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jeudi 9 février 2012

Message à l'attention des Pictatrades

Que l'un(e) d'entre vous m'envoie la version définitive de ce que nous avons fait mardi – lors de l'atelier de traduction n°2. Cela me permettra de compléter le post dans lequel j'ai publié les phrases des uns et des autres. Nous verrons ainsi où nous en sommes… et ce qu'il reste à faire.

2 commentaires:

  1. Juan Salvo débarqua en une fraction de seconde quelque part où la moindre mesure de
    temps était purement et simplement une absurdité. Quand son esprit réussi à s’adapter, il
    comprit qu’il était (tomber face contre terre)
    en terrain familier, la terre violacée se perdant dans un hypothétique horizon ne lui laissa
    pas de doute.(hésitation avec laissant).
    « Un continuum espace-temps ».

    Il se redressa et se mit à genoux. C’est alors qu’il découvrit qu’il avait la tête couverte
    et qu’il portait son scafandre, à travers la visiére duquel il distingua ses mains gantées. L’odeur
    de la toile plastifiée constitua pour lui
    un réconfort, un relent de cette autre vie où les couleurs étaient plus nettes et où la certitude
    d’un avenir prospère
    était si réelle…
    Il s’agissait de la même combinaison que celle qu’il avait portée durant l’invasion de la
    Terre en mille neuf cent soixante-trois.
    Confectionnée par ses soins pour avancer dans la tempête de neige mortelle qui avait anéanti
    Buenos Aires.
    Maintenant, tout cela ne signifiait plus rien.

    Débarquer avec cette combinaison était quelque chose de logique quand on se déplaçait dans
    l’Eternité.
    Parfois les réalités se confondent, le passé et le futur n’étant plus que des jouets livrés au
    caprice
    des résonnances extraordinaires d’un Cronomaster en marche.
    Quelle putain de machine de merde, ce Cronomaster!
    Ses yeux avaient été témoins de
    l'essor et de la chute de civilisations, de l'épanouissement et de l'extinction de faunes et de flores
    qui défiaient l’imagination.
    La vie se frayait un chemin dans les endroits les plus improbables, luttant pour survivre,
    s’adaptant
    à la chaleur, au froid ou à tout autre désagrément et ne se manifestait pas toujours sous la
    forme la plus intelligente.
    Il se mit et fit ses premier pas, ses jambes rebondirent à la perfection, sans aucune sensation
    de fatigue, à peine un fourmillement dans les pieds. Après la transition son corps ne conservait
    jamais aucune trace de la douleur ou de l’épuisement.



    - Il y a aussi les phrases que vous aviez validées sur le blog mais que l'on a pas vues ensembles à l'atelier de trad mardi soir!

    - Je pense aussi qu'il faut un H à cHronomaster et les résultats sur Google le confirment.

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