vendredi 3 mars 2017

Projet Justine / Elena – texte 76

Mala semilla

Lo descubrió mientras se duchaba. En el medio del pecho, entre sus senos, había brotado un tallo. Cinco centímetros de ramita verde, perpendicular al tórax, con dos mínimas hojas en la punta.
Tironeó para arrancarlo, presionó para quebrarlo. No pudo. Era indestructible.
Desesperada, se vistió. Optó por una remera oscura, grande, que disimulara.
Consultar a un médico le daba vergüenza.
Dispuso cumplir con sus obligaciones diarias, hacer lo que debía.
Calzándose un par de zapatos cómodos, tomó el portafolio y salió de su casa.
Sin perfume, sin maquillaje. Igual que siempre.
Mientras aguardaba el colectivo supo que dentro de su cuerpo, la raíz estaba creciendo. Podía sentir cómo se estiraba entre sus venas, sus arterias; se enredaba en sus costillas, que ya dolían.
Apoyándose contra el poste buscó el origen de su problema. No practicaba deportes, de tomar sol ni hablar. Tampoco dieta. Ni gimnasio. Tal vez su cuerpo estaba vengando tanto abandono.
Dentro del portafolio halló un lápiz labial viejo. Se pintó. Parándose bien derecha, respiró profundo. Intentó arreglarse el pelo con los dedos.
El dolor no cedía. Bajó del ómnibus.
Simulando que nada pasaba, formó fila en el Banco y pagó los impuestos. Fue al Correo, retiró la encomienda, envió un giro. Esperó que le entregaran el formulario en Rentas. Compró el saco para su marido, las pastillas para su madre, los zapatos para su hija.
El dolor se había extendido por la espalda, los brazos.
Intentó distraerse observando la gente que pasaba a su lado
—Por la expresión que tienen, parece que hay muchos con una raíz extrangulándoles las entrañas —pensó.
A media cuadra de su casa, de regreso, notó que su planta había rasgado la remera. Por el agujero asomaba una hoja. Se tapó con los cedulones.
Cuando ubicó la llave en la cerradura, temblaba.
Entró.
Su imagen se reflejaba en un espejo de pared. Se observó sin emociones. Vio su rostro demacrado, ceniciento. Vio la flor que había brotado del tallo, vio que tenía el mismo color que su cara.

Traduction temporaire :

Mauvaise graine

Elle la découvrit alors qu'elle était sous la douche. En plein milieu de sa poitrine, entre ses seins, une tige avait poussé. Perpendiculaire à son thorax, une petite branche verte de cinq centimètres avec deux minuscules feuilles au bout.
Elle tira pour l'arracher, fit pression pour la casser. En vain. Elle était indestructible.
Désespérée, elle s'habilla. Elle opta pour un grand tee-shirt foncé, qui la cacherait.
Elle avait honte de consulter un médecin.
Elle décida d'accomplir ses tâches quotidiennes, de faire ce qu'elle avait à faire.
Enfilant une paire de chaussures confortables, elle attrapa son porte-documents et sortit de chez elle. Sans parfum, sans maquillage. Comme d'habitude.
Tandis qu'elle attendait le bus, elle comprit que dans son corps, la racine grandissait. Elle la sentait s'étirer au milieu de ses veines et de ses artères ; grimper sur ses côtes, déjà douloureuses.
S'adossant au poteau, elle chercha l'origine de son problème. Elle ne faisait pas de sports, des bains de soleil ; pas question. Pas de régime non plus. Ni de gymnastique. Peut-être son corps se vengeait-il d'être autant négligé. Dans son porte-documents, elle trouva un vieux tube de rouge à lèvres. Elle en mit.
En se tenant debout, bien droite, elle respira profondément. Tenta d'arranger ses cheveux avec les doigts. La douleur ne passait pas. Elle descendit du bus.
Comme si de rien n'était, elle fit la queue à la banque et paya ses impôts. Elle alla à la Poste, récupéra son colis, envoya un virement. Elle attendit qu'on lui donne le formulaire de Déclaration d'impôts locaux. Elle acheta une veste pour son mari, des cachets pour sa mère, des chaussures pour sa fille.
La douleur avait gagné son dos, ses bras.
Elle essaya de se changer les idées en regardant les gens passer à côté d'elle.
— Vu l'expression de leurs visages, il semblerait que beaucoup aient aussi une racine qui leur tord les entrailles, se dit-elle.
Sur le chemin du retour, à quelques mètres de chez elle, elle se rendit compte que sa plante avait déchiré son tee-shirt. Une feuille sortait du trou. Elle se couvrit avec les formulaires. Quand elle introduisit la clé dans la serrure, elle tremblait.
Elle entra.
Son image se reflétait dans un miroir accroché au mur. Elle s'observa sans la moindre émotion. Elle vit son visage émacié, gris. Elle vit la fleur qui avait poussé au bout de la tige, elle vit qu'elle était de la même couleur que son visage.

