lundi 13 février 2017

Projet Justine / Elena – texte 72

A-parejos

—Ajustame bien la brida —dice.
La experiencia indica no preguntar, entonces, permito que mi mano recorra la piel, tan suave, de su cintura, y mantengo la posición: el lazo recién inaugurado.
No recuerdo su nombre y tampoco importa, el bar donde nos conocimos ahora parece un sueño, la única realidad es el claroscuro de esta habitación y nuestra ropa en el suelo.
Su lengua entra como un balazo en mi boca.
—Ajustá más —murmura luego en mi oído.
Loco por alcanzar la tierra fértil que oculta su broza, ciño cuanto puedo el abrazo.
—No es suficiente —declara apartándose de pronto, más fría que el hielo. Y para mi enorme sorpresa da media vuelta, me amaga una coz y se marcha al trote.
Carla, creo que se llama Carla.

Traduction temporaire :

Dés-assortis

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipulant de ne pas demander, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde cette position : le lien tout juste établi.
Je ne me rappelle pas son prénom, et ce n'est pas non plus important. Le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.
Sa langue pénètre dans ma bouche tel un coup de feu.
— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Poussé par l'envie folle d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je l'étreins de toutes mes forces.
— Ce n'est pas suffisant, se plaint-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.
Et, à ma très grande surprise, elle fait demi-tour, feint de me donner un coup de pied et s'en va en trottinant.
Carla, je crois qu'elle s'appelle Carla.

38 commentaires:

Justine a dit…

A-parejos

—Ajustame bien la brida —dice.
La experiencia indica no preguntar, entonces, permito que mi mano recorra la piel, tan suave, de su cintura, y mantengo la posición: el lazo recién inaugurado.

Dis-semblables

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience indique qu'il ne faut pas poser de question, alors, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je maintiens la position : le lien tout juste établi.

Justine a dit…

A-parejos

—Ajustame bien la brida —dice.
La experiencia indica no preguntar, entonces, permito que mi mano recorra la piel, tan suave, de su cintura, y mantengo la posición: el lazo recién inaugurado.

Dis-semblables

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience indique qu'il ne faut pas poser de question, alors, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je maintiens la position : le lien tout juste établi.

Elena a dit…

"aparejo" = "harnais", mais pour le moment, je ne vois pas comment rendre le jeu de mots.

Tradabordo a dit…

Finissons et nous verrons le titre quand on aura terminé. Il faudra m'y faire penser avant que je fasse le copier-coller.

—Ajustame bien la brida —dice.
La experiencia indica no preguntar, entonces, permito que mi mano recorra la piel, tan suave, de su cintura, y mantengo la posición: el lazo recién inaugurado.

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience indique [bof] qu'il ne faut pas poser de question [ou « demander », justement ?], alors, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je maintiens [« garde »] la [ou possessif ?] position : le lien tout juste établi.

Justine a dit…

—Ajustame bien la brida —dice.
La experiencia indica no preguntar, entonces, permito que mi mano recorra la piel, tan suave, de su cintura, y mantengo la posición: el lazo recién inaugurado.

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipule qu'il ne faut pas demander, alors, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde sa position : le lien tout juste établi.

Elena a dit…

—Ajustame bien la brida —dice.
La experiencia indica no preguntar, entonces, permito que mi mano recorra la piel, tan suave, de su cintura, y mantengo la posición: el lazo recién inaugurado.

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipule qu'il ne faut pas demander, alors, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde sa ["cette" ?] position : le lien tout juste établi.

Tradabordo a dit…

—Ajustame bien la brida —dice.
La experiencia indica no preguntar, entonces, permito que mi mano recorra la piel, tan suave, de su cintura, y mantengo la posición: el lazo recién inaugurado.

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipule [« stipulant » ? Ça permettrait de faire un peu de ménage après] qu'il ne faut pas demander, alors, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde sa ["cette" ?] position : le lien tout juste établi.

Justine a dit…

—Ajustame bien la brida —dice.
La experiencia indica no preguntar, entonces, permito que mi mano recorra la piel, tan suave, de su cintura, y mantengo la posición: el lazo recién inaugurado.

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipulant de ne pas demander, alors, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde cette position : le lien tout juste établi.

Tradabordo a dit…

—Ajustame bien la brida —dice.
La experiencia indica no preguntar, entonces, permito que mi mano recorra la piel, tan suave, de su cintura, y mantengo la posición: el lazo recién inaugurado.

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipulant de ne pas demander, alors, [pas besoin de ça, du coup !] j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde cette position : le lien tout juste établi.

Justine a dit…

—Ajustame bien la brida —dice.
La experiencia indica no preguntar, entonces, permito que mi mano recorra la piel, tan suave, de su cintura, y mantengo la posición: el lazo recién inaugurado.

