Avec mon frère c’était la même chose, c’est lui le sympathique. Pour moi son frère avait la côte parce qu'il était sympa et pas lui... Ce qui me gêne c'est que les deux verbes ne sont pas au même temps...
J'avoue que j'aime bien la solution proposée par Irène… Elena, te sembles-tu que cela recouvre le sens (je veux dire au-delà de la stricte question formelle) ?
J'ai posté un commentaire, mais il semblerait qu'il n'est pas passé...
Je pense que la phrase d'Irène est pas mal. Nous n'avons, avec cette phrase, qu'une partie du dialogue du personnage, nous perdons donc une partie du sens... Faut-il le reconstituer pour autant ? Dire par exemple :
À l'époque, il m'est arrivé la même chose avec mon frère, lui, il était considéré plus sympathique que moi.
Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.
Avec mon frère, c'était pareil, lui, il est sympathique.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerAvec mon frère c'était la même chose, lui, il est bien sympathique.
RépondreSupprimerJ'ai du mal avec la traduction de la fin de la phrase, je ne comprends pas exactement ce qu'il veut exprimer...
Avec mon frère c’était la même chose, c’est lui le sympathique.
RépondreSupprimerPour moi son frère avait la côte parce qu'il était sympa et pas lui...
Ce qui me gêne c'est que les deux verbes ne sont pas au même temps...
Il veut dire que son frère était comme son collègue de travail : sympa et que de ce fait, lui, il était toujours mal considéré.
RépondreSupprimerMerci !! Dans ce cas je mettrais plus quelque chose du style :
RépondreSupprimerAvec mon frère c'était la même chose, de nous deux, c'est lui le mec sympathique.
ou
Avec mon frère c'était la même chose, c'est lui qui est le plus sympathique.
Mais ça apporte quelques changements à la construction de la phrase.
Il se passait de même avec mon frère, c'était lui le sympathique.
RépondreSupprimerPareil qu'avec mon frère, c'était toujours lui le sympathique.
RépondreSupprimerPareil qu'avec mon frère, c'était toujours lui le sympathique.
RépondreSupprimerOK pour le sens. Sinon, ça ne va pas… On n'est pas « un sympathique ». Il faut compléter avec des chevilles.
Avec mon frère c’était la même chose, c’est lui qui avait le beau rôle.
RépondreSupprimerPareil qu'avec mon frère, c'était toujours lui le plus sympathique.
RépondreSupprimerJ'avoue que j'aime bien la solution proposée par Irène… Elena, te sembles-tu que cela recouvre le sens (je veux dire au-delà de la stricte question formelle) ?
RépondreSupprimerJ'ai posté un commentaire, mais il semblerait qu'il n'est pas passé...
RépondreSupprimerJe pense que la phrase d'Irène est pas mal.
Nous n'avons, avec cette phrase, qu'une partie du dialogue du personnage, nous perdons donc une partie du sens... Faut-il le reconstituer pour autant ?
Dire par exemple :
À l'époque, il m'est arrivé la même chose avec mon frère, lui, il était considéré plus sympathique que moi.
OK… Dans ce cas, comme décidément, je trouve que la base proposée par Irène est pas mal, je propose un aménagement / complément :
RépondreSupprimerAvec mon frère, c’était pareil : vis-à-vis des gens, il avait toujours le beau rôle.
Qu'en pensez-vous ?
ok
RépondreSupprimer