85 commentaires:

Justine a dit…

Mala semilla

Lo descubrió mientras se duchaba. En el medio del pecho, entre sus senos, había brotado un tallo. Cinco centímetros de ramita verde, perpendicular al tórax, con dos mínimas hojas en la punta.
Tironeó para arrancarlo, presionó para quebrarlo. No pudo. Era indestructible.

Mauvaise graine

Elle la découvrit alors qu'elle se douchait. En plein milieu de sa poitrine, entre ses seins, une tige avait poussé. Perpendiculaire à son thorax, une petite branche verte de cinq centimètres avec deux minuscules feuilles au bout.
Elle tira pour l'arracher, fit pression pour la casser. En vain. Elle était indestructible.

Tradabordo a dit…

Lo descubrió mientras se duchaba. En el medio del pecho, entre sus senos, había brotado un tallo. Cinco centímetros de ramita verde, perpendicular al tórax, con dos mínimas hojas en la punta.
Tironeó para arrancarlo, presionó para quebrarlo. No pudo. Era indestructible.

Mauvaise graine

Elle la découvrit alors qu'elle se douchait [ou « alors qu'elle était sous la douche » ? Comme tu préfères]. En plein milieu de sa poitrine, entre ses seins, une tige avait poussé. Perpendiculaire à son thorax, une petite branche verte de cinq centimètres avec deux minuscules feuilles au bout.
Elle tira pour l'arracher, fit pression pour la casser. En vain. Elle était indestructible.

Justine a dit…

Lo descubrió mientras se duchaba. En el medio del pecho, entre sus senos, había brotado un tallo. Cinco centímetros de ramita verde, perpendicular al tórax, con dos mínimas hojas en la punta.
Tironeó para arrancarlo, presionó para quebrarlo. No pudo. Era indestructible.

Mauvaise graine

Elle la découvrit alors qu'elle était sous la douche. En plein milieu de sa poitrine, entre ses seins, une tige avait poussé. Perpendiculaire à son thorax, une petite branche verte de cinq centimètres avec deux minuscules feuilles au bout.
Elle tira pour l'arracher, fit pression pour la casser. En vain. Elle était indestructible.

Tradabordo a dit…

Lo descubrió mientras se duchaba. En el medio del pecho, entre sus senos, había brotado un tallo. Cinco centímetros de ramita verde, perpendicular al tórax, con dos mínimas hojas en la punta.
Tironeó para arrancarlo, presionó para quebrarlo. No pudo. Era indestructible.

Mauvaise graine

Elle la découvrit alors qu'elle était sous la douche. En plein milieu de sa poitrine, entre ses seins, une tige avait poussé. Perpendiculaire à son thorax, une petite branche verte de cinq centimètres avec deux minuscules feuilles au bout.
Elle tira pour l'arracher, fit pression pour la casser. En vain. Elle était indestructible.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Justine a dit…

Desesperada, se vistió. Optó por una remera oscura, grande, que disimulara.
Consultar a un médico le daba vergüenza.
Dispuso cumplir con sus obligaciones diarias, hacer lo que debía.
Calzándose un par de zapatos cómodos, tomó el portafolio y salió de su casa.
Sin perfume, sin maquillaje. Igual que siempre.