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipulant de ne pas demander, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde cette position : le lien tout juste établi.

Tradabordo a dit…

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipulant de ne pas demander, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde cette position : le lien tout juste établi.

OK.

Elena ?

Tradabordo a dit…

Sur le PC de la fac. pas pu faire le copier/coller dans le post et dans le doc. M'y faire penser quand vous ajoutez la suite.

Elena a dit…

Coller ce morceau dans le post et dans "travaux en cours" :
— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipulant de ne pas demander, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde cette position : le lien tout juste établi.

Suite :

No recuerdo su nombre y tampoco importa, el bar donde nos conocimos ahora parece un sueño, la única realidad es el claroscuro de esta habitación y nuestra ropa en el suelo.
Je ne me rappelle pas son prénom et ce n'est pas important non plus, le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.

Su lengua entra como un balazo en mi boca.
Sa langue pénètre dans ma bouche tel un coup de feu.

Tradabordo a dit…

Je ne prends pas la fin – trop long.

No recuerdo su nombre y tampoco importa, el bar donde nos conocimos ahora parece un sueño, la única realidad es el claroscuro de esta habitación y nuestra ropa en el suelo.

Je ne me rappelle pas son prénom et [pas dans le sens de « mais » ?] ce n'est pas important non plus [mets-le avant], le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.

Elena a dit…

No recuerdo su nombre y tampoco importa, el bar donde nos conocimos ahora parece un sueño, la única realidad es el claroscuro de esta habitación y nuestra ropa en el suelo.

Je ne me rappelle pas son prénom et ce n'est pas non plus important [J'ai hésité avec "importance" : "et ça n'a pas non plus d'importance"], le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.

Tradabordo a dit…

No recuerdo su nombre y tampoco importa, el bar donde nos conocimos ahora parece un sueño, la única realidad es el claroscuro de esta habitación y nuestra ropa en el suelo.

Je ne me rappelle pas son prénom [virgule] et ce n'est pas non plus important, [ponctuation bizarre quand même, non ?] le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.

Elena a dit…

Je ne me rappelle pas son prénom, et ce n'est pas non plus important. Le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.

Su lengua entra como un balazo en mi boca.
Sa langue pénètre dans ma bouche tel un coup de feu.

Tradabordo a dit…

Je ne me rappelle pas son prénom, et ce n'est pas non plus important. Le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.
Sa langue pénètre dans ma bouche tel un coup de feu.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Je ne me rappelle pas son prénom, et ce n'est pas non plus important. Le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.
Sa langue pénètre dans ma bouche tel un coup de feu.

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

—Ajustá más —murmura luego en mi oído.
Loco por alcanzar la tierra fértil que oculta su broza, ciño cuanto puedo el abrazo.
—No es suficiente —declara apartándose de pronto, más fría que el hielo.

— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Ayant une folle envie d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je resserre autant que possible mon étreinte.
— Ce n'est pas suffisant, argue-t-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.

Justine a dit…

—Ajustá más —murmura luego en mi oído.
Loco por alcanzar la tierra fértil que oculta su broza, ciño cuanto puedo el abrazo.
—No es suficiente —declara apartándose de pronto, más fría que el hielo.

— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Ayant une folle envie d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je resserre autant que possible mon étreinte.
— Ce n'est pas suffisant, argue-t-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.

Tradabordo a dit…

—Ajustá más —murmura luego en mi oído.
Loco por alcanzar la tierra fértil que oculta su broza, ciño cuanto puedo el abrazo.
—No es suficiente —declara apartándose de pronto, más fría que el hielo.

— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Ayant [« Animé par » / « Poussé par » ?] une folle envie d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je resserre [évite la répétition, qui n'est pas en V.O.] autant que possible mon étreinte.
— Ce n'est pas suffisant, argue[bof ici]-t-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.

Justine a dit…

—Ajustá más —murmura luego en mi oído.
Loco por alcanzar la tierra fértil que oculta su broza, ciño cuanto puedo el abrazo.
—No es suficiente —declara apartándose de pronto, más fría que el hielo.

— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Poussé par une folle envie d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je l'étreins de toutes mes forces.
— Ce n'est pas suffisant, se plaint-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.

Tradabordo a dit…

—Ajustá más —murmura luego en mi oído.
Loco por alcanzar la tierra fértil que oculta su broza, ciño cuanto puedo el abrazo.
—No es suficiente —declara apartándose de pronto, más fría que el hielo.

— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Poussé par une [« la » ? J'hésite / tranche] folle envie d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je l'étreins de toutes mes forces.
— Ce n'est pas suffisant, se plaint-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.

Justine a dit…

—Ajustá más —murmura luego en mi oído.
Loco por alcanzar la tierra fértil que oculta su broza, ciño cuanto puedo el abrazo.
—No es suficiente —declara apartándose de pronto, más fría que el hielo.

— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Poussé par l'envie folle d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je l'étreins de toutes mes forces.
— Ce n'est pas suffisant, se plaint-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.

Tradabordo a dit…

—Ajustá más —murmura luego en mi oído.
Loco por alcanzar la tierra fértil que oculta su broza, ciño cuanto puedo el abrazo.
—No es suficiente —declara apartándose de pronto, más fría que el hielo.

— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Poussé par l'envie folle d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je l'étreins de toutes mes forces.
— Ce n'est pas suffisant, se plaint-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez boucler.

Justine a dit…

Y para mi enorme sorpresa da media vuelta, me amaga una coz y se marcha al trote.
Carla, creo que se llama Carla.
Soudain, à ma très grande surprise, elle fait demi-tour, feint de me donner un coup de pied et s'en va en trottinant.
Carla, je crois qu'elle s'appelle Carla.

Pour le titre « A- Parejos », Je propose « Sans filets », pour garder l'idée du harnais en même temps que le A privatif du jeu de mots, Elena ?

Elena a dit…

Pour le titre, je propose : "Dés-assortis"

Tradabordo a dit…

Y para mi enorme sorpresa da media vuelta, me amaga una coz y se marcha al trote.
Carla, creo que se llama Carla.
Soudain [?], à ma très grande surprise, elle fait demi-tour, feint de me donner un coup de pied et s'en va en trottinant.
Carla, je crois qu'elle s'appelle Carla.

Pour le titre « A- Parejos », Je propose « Sans filets », pour garder l'idée du harnais en même temps que le A privatif du jeu de mots, Elena ?

Voyons ce qu'Elena pense de ta propo de titre.

Justine a dit…

Y para mi enorme sorpresa da media vuelta, me amaga una coz y se marcha al trote.
Carla, creo que se llama Carla.
Et, à ma très grande surprise, elle fait demi-tour, feint de me donner un coup de pied et s'en va en trottinant.
Carla, je crois qu'elle s'appelle Carla.

Pour le titre « A- Parejos », Je propose « Sans filets », pour garder l'idée du harnais en même temps que le A privatif du jeu de mots, Elena ?

Voyons ce qu'Elena pense de ta propo de titre.

Justine a dit…

Elena propose « Dés-assortis »

Ce qui donnerait :

Dés-assortis

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipulant de ne pas demander, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde cette position : le lien tout juste établi.
Je ne me rappelle pas son prénom, et ce n'est pas non plus important. Le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.
Sa langue pénètre dans ma bouche tel un coup de feu.
— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Poussé par l'envie folle d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je l'étreins de toutes mes forces.
— Ce n'est pas suffisant, se plaint-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.
Et, à ma très grande surprise, elle fait demi-tour, feint de me donner un coup de pied et s'en va en trottinant.
Carla, je crois qu'elle s'appelle Carla.



Elena a dit…

C'est vrai qu'on garde le "a", mais on perd l'idée de "parejo/a" et le jeu de mots. Je ne sais pas si je suis claire...
"Dis-semblables" ?

Tradabordo a dit…

OK pour le titre proposé par Elena. Justine ?

Justine a dit…

Oui, Elena, ta première proposition de « Dés-assortis » m'allait bien, mais nos commentaires se sont visiblement croisés…

OK, donc, pour :

Dés-assortis

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipulant de ne pas demander, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde cette position : le lien tout juste établi.
Je ne me rappelle pas son prénom, et ce n'est pas non plus important. Le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.
Sa langue pénètre dans ma bouche tel un coup de feu.
— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Poussé par l'envie folle d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je l'étreins de toutes mes forces.
— Ce n'est pas suffisant, se plaint-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.
Et, à ma très grande surprise, elle fait demi-tour, feint de me donner un coup de pied et s'en va en trottinant.
Carla, je crois qu'elle s'appelle Carla.

Tradabordo a dit…

Dés-assortis

— Serre-moi bien la bride, demande-t-elle.
L'expérience stipulant de ne pas demander, j'autorise ma main à parcourir la peau, si douce, de sa taille, et je garde cette position : le lien tout juste établi.
Je ne me rappelle pas son prénom, et ce n'est pas non plus important. Le bar où on s'est rencontrés semble maintenant un rêve, la seule réalité étant le clair-obscur de cette chambre et nos vêtements par terre.
Sa langue pénètre dans ma bouche tel un coup de feu.
— Serre davantage, me murmure t-elle ensuite à l'oreille.
Poussé par l'envie folle d'atteindre la terre fertile que cache sa toison, je l'étreins de toutes mes forces.
— Ce n'est pas suffisant, se plaint-elle en s'écartant aussitôt, plus froide que la glace.
Et, à ma très grande surprise, elle fait demi-tour, feint de me donner un coup de pied et s'en va en trottinant.
Carla, je crois qu'elle s'appelle Carla.

OK.