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lundi 12 décembre 2011

Deuxième jet – la fin / post commentaires

— ¡No escuchas robot estúpido!– Roservind se preguntaba: ¿Cómo puedo pensar independientemente sin obedecer las complejas líneas de programación? ¿Cómo haría para obtener un alma? Y sin darse cuenta el robot ya tenía una meta… un sueño. Ahora sólo faltaba darle el punto de inicio a su largo camino… una palabra:— ¡Renuncio!, y desde ese momento Roservind acababa de nacer.

— Tu m'entends, espèce de crétin de robot !
Roservind s'étonnait : comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir aux complexes lignes de programmation ? Comment faut-il que je m'y prenne pour avoir une âme ? Et sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve. le coup d'envoi grâce auquel il serait à même d'entamer sa longue quête… ; deux mots : Je démissionne !
Et à ce moment-là, oui, Roservind était né.

13 commentaires:

  1. On a oublié "il ne lui restait plus qu'à donner" avant le coup d'envoi.

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  2. et ici, on a: "Roservind s'étonnait:",or, juste avant on a finalement choisi"le superviseur s'étonna de la réaction..."

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  3. Roservind s'étonnait : comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir aux complexes lignes de programmation ? Comment faut-il que je m'y prenne pour avoir une âme ? Et sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve. le coup d'envoi grâce auquel il serait à même d'entamer sa longue quête… ; deux mots : Je démissionne !

    Oui, Justine… bien vu pour l'omission. Il faudra relire notre deuxième jet très attentivement de manière globale et plus particulièrement pour s'assurer de cela : que nous n'avons pas oublié du texte. Ce qui était le cas dans le premier jet. J'avais oublié de coller certains morceaux. Donc, là, regardez bien.

    Je corrige :
    Roservind s'étonnait : comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir aux complexes lignes de programmation ? Comment faut-il que je m'y prenne pour avoir une âme ? Et sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve. Il ne lui restait plus qu'à donner le coup d'envoi grâce auquel il serait à même d'entamer sa longue quête… ; deux mots : Je démissionne !

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  4. Justine : encore bien vu pour la répétition de « s'étonner ». Pour le deuxième (c'est-à-dire celui de cette dernière partie), que pensez-vous de « était dubitatif » ?

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  5. comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir aux complexes lignes de programmation ?

    Je pense que le « aux » de « aux complexes lignes de programmation » n'est pas vraiment adéquat… car on attend un complément (exemple : aux lignes de programmation qui le gouvernaient, etc.) et que donc, il vaudrait mieux opter pour : « à des ».
    Votre avis ?

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  6. Et sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve.

    Nous en avons parlé, notamment avec Elena, mais là, vraiment, il me semble que le « et » du début de la phrase n'a pas de raison d'être.

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  7. Et à ce moment-là, oui, Roservind était né.

    Cette dernière phrase est très importante, évidemment, pour la démonstration menée par le narrateur/auteur… Il faut donc particulièrement la soigner.
    Or le temps « Roservind était né » me gêne… Je crois qu'il faut dire « venait de naître », pour qu'on associe les propos du robot à son immédiat acte de naissance.
    Et pour qu'il y ait véritable chute, comme point d'orgue naturel de la nouvelle, enlevons tout l'attirail autour :
    Cela donnerait :
    Roservind venait de naître.
    Qu'en pensez-vous ?

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  8. C-remarque 1 :
    Oui, effectivement, j'avais oublié qu'au moment de faire le décompte des "y", j'avais précisé que l'avant dernier me semblait superflu, or le dernier était conclusif et de ce fait : important. On peut l'enlever :

    Sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve.

    C-remarque 2 :

    comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir à des complexes lignes de programmation ?

    Encore une préposition ! Quelle serait la nuance ?
    Aux : les lignes de programmation à lui...
    à des : les lignes de programmation de quidam ?

    C-Remarque 3: avec ce circonstanciel ?

    Et à ce moment-là, Roservind venait de naître.

    J'avais proposé (à l'époque) :

    Et c'est à ce moment-là que Roservind est né.

    C-Remarque Justine :
    « était dubitatif »
    Oui. Ou bien : réfléchissait / était méditatif

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  9. Elena :
    Aux : les lignes de programmation à lui...
    à des : les lignes de programmation de quidam ?

    « aux » laisse entendre qu'il n'y a que celles-là.
    « à des » : celles qui lui ont été attribuées à lui.

    Et à ce moment-là, Roservind venait de naître.
    Non… car globalement, avec « à ce moment-là », on attend un passé simple.
    J'insiste sur mon idée de dernière phrase…, conclusive et un peu lapidaire.

    Cela donnerait :
    Roservind était dubitatif : comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir à de complexes lignes de programmation ? Comment faut-il que je m'y prenne pour avoir une âme ? Sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve. Il ne lui restait plus qu'à donner le coup d'envoi grâce auquel il serait à même d'entamer sa longue quête… ; deux mots : Je démissionne !
    Roservind venait de naître.

    J'attends que vous validiez et nous pourrons sceller notre deuxième jet.

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  10. Je valide,merci pour ces propsitions intéressantes et pertinentes.

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