Désespérée, elle s'habilla. Elle opta pour un grand t-shirt, qui cacherait.
Elle avait honte de consulter un médecin.
Elle décida d'accomplir ses tâches quotidiennes, de faire ce qu'elle avait faire.
Enfilant une paire de chaussures confortables, elle attrapa son porte-documents et sortit de chez elle.
Sans parfum, sans maquillage. Comme toujours.

Tradabordo a dit…

Désespérée, elle s'habilla. Elle opta pour un grand t[tee]-shirt [et « oscura » ?], qui [cheville : « la » / « le » ?]cacherait.
Elle avait honte de consulter un médecin.
Elle décida d'accomplir ses tâches quotidiennes, de faire ce qu'elle avait faire.

Justine a dit…

Désespérée, elle s'habilla. Elle opta pour un grand tee-shirt noir, qui la cacherait.
Elle avait honte de consulter un médecin.
Elle décida d'accomplir ses tâches quotidiennes, de faire ce qu'elle avait à faire.

Tradabordo a dit…

Désespérée, elle s'habilla. Elle opta pour un grand tee-shirt noir [ou « foncé » ?], qui la cacherait.
Elle avait honte de consulter un médecin.
Elle décida d'accomplir ses tâches quotidiennes, de faire ce qu'elle avait à faire.

Justine a dit…

Désespérée, elle s'habilla. Elle opta pour un grand tee-shirt foncé, qui la cacherait.
Elle avait honte de consulter un médecin.
Elle décida d'accomplir ses tâches quotidiennes, de faire ce qu'elle avait à faire.

Tradabordo a dit…

Désespérée, elle s'habilla. Elle opta pour un grand tee-shirt foncé, qui la cacherait.
Elle avait honte de consulter un médecin.
Elle décida d'accomplir ses tâches quotidiennes, de faire ce qu'elle avait à faire.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Calzándose un par de zapatos cómodos, tomó el portafolio y salió de su casa.
Sin perfume, sin maquillaje. Igual que siempre.
Mientras aguardaba el colectivo supo que dentro de su cuerpo, la raíz estaba creciendo. Podía sentir cómo se estiraba entre sus venas, sus arterias; se enredaba en sus costillas, que ya dolían.

Enfilant une paire de chaussures confortables, elle attrapa son porte-documents et sortit de chez elle.
Sans parfum, sans maquillage. Comme toujours.
Tandis qu'elle attendait le bus, elle eut conscience qu'à l'intérieur de son corps, la racine grandissait. Elle pouvait la sentir s'étirer au milieu de ses veines et de ses artères ; s'emmêler dans ses côtes, qui, déjà, étaient douloureuses.

Tradabordo a dit…

Calzándose un par de zapatos cómodos, tomó el portafolio y salió de su casa.
Sin perfume, sin maquillaje. Igual que siempre.

Enfilant une paire de chaussures confortables, elle attrapa son porte-documents et sortit de chez elle.
Sans parfum, sans maquillage. Comme toujours [je me demande si sans la V.O. à côté, c'est très clair].

Justine a dit…

Calzándose un par de zapatos cómodos, tomó el portafolio y salió de su casa.
Sin perfume, sin maquillaje. Igual que siempre.

Enfilant une paire de chaussures confortables, elle attrapa son porte-documents et sortit de chez elle.
Sans parfum, sans maquillage. Comme d'habitude.

Tradabordo a dit…

Calzándose un par de zapatos cómodos, tomó el portafolio y salió de su casa.
Sin perfume, sin maquillaje. Igual que siempre.

