El teniente verificó el estado de su armamento y después corrió hacia la avenida paralela a la autopista, tomando una ruta alterna al fuerte.
Traduction temporaire :
Le Lieutenant vérifia l'état de ses armes, puis, préférant prendre un autre chemin pour se rendre au fort, il courut en direction de l'avenue parallèle à l'autoroute.
18 commentaires:
Le Lieutenant vérifia l'état de ses armes et ensuite, il courut en direction de l'avenue parallèle à l'autoroute, en empruntant une route alternative vers le fort.
Le Lieutenant vérifia l'état de son armement puis courut vers l'avenue parallèle à l'autoroute, empruntant une route alternative en direction du fort.
Bonjour Anonyme,
Outre qu'il serait bon de te présenter… (tu l'auras remarqué, Tradabordo se veut un blog d'échanges conviviaux et personnalisés, le plus incarnés possibles… ou chacun a sa place, avec son prénom – au minimum –, pas une borne de services), je vois que manifestement, tu n'as pas saisi les règles du jeu du Projet C2C. Les équipes ont été formées au départ (en fonction de critères précis) et resteront telles que jusqu'à la fin de l'aventure. Cela n'empêche personne de nous suivre, au contraire… – au contraire, car cela ne peut que bénéficier à ces textes intéressants, beaux pour certains, et parce que nous tenons beaucoup à la dimension pédagogique de cette histoire : montrer et plus encore exposer sans inhibants complexes nos doutes, nos hésitations… nos erreurs et parfois nos ignorances ; tout cela pour comprendre comment on peut les surmonter, les dépasser, les résoudre, parfois avec de bonnes solutions, parfois avec de moins bonnes et sans doute d'autres fois avec de mauvaises idées. Tout cela pour dire que nous n'avons rien contre des interventions extérieures, mais qu'en l'occurrence, pour ce travail-là, nous préférons qu'elles viennent à la fin du premier jet, a fortiori si elles ne sont pas signées… Personnellement, j'ai la terrible impression d'avoir une espèce de surveillant derrière mon épaule. Et puis pour le coup, nous nous mettons à nue, avec ce qui n'est pas toujours glorieux, alors que l'anonymat préserve de tout cela – le don ? La confiance ? Le pari de l'Autre. Ok, je suis un peu grandiloquente sur la forme, mais sur le fond, je pense chaque mot que j'écris. N'oublions pas l'essentiel : chacun a son niveau de français, d'espagnol, de version, de traduction et doit pouvoir se sentir à l'aise dans sa façon de travailler et de progresser… Maintenant, si tu as envie de participer à nos activités de traduction en général, le mieux est de te faire connaître, d'entrer en contact avec nous… avec moi.
Les portes de Tradabordo sont et restent toujours ouvertes (grâce à cela, nous nous sommes fait beaucoup d'amis) et c'est la principale raison pour laquelle il ne faut pas oublier dans quel esprit nous faisons tout cela.
À bientôt, autrement, j'espère !
Elena :
El teniente verificó el estado de su armamento y después corrió hacia la avenida paralela a la autopista, tomando una ruta alterna al fuerte.
1) Vérifie sur internet si un soldat parlerait plus spontanément de ses armes ou, si on s'en tient à une traduction littérale, à son « armement ».
2) Je pense que l'idée d'une virgule est bonne… et du coup, pas besoin du « et » ; par ailleurs, comme l'intervalle est court entre les deux actions, « puis » suffit.
3) Pas besoin de répéter le sujet (« il »)
4) « vers » / « en direction »… comme tu veux.
5) Je ferais un petit changement syntaxique… car je trouve bizarre cette précision du chemin suivi à la fin… Je te laisse voir où il pourrait prendre sa place dans la phrase. Tu as eu raison de garder le « en ».
