagne)

« Thons freudiens »


Chaque nuit, le même rêve récurrent avec la mort qui lui rendait visite sous la forme de thon. Il ne comprenait pas le sens d’une pareille folie, qui l'amusait même, mais à laquelle il attribua la responsabilité de la mauvaise digestion de ses dîners copieux. Il décida de les alléger et de faire un peu plus d'exercice en réalisant des longueurs dans sa piscine couverte avant de dormir. Loin de disparaître, les cauchemars étaient de plus en plus fréquents. Ce qui, au début, le distrayait et était un sujet de conversation lors de ses déjeuners de travail, se transforma en une véritable angoisse. L’homme, hypocondriaque par excellence, crut que ces images pouvaient être les symptômes de quelque mal, ce qui accrut son désarroi. La réalisation d'un bilan complet permit d’écarter toute maladie, mais cela ne l'empêchait pas de continuer à avoir des rêves. Il pensa que si ce n’était en rien d’origine physiologique, le problème devait venir de sa tête. Désespéré, il décida de faire appel à un psychiatre renommé, convaincu que ses hallucinations nocturnes étaient le fruit d’une terrible maladie mentale.
— Suis-je en train de devenir fou, docteur ? Dites-moi la vérité…

— Vous êtes bien loin de la réalité. Vos rêves sont les prémonitions d’une longue vie; allons, c'est basique — le rassura le médecin. Ni maladie physique, ni maladie mentale. Ce que vous avez, c’est le don de pouvoir rêver de thons… Les célèbres thons freudiens, annonciateurs de longues vies. Je vous envie, mon ami, si seulement je faisais des rêves de cette nature !
L’homme se sentit bien plus serein. Il s’habitua à partager ses nuits avec des protagonistes aussi singuliers, jusqu’au jour où il se réveilla changé en poisson, n’arriva pas à donner des coups de nageoires pour atteindre la piscine.

[J'ai vu deux erreurs, j'ai changé "mes déjeuners de travail" pour "ses déjeuners de travail" + j'avais oublié le tiret avant "le rassura le médecin". Mis à part ça, il me semble que tout est bon, pas d'oubli de phrases, la ponctuation ok... ] C'est ok pour une autre trad.