Enfilant une paire de chaussures confortables, elle attrapa son porte-documents et sortit de chez elle.
Sans parfum, sans maquillage. Comme d'habitude.

OK.

Elena ?

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Mientras aguardaba el colectivo supo que dentro de su cuerpo, la raíz estaba creciendo. Podía sentir cómo se estiraba entre sus venas, sus arterias; se enredaba en sus costillas, que ya dolían.

Tandis qu'elle attendait le bus, elle eut conscience qu'à l'intérieur de son corps, la racine grandissait. Elle pouvait la sentir s'étirer au milieu de ses veines et de ses artères ; s'emmêler dans ses côtes, déjà douloureuses.

Tradabordo a dit…

Mientras aguardaba el colectivo supo que dentro de su cuerpo, la raíz estaba creciendo. Podía sentir cómo se estiraba entre sus venas, sus arterias; se enredaba en sus costillas, que ya dolían.

Tandis qu'elle attendait le bus, elle eut conscience [pas adapté] qu'à l'intérieur de son corps, la racine grandissait. Elle pouvait [supprime / maladie des hispanophones pour « pouvoir »] la sentir s'étirer au milieu de ses veines et de ses artères ; s'emmêler [texte] dans ses côtes, déjà douloureuses.

Justine a dit…

Mientras aguardaba el colectivo supo que dentro de su cuerpo, la raíz estaba creciendo. Podía sentir cómo se estiraba entre sus venas, sus arterias; se enredaba en sus costillas, que ya dolían.

Tandis qu'elle attendait le bus, elle se rendit compte que dans son corps, la racine grandissait. Elle la sentait s'étirer au milieu de ses veines et de ses artères ; grimper sur ses côtes, déjà douloureuses.

Tradabordo a dit…

Mientras aguardaba el colectivo supo que dentro de su cuerpo, la raíz estaba creciendo. Podía sentir cómo se estiraba entre sus venas, sus arterias; se enredaba en sus costillas, que ya dolían.

Tandis qu'elle attendait le bus, elle se rendit compte [« comprit »] que dans son corps, la racine grandissait. Elle la sentait s'étirer au milieu de ses veines et de ses artères ; grimper sur ses côtes, déjà douloureuses.

Justine a dit…

ientras aguardaba el colectivo supo que dentro de su cuerpo, la raíz estaba creciendo. Podía sentir cómo se estiraba entre sus venas, sus arterias; se enredaba en sus costillas, que ya dolían.

Tandis qu'elle attendait le bus, elle comprit que dans son corps, la racine grandissait. Elle la sentait s'étirer au milieu de ses veines et de ses artères ; grimper sur ses côtes, déjà douloureuses.

Tradabordo a dit…

ientras aguardaba el colectivo supo que dentro de su cuerpo, la raíz estaba creciendo. Podía sentir cómo se estiraba entre sus venas, sus arterias; se enredaba en sus costillas, que ya dolían.

Tandis qu'elle attendait le bus, elle comprit que dans son corps, la racine grandissait. Elle la sentait s'étirer au milieu de ses veines et de ses artères ; grimper sur ses côtes, déjà douloureuses.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Apoyándose contra el poste buscó el origen de su problema. No practicaba deportes, de tomar sol ni hablar. Tampoco dieta. Ni gimnasio. Tal vez su cuerpo estaba vengando tanto abandono.
Dentro del portafolio halló un lápiz labial viejo. Se pintó.

S'adossant au poteau, elle chercha l'origine de son problème. Elle ne faisait pas de sports, des bains de soleil, pas question. Pas de régime non plus. Ni de gymnastique. Peut-être son corps se vengeait-il d'être autant négligé. Dans son porte-documents, elle trouva un vieux tube de rouge à lèvres. Elle en mit.

Tradabordo a dit…

Apoyándose contra el poste buscó el origen de su problema. No practicaba deportes, de tomar sol ni hablar. Tampoco dieta. Ni gimnasio. Tal vez su cuerpo estaba vengando tanto abandono.
Dentro del portafolio halló un lápiz labial viejo. Se pintó.