Bonjour, je viens de lire votre message et suis réellement désolée de la gène qu'ont occasionné mes commentaires. Loin de moi l'idée de porter un quelconque jugement ou de surveiller qui que ce soit...Je serais d'ailleurs bien mal placée pour le faire car c'est, de fait, la première fois que je m'essaye à la traduction.. Car bien qu'ayant toujours ressenti la traduction littéraire comme une vocation, les exigences familiales ont malheureusement eu raison de mes velléités linguistiques qui se sont vues relayées au rang de simple lubie chimérique. J'ai donc du suivre un tout autre parcours -école de commerce...- et ce n'est que cette année, à 26 ans, qu'a ressurgit inexorablement cette passion si longtemps et injustement réprimée... j'ai rouvert mes livres espagnols oubliés depuis 10 ans, me surprenant à essayer de les traduire intérieurement avec pour seul diplôme, mon intuition..dans ce domaine je ne sais rien, j'ai tout à apprendre...et c'est justement au gré d'un vagabondage sur la toile à la recherche d'informations sur les formations qu'il serait génial mais malheureusement utopique d'entreprendre à mon âge, que je suis tombée sur ce blog. Enthousiasmée à l'idée qu'il puisse exister un site dédié à ce qui me plait tant, de lire ces échanges passionnants à la recherche du mot juste, et exaltée à l'idée de pouvoir enfin m'y essayer, je me suis lancée...un peu précipitamment, c'est vrai. Dans cet élan naïf et spontané, je n'avais en effet pas pris le temps de lire toutes les rubriques et informations relatives au projet, et n'en avais pas saisi la teneur collective et encadrée, et m'en excuse...
Chère Florence,
Je comprends… ne t'inquiète pas (le « tu » est de mise sur Tradabordo ; tu acceptes ?) et nous pouvons absolument reprendre tout cela à zéro ; simplement tu te doutes que nous avons régulièrement des donneurs de leçon qui viennent mettre leur nez dans nos petites « affaires », pour se mettre en avant au détriment des Tradabordiens… et que, pour cette raison, je suis très réticente à l'égard des « anonymes ».
Mais, précisément parce que tu ne distribuais pas des bons et des mauvais points, j'ai publié tes commentaires… (tous) en me disant que je te laissais une place quand même et que j'en profiterais pour t'expliquer ce que je t'ai expliqué (je me doutais qu'il fallait te laisser le bénéfice du doute). La passion de la traduction est effectivement dévorante et je te conseille de ne pas la brider… Il est bien évident que tu trouveras sur Tradabordo de quoi travailler, t'exercer, t'amuser. Autant que tu voudras et avec le contenu que tu souhaiteras : versions, interviews de traducteurs, d'éditeurs, de correcteurs… – bref tout ce qui touche de près ou de loin la traduction et nous intéresse donc grandement. N'est-ce pas parce que nous avons constitué cette riche base de données que tu nous as découverts ? Faisons cela aussi pour d'autres ! Chacun de nous t'apportera son aide, dans la mesure de ses moyens. Mais il est vrai que ça ne peut être que de manière passive sur le projet C2C – qui, tu dois l'avoir vu depuis, donnera lieu à une publication et est un exercice en binôme bien particulier. Tu n'as qu'à choisir une équipe et la regarder avancer dans son travail – le cas échéant en prenant de notes, que tu leur communiqueras à la fin de leur premier jet. Cela te convient-il ?
En revanche, tu verras dans la colonne de gauche que je mets régulièrement des versions pour mes étudiants poitevins de L2… Fais-les, envoie-les moi par mail le jour où ils doivent être rendus, je les publierai le lendemain, avec les autres, et nous commenterons ensemble l'une ou l'autre des propositions faites – la tienne ou celle d'un autre…, choisie au hasard.
Au préalable, il faut que tu t'inscrives sur le blog… pour devenir le membre n°106.
Bienvenue à bord !
Caroline
Bel échange épistolaires mesdames! Belle clarification pour Caroline, beau projet pour Florence et bienvenue sur Tradabordo, juste une petite question, que signifie : “formations qu'il serait génial mais malheureusement utopique d'entreprendre à mon âge,”(26 ans? ) ¿??
