jeudi 17 juillet 2014

Projet Sarah 19 – phrase 28

Ha dicho que quiere volverse a los cerros, que ella nunca debería haber dejado su tierra, que su padre era baqueano y su mamá era una criolla guapa que pasaba las horas tejiendo ponchos, y que ella dejó aquello, para venirse con usted, que ella le tenía a usted tantas ganas que eso la hizo venirse de los cerros; yo creo que ese es el gran pecado del que ella habla: haber dejado el cerro, por las ganas del cuerpo que tenía de usted; si usted supiera, papá, qué triste que estoy a veces.

Traduction temporaire :
Elle a déclaré vouloir revenir dans les collines, qu'elle n'aurait jamais dû quitter sa terre, que son père était guide de montagne, sa mère une belle criolla qui passait son temps à tricoter des ponchos, qu'elle a tout quitté pour vous suivre ; elle avait tellement envie de vous, qu'elle est partie. Voici, selon moi, le grand péché dont elle parle : avoir abandonné son pays pour le désir que votre corps éveillait en elle ; si vous saviez, papa, combien il m'arrive d'être triste.

9 commentaires:

Unknown a dit…

Elle a déclaré vouloir revenir dans les collines, qu'elle n'aurait amais dû quitter sa terre, que son père était guide de montagne et sa mère une belle créole qui passait ses heures à tricoter des ponchos, et qu'elle a tout quitté pour vous suivre ; elle avait tellement envie de vous qu'elle est partie des collines. Voici selon moi le grand péché dont elle parle : avoir abandonné la colline pour le désir que votre corps lui évoquait ; si vous saviez, papa, combien il m'arrive d'être triste.

Unknown a dit…

Un commentaire ? ;-)

Tradabordo a dit…

Elle a déclaré vouloir revenir dans les collines, qu'elle n'aurait amais [?] dû quitter sa terre, que son père était guide de montagne et [virgule ?] sa mère une belle créole [non, parce que pas la même chose dans les deux langues // ne traduit pas] qui passait ses heures [mal dit] à tricoter des ponchos, et qu'elle a tout quitté pour vous suivre ; elle avait tellement envie de vous [virgule] qu'elle est partie des collines. Voici [virgule] selon moi [virgule] le grand péché dont elle parle : avoir abandonné la colline pour le désir que votre corps lui évoquait [non] ; si vous saviez, papa, combien il m'arrive d'être triste.

Unknown a dit…

Elle a déclaré vouloir revenir dans les collines, qu'elle n'aurait jamais dû quitter sa terre, que son père était guide de montagne, et sa mère une belle criolla qui passait son temps à tricoter des ponchos, et qu'elle a tout quitté pour vous suivre ; elle avait tellement envie de vous, qu'elle est partie des collines. Voici, selon moi, le grand péché dont elle parle : avoir abandonné la colline pour le désir que votre corps éveillait en elle ; si vous saviez, papa, combien il m'arrive d'être triste.

Tradabordo a dit…

Elle a déclaré vouloir revenir dans les collines, qu'elle n'aurait jamais dû quitter sa terre, que son père était guide de montagne, et sa mère une belle criolla qui passait son temps à tricoter des ponchos, et qu'elle a tout quitté pour vous suivre ; elle avait tellement envie de vous, qu'elle est partie des collines [nécessaire de répéter ?]. Voici, selon moi, le grand péché dont elle parle : avoir abandonné la colline [« son pays » ?] pour le désir que votre corps éveillait en elle ; si vous saviez, papa, combien il m'arrive d'être triste.

Unknown a dit…

Elle a déclaré vouloir revenir dans les collines, qu'elle n'aurait jamais dû quitter sa terre, que son père était guide de montagne, et sa mère une belle criolla qui passait son temps à tricoter des ponchos, et qu'elle a tout quitté pour vous suivre ; elle avait tellement envie de vous, qu'elle est partie. Voici, selon moi, le grand péché dont elle parle : avoir abandonné son pays pour le désir que votre corps éveillait en elle ; si vous saviez, papa, combien il m'arrive d'être triste.

Tradabordo a dit…

Elle a déclaré vouloir revenir dans les collines, qu'elle n'aurait jamais dû quitter sa terre, que son père était guide de montagne, et [nécessaire ?] sa mère une belle criolla qui passait son temps à tricoter des ponchos, et [nécessaire ?] qu'elle a tout quitté pour vous suivre ; elle avait tellement envie de vous, qu'elle est partie. Voici, selon moi, le grand péché dont elle parle : avoir abandonné son pays pour le désir que votre corps éveillait en elle ; si vous saviez, papa, combien il m'arrive d'être triste.

Unknown a dit…

Elle a déclaré vouloir revenir dans les collines, qu'elle n'aurait jamais dû quitter sa terre, que son père était guide de montagne, sa mère une belle criolla qui passait son temps à tricoter des ponchos, qu'elle a tout quitté pour vous suivre ; elle avait tellement envie de vous, qu'elle est partie. Voici, selon moi, le grand péché dont elle parle : avoir abandonné son pays pour le désir que votre corps éveillait en elle ; si vous saviez, papa, combien il m'arrive d'être triste.

Tradabordo a dit…

Elle a déclaré vouloir revenir dans les collines, qu'elle n'aurait jamais dû quitter sa terre, que son père était guide de montagne, sa mère une belle criolla qui passait son temps à tricoter des ponchos, qu'elle a tout quitté pour vous suivre ; elle avait tellement envie de vous, qu'elle est partie. Voici, selon moi, le grand péché dont elle parle : avoir abandonné son pays pour le désir que votre corps éveillait en elle ; si vous saviez, papa, combien il m'arrive d'être triste.

OK.