S'adossant au poteau, elle chercha l'origine de son problème. Elle ne faisait pas de sports, des bains de soleil, [point-virgule ?] pas question. Pas de régime non plus. Ni de gymnastique. Peut-être son corps se vengeait-il d'être autant négligé. Dans son porte-documents, elle trouva un vieux tube de rouge à lèvres. Elle en mit.

Justine a dit…

Apoyándose contra el poste buscó el origen de su problema. No practicaba deportes, de tomar sol ni hablar. Tampoco dieta. Ni gimnasio. Tal vez su cuerpo estaba vengando tanto abandono.
Dentro del portafolio halló un lápiz labial viejo. Se pintó.

S'adossant au poteau, elle chercha l'origine de son problème. Elle ne faisait pas de sports, des bains de soleil ; pas question. Pas de régime non plus. Ni de gymnastique. Peut-être son corps se vengeait-il d'être autant négligé. Dans son porte-documents, elle trouva un vieux tube de rouge à lèvres. Elle en mit.

Tradabordo a dit…

Apoyándose contra el poste buscó el origen de su problema. No practicaba deportes, de tomar sol ni hablar. Tampoco dieta. Ni gimnasio. Tal vez su cuerpo estaba vengando tanto abandono.
Dentro del portafolio halló un lápiz labial viejo. Se pintó.

S'adossant au poteau, elle chercha l'origine de son problème. Elle ne faisait pas de sports, des bains de soleil ; pas question. Pas de régime non plus. Ni de gymnastique. Peut-être son corps se vengeait-il d'être autant négligé. Dans son porte-documents, elle trouva un vieux tube de rouge à lèvres. Elle en mit.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Justine a dit…

Parándose bien derecha, respiró profundo. Intentó arreglarse el pelo con los dedos.
El dolor no cedía. Bajó del ómnibus.
Simulando que nada pasaba, formó fila en el Banco y pagó los impuestos. Fue al Correo, retiró la encomienda, envió un giro.

Restant immobile, bien droite, elle respira profondément. Tenta de discipliner ses cheveux avec les doigts.
La douleur ne passait pas. Elle descendit du bus.
Comme si de rien n'était, elle fit la queue à la banque et paya ses impôts. Elle alla à la poste, récupéra son colis, envoya un virement.

Tradabordo a dit…

Parándose bien derecha, respiró profundo. Intentó arreglarse el pelo con los dedos.
El dolor no cedía. Bajó del ómnibus.

Restant immobile [Elena ?], bien droite, elle respira profondément. Tenta de discipliner [j'hésite] ses cheveux avec les doigts.
La douleur ne passait pas. Elle descendit du bus.

Elena a dit…

Restant immobile [Elena? / CS = en se mettant debout / en se tenant... ], bien droite, elle respira profondément. Tenta de discipliner [j'hésite] ses cheveux avec les doigts.
La douleur ne passait pas. Elle descendit du bus.

Tradabordo a dit…

Restant immobile [Elena? / CS = en se mettant debout / en se tenant... //// avec « en se tenant »], bien droite, elle respira profondément. Tenta de discipliner [j'hésite] ses cheveux avec les doigts.
La douleur ne passait pas. Elle descendit du bus.

Justine a dit…

En se tenant bien droite, elle respira profondément. Tenta d'arranger ses cheveux avec les doigts.
La douleur ne passait pas. Elle descendit du bus.

Tradabordo a dit…

En se tenant bien droite [« debout » / cf ce qu'a dit Elena], elle respira profondément. Tenta d'arranger ses cheveux avec les doigts.
La douleur ne passait pas. Elle descendit du bus.

Justine a dit…

En se tenant debout, bien droite, elle respira profondément. Tenta d'arranger ses cheveux avec les doigts.
La douleur ne passait pas. Elle descendit du bus.

