Vio al, último minero vivo al borde de la muerte, agarrando una cruz y en la otra mano una foto de su familia.
Solution temporaire :
Finalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; une photo de sa famille serrée dans une main, l'homme attrapa un crucifix.
C'est là qu'il y a une coquille :
RépondreSupprimerVio al
último minero vivo al borde de la muerte
agarrando una cruz y en la otra mano una foto de
su familia. Éste lloraba y poco después, murió.
Ah oui, Elena, tu as raison. Du coup, je prends ta phrase et je fais le changement dans le post.
RépondreSupprimerIl vit le dernier mineur au seuil de la mort attraper une croix et tenir dans l'autre main une photo de sa famille. Ce dernier pleurait et peu après, mourut.
RépondreSupprimerIl vit le dernier minier qui au bord de la mort serrait une croix dans une main et une photo de sa famille dans l'autre.
RépondreSupprimerbof...
pfff pardon : mineur !!
RépondreSupprimerMais, il me semble qu'avec une petite transition ça serait mieux...
RépondreSupprimerJustine :
RépondreSupprimerJe ne prends en compte que la première phrase, donc, puisqu'après correction des coquilles par Elena, nous nous sommes rendu compte qu'il y avait un point, etc. et que je souhaite avancer pas à pas, même quand il s'agit de petits pas.
Justine :
RépondreSupprimer- « Au seuil de la mort » est bien.
- « Une croix » ?????? Allons ! Contexte et donc adaptation.
- Puisqu'il est question d'une « autre main », peut-être devrions-nous en français ajouter la première… D'autant qu'encore une fois, cela renforcera le "tragique" de la situation en accentuant la dimension visuelle de la scène.
à propos :
RépondreSupprimern'y aurait-il pas un moyen de rendre plus pathétique de la phrase en changeant « dernier » par… X ?
Elena :
RépondreSupprimer« Il vit le dernier minier qui au bord de la mort serrait une croix dans une main et une photo de sa famille dans l'autre. »
Tu t'éloignes un peu de la V.O. et cela exigerait de la ponctuation :
« … qui, au bord de la mort, … »
Mais travaillons sur la base de ce qu'a proposé Justine… C'est plus avancé.
Elena :
RépondreSupprimerQue veux-tu dire avec cette histoire de transition ? Tu veux dire une cheville en début de phrase ?
Il vit le dernier mineur au seuil de mort attraper un crucifix d'une main,et tenir dans l'autre une photo de sa famille.
RépondreSupprimerIl vit l'ultime mineur au seuil de la mort attraper un crucifix d'une main et tenir dans l'autre une photo de sa famille.
RépondreSupprimerBon… après réflexion, c'est pas bon mon histoire des mains ; essaie en revenant à une seule, comme en V.O., mais en aménageant la phrase pour qu'on n'ait pas cette impression de syntaxe mal ficelée.
RépondreSupprimerOui, je pensais bien à une cheville...
RépondreSupprimerIl vit l'ultime mineur au seuil de la mort attraper un crucifix et tenir dans sa deuxième main une photo de sa famille.
RépondreSupprimerElena :
RépondreSupprimerd'accord pour la cheville… Allons vers quelque chose qui rende l'idée de résultat et d'achèvement (puisque nous avons vu les mineurs mourir, etc.)
Justine :
RépondreSupprimerIl vit l'ultime mineur au seuil de la mort attraper un crucifix et tenir dans sa deuxième main une photo de sa famille.
Ce « et tenir » est lourd… et inutile puisque sans le moindre intérêt d'un point de vue lexical (ça n'est pas comme s'il contenait une information cruciale pour la construction du sens) ; donc, vois ce que ça donne sans…
Inéluctablement?
RépondreSupprimerInéluctablement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort attraper un crucifix et dans sa deuxième main une photo de sa famille.
RépondreSupprimerNon, « inéluctablement » est trop fort.
RépondreSupprimerFatalement
RépondreSupprimerNon, « fatalement » a exactement le même sens et à peu près la même connotation que ce que tu proposais avant. Il nous faut quelque chose de neutre qui dise que nous sommes au bout du processus… – quelque chose de simple. Ne cherche pas trop compliqué ;-)
RépondreSupprimerIl vit finalement le dernier mineur au seuil de la mort serrer une croix dans une main et une photo de sa famille dans l'autre.
RépondreSupprimer"ultime", je ne sais pas...
Il vit finalement le tout dernier mineur vivant au seuil de la mort serrer une croix dans une main et une photo de sa famille dans l'autre.
RépondreSupprimerJ'avais oublié le mot : vivant...
Elena :
RépondreSupprimer- Oui pour « finalement », mais en tête de phrase pour produire l'effet que tu voulais.
- pour le reste, regarde ce que j'ai dit à Justine… On a déjà réglé cette histoire de « croix » et de main(s).
est-il bien nécessaire de traduire "l'ultime mineur vivant", alors qu'on précise ensuite au seuil de la mort?
RépondreSupprimerFinalement, il vit finalement l'unique mineur vivant au seuil de la mort serrer un crucifix dans une main et une photo de sa famille dans l'autre.
RépondreSupprimerD'accord pour crucifix, même si le mot ""crucifijo existe aussi en espagnol, mais pour l'histoire des mains, je pense qu'il vaut mieux conserver "l'une et l'autre". Ça garderai le rythme...
Oui, Justine… car ça n'a rien à voir ; les autres sont tous morts et il ne reste plus que lui, mais lui aussi, il va mourir. Il aurait pu être le dernier mais en excellente santé. Par ailleurs, quand cela paraît redondant… nous ne sommes pas là pour corriger, mais pour traduire. Éventuellement, s'il est vivant, on peut demander son avis à l'auteur… mais c'est évidemment délicat. Là, décidément, la question ne se pose pas du tout.
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RépondreSupprimerComme il est tard et qu'il reste encore un peu de travail sur cette phrase, je vous donne un petit coup de main pour qu'on puisse en finir et fermer notre petite boutique « traductive » jusqu'à demain.
RépondreSupprimerFinalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; une photo de sa famille serrée dans une main, l'homme attrapa un crucifix.