Eso lo avergonzaba ante la memoria de quien le dio el ser y la formación.
Traduction temporaire :
Il avait honte vis-à-vis de la mémoire de celui à qui il devait la vie et l'éducation.
Il avait honte vis-à-vis de la mémoire de celui à qui il devait la vie et l'éducation.
Il se sentait honteux devant le souvenir de celui qui lui avait donné la vie et qui l'avait élevé.
RépondreSupprimerEso lo avergonzaba ante la memoria de quien le dio el ser y la formación.
RépondreSupprimerNon, décidément, « devant le souvenir » ne va pas. Il faut vraiment travailler à partir de « mémoire ».
Pour « formation », j'hésite… Je me demande si ça n'est pas un peu plus formel, c'est-à-dire à prendre au sens strict. Qu'en penses-tu ?
En utilisant "éduqué" c'est peut-être un peu plus formel ?
RépondreSupprimerJ'ai un gros doute concernant le "donné la vie", est-ce qu'on ne dit pas ça uniquement pour parler de femmes?
Il se sentait honteux face à la mémoire de celui qui lui avait donné la vie et qui l'avait éduqué.
Il se sentait honteux face à la mémoire de celui qui lui avait donné la vie et qui l'avait éduqué.
RépondreSupprimer1) « face » ou « vis-à-vis » ?
2) Peut-être pour régler le problème que te pose « donner la vie » (pour mentionner le père) devrions-nous passer par « à qui il devait la vie ».
Ok pour « éduqué » ou « éducation » – en fonction de ce que tu feras pour ce qui précède.
Vas-y, reprends…
Il se sentait honteux vis-à-vis de la mémoire de celui à qui il devait la vie et l'éducation.
RépondreSupprimerAvec "vis-à-vis" (que je trouve plus clair), je trouve que ça manque de naturel, non?
Il se sentait honteux face à la mémoire de celui à qui il devait la vie et l'éducation.
Mais décidément, « face » ne va pas… étant donné ce dont il s'agit.
RépondreSupprimerLe plus simple est peut-être d'aménager autour :
Il avait honte vis-à-vis de la mémoire de celui à qui il devait la vie et l'éducation.
Moi, ça me va… Et toi ?
Oui c'est mieux !
RépondreSupprimerOk… Je te mets la suite.
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