Justine a dit…

En se tenant debout, bien droite, elle respira profondément. Tenta d'arranger ses cheveux avec les doigts.
La douleur ne passait pas. Elle descendit du bus.

Tradabordo a dit…

En se tenant debout, bien droite, elle respira profondément. Tenta d'arranger ses cheveux avec les doigts.
La douleur ne passait pas. Elle descendit du bus.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Justine a dit…

Simulando que nada pasaba, formó fila en el Banco y pagó los impuestos. Fue al Correo, retiró la encomienda, envió un giro.

Comme si de rien n'était, elle fit la queue à la banque et paya ses impôts. Elle alla à la poste, récupéra son colis, envoya un virement.

Tradabordo a dit…

Simulando que nada pasaba, formó fila en el Banco y pagó los impuestos. Fue al Correo, retiró la encomienda, envió un giro.

Comme si de rien n'était, elle fit la queue à la banque et paya ses impôts. Elle alla à la poste, récupéra son colis, envoya un virement.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Je suis OK, mais je me demande si on ne devrait pas écrire La Poste en majuscules...

Tradabordo a dit…

J'hésite aussi… dans la mesure où il ne s'agit pas de la « marque ». Pas simple.

Justine a dit…

Comme si de rien n'était, elle fit la queue à la banque et paya ses impôts. Elle alla à La Poste, récupéra son colis, envoya un virement.

Tradabordo a dit…

Comme si de rien n'était, elle fit la queue à la banque et paya ses impôts. Elle alla à La [du coup, n'allons pas jusqu'à mettre une maj là !] Poste, récupéra son colis, envoya un virement.

Justine a dit…

Comme si de rien n'était, elle fit la queue à la banque et paya ses impôts. Elle alla à la Poste, récupéra son colis, envoya un virement.

Tradabordo a dit…

Comme si de rien n'était, elle fit la queue à la banque et paya ses impôts. Elle alla à la Poste, récupéra son colis, envoya un virement.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Esperó que le entregaran el formulario en Rentas. Compró el saco para su marido, las pastillas para su madre, los zapatos para su hija.
El dolor se había extendido por la espalda, los brazos.
Intentó distraerse observando la gente que pasaba a su lado.

Elle attendit qu'on lui donne le formulaire de Déclaration de revenus. Elle acheta le blouson pour son mari, les cachets pour sa mère, les chaussures pour sa fille.
La douleur avait gagné son dos, ses bras.
Elle essaya de se changer les idées en regardant les gens passer.

Justine a dit…

Esperó que le entregaran el formulario en Rentas. Compró el saco para su marido, las pastillas para su madre, los zapatos para su hija.
El dolor se había extendido por la espalda, los brazos.
Intentó distraerse observando la gente que pasaba a su lado.

Elle attendit qu'on lui donne le formulaire de Déclaration de revenus. Elle acheta le blouson pour son mari, les cachets pour sa mère, les chaussures pour sa fille.
La douleur avait gagné son dos, ses bras.
Elle essaya de se changer les idées en regardant les gens passer.

Tradabordo a dit…

Esperó que le entregaran el formulario en Rentas. Compró el saco para su marido, las pastillas para su madre, los zapatos para su hija.
El dolor se había extendido por la espalda, los brazos.
Intentó distraerse observando la gente que pasaba a su lado.

Elle attendit qu'on lui donne le formulaire de Déclaration de revenus. Elle acheta le [? « un » ?] blouson [« veste » ? Vérifie] pour son mari, les cachets pour sa mère, les [« des » ?] chaussures pour sa fille.
La douleur avait gagné son dos, ses bras.
Elle essaya de se changer les idées en regardant les gens passer [« a su lado » ?].

Justine a dit…

Esperó que le entregaran el formulario en Rentas. Compró el saco para su marido, las pastillas para su madre, los zapatos para su hija.
El dolor se había extendido por la espalda, los brazos.
Intentó distraerse observando la gente que pasaba a su lado.