Je reviens donc à mes moutons: j’allais déposer simplement ma proposition et j’ai été happée par vos échanges épistolaires!!!
Florence… Je suis tout à fait d'accord avec Irène : il y a nécessité absolue de s'expliquer sur le point soulevé. Nous pourrions même décider que ce serait la condition de ton admission parmi nous ;-)))))
1)armement : Robert dit que oui
mais JL dit plutôt armes (expérience du contexte°.
5) un chemin de traverse / un itinéraire bis.
Irène :
1)armement : Robert dit que oui
mais JL dit plutôt armes (expérience du contexte°.
5) un chemin de traverse / un itinéraire bis.
Après relecture de la phrase et un peu de travail, je te propose :
Le Lieutenant vérifia l'état de ses armes, puis, préférant prendre un autre chemin pour se rendre au fort, il courut en direction de l'avenue parallèle à l'autoroute.
Qu'en penses-tu ?
Juste avec un peu de travail!!! : c'est pas mal...
Je pense que c'est bien !
Parfait. Je publie et je mets la suite.
Bonjour,
Avant tout, merci pour vos chaleureux messages ("vos" à comprendre dans le sens de "vosotros" et non de "ustedes", donc :)...-profitons des subtilités hispaniques!-) et je suis désolée d'y répondre si tardivement. En fait, c'est idiot..je voulais devenir membre avant de répondre, or je pensais qu'il fallait pour cela que je crée mon propre blog, ce qui me semblait bien fastidieux au vu de mes piètres compétences informatiques. Du coup les jours se sont enchainés, tout ça pour finalement me rendre compte qu'une adresse gmail suffisait. Je viens donc de créer l'adresse gmail, et me voilà enfin bel et bien à bord!
Catherine, merci infiniment pour cette invitation à rejoindre les activités de traduction du blog...si malgré mon embarquement quelque peu maladroit ta proposition est toujours de mise, ce serait un honneur et c'est avec un immense plaisir que je m'y appliquerai. J'ai d'ailleurs fait la version, et peux l'envoyer si c'est toujours d'accord...bien que n'ayant aucune idée de ce que cela donne, de mon niveau, et je ne voudrais pas risquer de te faire perdre du temps... Merci encore en tous cas...je ne saurais comment te remercier!
Pour répondre à Irène, et bien...disons que retourner sur les bancs aujourd'hui supposerait que je renonce à mon indépendance financière et vivre sous le toit familial jusqu'à mes ... 31 ans... ce n'est malheureusement pas envisageable. Car mes études en école de commerce ne me permettent pas de prétendre à une quelconque équivalence de diplômes... Mais bon, pour autant je n'y renonce pas car je crois en la volonté et en le travail, et ai toujours eu un tempérament assez autodidacte... Donc pour l'instant je me plais à comparer les traductions (de François Maspero par exemple) avec leurs versions originales, en essayant d'analyser et de comprendre leurs choix, les mécanismes, les libertés qu'ils s'octroient, et en être choquée parfois. D'une certaine manière, c'est une formation, même si en l'occurrence elle ne délivre pas de papier officiel au bout :P
Je vous dis à bientôt car quoi qu'il en soit, Tradabordo figure à présent dans mes liens favoris :)
Florence
(il me semble avoir écrit "Catherine" dans mon message précédent. Si tel est le cas, mes plus plates excuses, Caroline...)
Oui, Caroline !
Envoie ta version… Je suppose qu'il s'agit de celle des L2 ; c'est bien cela ?
Et sinon, je te dis : prends une équipe et suis de près le travail mené… car au-delà de la traduction en elle-même, il y a tout le cheminement, que nous exposons à mesure que nous avançons.
Prends tranquillement ta place…
Oui, il s'agit bien de celle des L2. D'ailleurs, je viens juste de l'envoyer! Merci encore!
Je vais également suivre ton conseil, le cheminement et les réflexions inhérents à la traduction étant en effet des plus intéressants!
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