tag:blogger.com,1999:blog-8430488559039536238.post6441034263545937707..comments2023-12-25T11:10:27.132+01:00Comments on TRADABORDO / TRADOESTE: Projet Sonita 17 – phrases 10-12Unknownnoreply@blogger.comBlogger8125tag:blogger.com,1999:blog-8430488559039536238.post-90703090753664647782014-11-29T17:52:28.957+01:002014-11-29T17:52:28.957+01:00Il avance jusqu'au coin, attend que trois dame...Il avance jusqu'au coin, attend que trois dames, des sacs noirs pendant à leurs mains tels des poulets morts ou des jarrets de porc, passent ; il lève les yeux et regarde le ciel nuageux, dense, froid. Une couche de vomi gris sur la ville. Le comptable tourne à gauche, puis, après un peu plus d'un pâté de maisons, s'arrête et entre dans un immeuble. L'agent de sécurité lui tourne Tradabordohttps://www.blogger.com/profile/01854948588179211763noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8430488559039536238.post-84877468381075646852014-11-29T17:43:59.011+01:002014-11-29T17:43:59.011+01:00Il avance jusqu'au coin, attend que trois dame...Il avance jusqu'au coin, attend que trois dames, des sacs noirs pendant à leurs mains tels des poulets morts ou des jarrets de porc, passent ; il lève les yeux et regarde le ciel nuageux, dense, froid. Une couche de vomi gris sur la ville. Le comptable tourne à gauche, puis, après un peu plus d'un pâté de maisons, s'arrête et entre dans un immeuble. L'agent de sécurité lui tourne Sonitahttps://www.blogger.com/profile/00171268186189661739noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8430488559039536238.post-29357363230884950312014-11-29T17:01:12.300+01:002014-11-29T17:01:12.300+01:00Il avance jusqu'au coin, attend que trois dame...Il avance jusqu'au coin, attend que trois dames, des sacs noirs qui pendent [« pendant »] à leurs mains tels des poulets morts ou des jarrets de porc, passent ; il lève les yeux et regarde le ciel nuageux, dense, froid. Une couche de vomi gris sur la ville. Le comptable tourne à gauche, puis, après un peu plus d'un pâté de maisons, s'arrête et entre dans un immeuble. L'agent de Tradabordohttps://www.blogger.com/profile/01854948588179211763noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8430488559039536238.post-69219161724262720302014-11-29T14:13:14.578+01:002014-11-29T14:13:14.578+01:00Il avance jusqu'au coin, attend que trois dame...Il avance jusqu'au coin, attend que trois dames, des sacs noirs qui pendent à leurs mains tels des poulets morts ou des jarrets de porc, passent ; il lève les yeux et regarde le ciel nuageux, dense, froid. Une couche de vomi gris sur la ville. Le comptable tourne à gauche, puis, après un peu plus d'un pâté de maisons, s'arrête et entre dans un immeuble. L'agent de sécurité lui Sonitahttps://www.blogger.com/profile/00171268186189661739noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8430488559039536238.post-55087858547094386952014-11-29T08:44:38.057+01:002014-11-29T08:44:38.057+01:00Il avance jusqu'au coin, attend que trois dame...Il avance jusqu'au coin, attend que trois dames, aux [non] sacs noirs qui pendent à leurs mains tels des poulets morts ou des jarrets de porc, passent ; il lève les yeux et regarde le ciel nuageux, dense, froid. Une couche de vomi gris sur la ville. Le comptable tourne à gauche, puis, après un peu plus d'un pâté de maisons, il [nécessaire ?] s'arrête et entre dans un immeuble. L'Tradabordohttps://www.blogger.com/profile/01854948588179211763noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8430488559039536238.post-81646575252844617202014-11-28T17:40:24.530+01:002014-11-28T17:40:24.530+01:00Il avance jusqu'au coin, attend que trois dame...Il avance jusqu'au coin, attend que trois dames, aux sacs noirs qui pendent à leurs mains tels des poulets morts ou des jarrets de porc, passent ; il lève les yeux et regarde le ciel nuageux, dense, froid. Une couche de vomi gris sur la ville. Le comptable tourne à gauche, puis, après un peu plus d'un pâté de maisons, il s'arrête et entre dans un immeuble. L'agent de sécurité lui Sonitahttps://www.blogger.com/profile/00171268186189661739noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8430488559039536238.post-30947993471256801992014-11-28T17:23:56.296+01:002014-11-28T17:23:56.296+01:00Il avance jusqu'au coin de la rue [si on a « r...Il avance jusqu'au coin de la rue [si on a « rue » dans la phrase d'avant, ça n'est pas nécessaire… Je te laisse vérifier], attend un moment [nécessaire ?] que trois dames, avec [supprime] des sacs noirs qui pendent de [incorrect] leurs mains tels des poulets morts ou des jarrets de porc, passent ; il lève les yeux et regarde le ciel nuageux, dense, froid. Une couche de vomi gris sur Tradabordohttps://www.blogger.com/profile/01854948588179211763noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8430488559039536238.post-42372516737096019592014-11-28T16:55:02.977+01:002014-11-28T16:55:02.977+01:00Il avance jusqu'au coin de la rue, attend un m...Il avance jusqu'au coin de la rue, attend un moment que trois dames, avec des sacs noirs qui pendent de leurs mains tels des poulets morts ou des jarrets de porc, passent ; il lève les yeux et regarde le ciel nuageux, dense, froid. Une couche de vomi gris sur la ville. Le comptable tourne à gauche puis, après un pâté et demi de maisons, il s'arrête et entre dans un immeuble. Le Sonitahttps://www.blogger.com/profile/00171268186189661739noreply@blogger.com