Elle attendit qu'on lui donne le formulaire de Déclaration de revenus. Elle acheta une veste pour son mari, des cachets pour sa mère, des chaussures pour sa fille.
La douleur avait gagné son dos, ses bras.
Elle essaya de se changer les idées en regardant les gens passer à côté d'elle.

Tradabordo a dit…

Esperó que le entregaran el formulario en Rentas. Compró el saco para su marido, las pastillas para su madre, los zapatos para su hija.
El dolor se había extendido por la espalda, los brazos.
Intentó distraerse observando la gente que pasaba a su lado.

Elle attendit qu'on lui donne le formulaire de Déclaration de revenus. Elle acheta une veste pour son mari, des cachets pour sa mère, des chaussures pour sa fille.
La douleur avait gagné son dos, ses bras.
Elle essaya de se changer les idées en regardant les gens passer à côté d'elle.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Il me semble que "Rentas", c'est plutôt les impôts sur les biens immobiliersociaux. La "AFIP" correspond aux revenus. Tu peux vérifier Justine, stp ?

Justine a dit…

Elena, après d'autres recherches à propos de « Rentas », je trouve toujours et en plusieurs endroits « impôts sur le revenu ».

Tradabordo a dit…

Vous me dites quand vous avez tranché.

Elena a dit…

Non, Justine, en Argentine, les impôts sur le revenu sont depuis toujours prélevés à la source. Dans le service de "Rentas", on ne paye que les impôts locaux, taxes immobilières, etc.

http://www.cba.gov.ar/reparticion/ministerio-de-finanzas/

Justine a dit…

Merci, Elena !

Esperó que le entregaran el formulario en Rentas. Compró el saco para su marido, las pastillas para su madre, los zapatos para su hija.
El dolor se había extendido por la espalda, los brazos.
Intentó distraerse observando la gente que pasaba a su lado.

Elle attendit qu'on lui donne le formulaire de Déclaration d'impôts locaux. Elle acheta une veste pour son mari, des cachets pour sa mère, des chaussures pour sa fille.
La douleur avait gagné son dos, ses bras.
Elle essaya de se changer les idées en regardant les gens passer à côté d'elle.

OK.

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

—Por la expresión que tienen, parece que hay muchos con una raíz extrangulándoles las entrañas —pensó.
A media cuadra de su casa, de regreso, notó que su planta había rasgado la remera. Por el agujero asomaba una hoja. Se tapó con los cedulones.

À l'expression de leurs visages, il semblerait que beaucoup aient une racine qui leur étrangle les entrailles, se dit-elle.
Sur le chemin du retour, à cinquante mètres de chez elle, elle se rendit compte que sa plante avait déchiré son tee-shirt. Du trou sortait une feuille. Elle se couvrit avec les formulaires.

Tradabordo a dit…

—Por la expresión que tienen, parece que hay muchos con una raíz extrangulándoles las entrañas —pensó.

[le tiret]À l'expression de leurs visages, il semblerait que beaucoup aient une racine qui leur étrangle [bizarre, non ? Trad littérale, je sais… Je voudrais l'avais d'Elena] les entrailles, se dit-elle.

Elena a dit…

Je suis d'accord, ça sonne bizarre, peut-être en mettant : "nombreux sont ceux avec une racine qui leur étrangle/leur étranglant les entrailles" ?

Tradabordo a dit…

Super lourd.

Justine a dit…

—Por la expresión que tienen, parece que hay muchos con una raíz extrangulándoles las entrañas —pensó.
— À l'expression de leurs visages, il semblerait que beaucoup aient une racine qui leur tord les entrailles, se dit-elle.

Justine a dit…

—Por la expresión que tienen, parece que hay muchos con una raíz extrangulándoles las entrañas —pensó.
— À l'expression de leurs visages, il semblerait que beaucoup aient une racine qui leur tord les entrailles, se dit-elle.

Tradabordo a dit…

—Por la expresión que tienen, parece que hay muchos con una raíz extrangulándoles las entrañas —pensó.
— À [« Vu » ?] l'expression de leurs visages, il semblerait que beaucoup aient [ajout de : « aussi » ?] une racine qui leur tord les entrailles, se dit-elle.

Justine a dit…

—Por la expresión que tienen, parece que hay muchos con una raíz extrangulándoles las entrañas —pensó.
— Vu l'expression de leurs visages, il semblerait que beaucoup aient aussi une racine qui leur tord les entrailles, se dit-elle.

Tradabordo a dit…

—Por la expresión que tienen, parece que hay muchos con una raíz extrangulándoles las entrañas —pensó.
— Vu l'expression de leurs visages, il semblerait que beaucoup aient aussi une racine qui leur tord les entrailles, se dit-elle.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

A media cuadra de su casa, de regreso, notó que su planta había rasgado la remera. Por el agujero asomaba una hoja. Se tapó con los cedulones.

Sur le chemin du retour, à cinquante mètres de chez elle, elle se rendit compte que sa plante avait déchiré son tee-shirt. Du trou sortait une feuille. Elle se couvrit avec les formulaires.

Tradabordo a dit…

A media cuadra de su casa, de regreso, notó que su planta había rasgado la remera. Por el agujero asomaba una hoja. Se tapó con los cedulones.

Sur le chemin du retour, à cinquante mètres [Elena, tu crois qu'on peut compter comme ça ????] de chez elle, elle se rendit compte que sa plante avait déchiré son tee-shirt. Du trou sortait une feuille. Elle se couvrit avec les formulaires.

Elena a dit…

Sur le chemin du retour, à cinquante mètres [Elena, tu crois qu'on peut compter comme ça ???? // Oui, mais ici, ça me semble trop précis : "près" ou "à quelques mètres" ?] de chez elle, elle se rendit compte que sa plante avait déchiré son tee-shirt. Du trou sortait une feuille. Elle se couvrit avec les formulaires.

Tradabordo a dit…

Sur le chemin du retour, à cinquante mètres [Elena, tu crois qu'on peut compter comme ça ???? // Oui, mais ici, ça me semble trop précis : "près" ou "à quelques mètres" ? OK] de chez elle, elle se rendit compte que sa plante avait déchiré son tee-shirt. Du trou sortait une feuille. Elle se couvrit avec les formulaires.

Justine a dit…

Sur le chemin du retour, à quelques mètres de chez elle, elle se rendit compte que sa plante avait déchiré son tee-shirt. Une feuille sortait du trou. Elle se couvrit avec les formulaires.

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Cuando ubicó la llave en la cerradura, temblaba.
Entró.
Su imagen se reflejaba en un espejo de pared. Se observó sin emociones. Vio su rostro demacrado, ceniciento. Vio la flor que había brotado del tallo, vio que tenía el mismo color que su cara.

Quand elle introduisit la clé dans la serrure, elle tremblait.
Elle entra.
Son image se reflétait dans un miroir accroché au mur. Elle s'observa sans la moindre émotion. Elle vit son visage émacié, gris. Elle vit la fleur qui avait poussé au bout de la tige, elle vit qu'elle était de la même couleur que son visage.

Tradabordo a dit…

Cuando ubicó la llave en la cerradura, temblaba.
Entró.
Su imagen se reflejaba en un espejo de pared. Se observó sin emociones. Vio su rostro demacrado, ceniciento. Vio la flor que había brotado del tallo, vio que tenía el mismo color que su cara.

Quand elle introduisit la clé dans la serrure, elle tremblait.
Elle entra.
Son image se reflétait dans un miroir accroché au mur. Elle s'observa sans la moindre émotion. Elle vit son visage émacié, gris. Elle vit la fleur qui avait poussé au bout de la tige, elle vit qu'elle était de la même couleur que son visage.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.