Apareció de nuevo el invernadero, nunca me fallaba ese recurso, sacado de una revista electrónica de Agronomía psíquica que una vez vi cuando niño en la espera a consulta del climatólogo dental; escena en que una nube positrónica circunvala rocotas matas de araucarias, lista para regarla y mantener su nivel de rocío.
Traduction temporaire :
De nouveau, la serre m'est apparue ; cette technique, trouvée dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lue dans mon enfance, dans la salle d'attente du climatologue dentaire, fonctionnait toujours ; il s'agissait d'une scène où un nuage positronique planait au-dessus des branches de piments rocotos et d'araucarias, prêt à les arroser et à maintenir leur niveau de bruine.
De nouveau, la serre m'est apparue ; cette technique, trouvée dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lue dans mon enfance, dans la salle d'attente du climatologue dentaire, fonctionnait toujours ; il s'agissait d'une scène où un nuage positronique planait au-dessus des branches de piments rocotos et d'araucarias, prêt à les arroser et à maintenir leur niveau de bruine.
De nouveau, la serre m'est apparue ; ce truc ne loupait jamais, je l'avais vu dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lu dans mon enfance, un jour où j'attendais dans la salle d'attente du climatologue dentaire, c'était une scène dans laquelle un nuage positronique entoure des plantations de pins du Chili, prêt à l'arroser et à maintenir son niveau de bruine.
RépondreSupprimerJe ne sais pas comment traduire « rocotas », je ne le trouve pas…
Procédons progressivement
RépondreSupprimer1) « De nouveau, la serre m'est apparue »… Pourquoi cette syntaxe ?
Pour marquer le résultat positif de sa concentration.
RépondreSupprimerOK… convaincant.
RépondreSupprimerUne autre proposition que « truc » ?
RépondreSupprimer« tactique » ? ou « technique » ?
RépondreSupprimerDe nouveau, la serre m'est apparue ; cette tactique ne loupait jamais, je l'avais vu dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lu dans mon enfance, un jour où j'attendais dans la salle d'attente du climatologue dentaire, c'était une scène dans laquelle un nuage positronique entoure des plantations de pins du Chili, prêt à l'arroser et à maintenir son niveau de bruine.
Je ne sais pas comment traduire « rocotas », je ne le trouve pas…
Technique…
RépondreSupprimerPour « rocotas », j'ai vu… attends qu'on en soit là.
Remets le fragment sur lequel nous sommes d'accord… On fera ainsi des mini-récapitulatifs intermédiaires.
RépondreSupprimerDe nouveau, la serre m'est apparue ; cette technique ne loupait jamais,
RépondreSupprimerUn doute : on dit qu'une technique « loupe » ?
RépondreSupprimerDe nouveau, la serre m'est apparue ; cette technique fonctionnait toujours,
RépondreSupprimerOK…
RépondreSupprimersacado de una revista electrónica de Agronomía psíquica que una vez vi cuando niño en la espera a consulta del climatólogo dental
RépondreSupprimerje l'avais vu dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lu dans mon enfance, un jour où j'attendais dans la salle d'attente du climatologue dentaire
1) Simplifie « je l'avais trouvé »… avec un adjectif – comme en V.O. d'ailleurs. Attention, tu te mets à faire de sérieuses modifications. C'est normal et logique que tu en sois à cette phrase parce que tu fais des progrès et que tu te sens donc plus à l'aise… mais ça ne va pas. Dès lors que c'est possible et bien, il faut rester près de la V.O. Pas de réécriture intempestive.
tirée d'une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lue dans mon enfance, un jour où j'attendais dans la salle d'attente du climatologue dentaire
RépondreSupprimerUne technique « tirée » d'une revue ? Bof…
RépondreSupprimertrouvée dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lue dans mon enfance, un jour où j'attendais dans la salle d'attente du climatologue dentaire
RépondreSupprimersacado de una revista electrónica de Agronomía psíquica que una vez vi cuando niño en la espera a consulta del climatólogo dental
RépondreSupprimertrouvée dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lue dans mon enfance, un jour où j'attendais dans la salle d'attente du climatologue dentaire
À mon avis, « , un jour où j'attendais » est inutile.
De nouveau, la serre m'est apparue ; cette technique fonctionnait toujours, trouvée dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lue dans mon enfance, dans la salle d'attente du climatologue dentaire
RépondreSupprimer« dans mon enfance, dans la salle d'attente »… Pas très heureux cet usage de « dans ». Solution facile à trouver.
RépondreSupprimerDe nouveau, la serre m'est apparue ; cette technique fonctionnait toujours, trouvée dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lue enfant, dans la salle d'attente du climatologue dentaire
RépondreSupprimerVoilà !
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer; escena en que una nube positrónica circunvala rocotas matas de araucarias, lista para regarla y mantener su nivel de rocío
RépondreSupprimerc'était une scène dans laquelle un nuage positronique entoure des plantations de pins du Chili, prêt à l'arroser et à maintenir son niveau de bruine.
Remets le point-virgule comme en V.O. et pars avec « il s'agissait »
De nouveau, la serre m'est apparue ; cette technique fonctionnait toujours, trouvée dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lue, enfant, dans la salle d'attente du climatologue dentaire ; il s'agissait d'une scène dans laquelle un nuage positronique entourait des plantations de pins du Chili, prêt à les arroser et à maintenir son niveau de bruine.
RépondreSupprimeril s'agissait d'une scène dans laquelle un nuage positronique entourait des plantations de pins du Chili, prêt à les arroser et à maintenir son niveau de bruine.
RépondreSupprimer« où » à la place de « dans laquelle » – ça sera plus léger.
« entourait » ? Pas très bien, ici.
« rocoto » est dans le REAL… Ça ne t'aide pas ?????
« matas » = « plantations »… pas sûre.
« SON niveau » ?
il s'agissait d'une scène où un nuage positronique cernait des branches de pins du Chili, prêt à les arroser et à maintenir leur niveau de bruine.
RépondreSupprimer« rocoto » serait du piment ? Mais je ne vois pas comment l'intégrér dans la phrase…
Attendons que l'efficace et expérimentée Perrine te donne un coup de main pour ces questions de lexique…
RépondreSupprimerBonjour Justine, je me permets d'intervenir, juste pour te dire que araucaria existe en français n. m.
RépondreSupprimerÉTYM. 1860; araucaire, 1806; lat. bot., de Arauco, région du Chili.
v
¨ Grand arbre exotique (conifères) aux branches étalées, qui a un port très particulier dû à ses rameaux verticillés. | L'araucaria excelsa est souvent cultivé en pot dans les appartements. — En appos. :
0 De la plante araucaria les feuilles sont rouges, épaisses et duveteuses, un peu grasses et brunes. Elles ornent les cimetières, la tombe des pêcheurs morts depuis longtemps qui, durant des siècles, se promenèrent sur cette côte encore sauvage et douce.
Jean Genet, Journal du voleur, p. 156.
Gd Robert
Il y a des jeux télé où on a un joker… et des jeux traductifs où on a Elena ;-)
RépondreSupprimer;-))))))))
RépondreSupprimer1) Pour "circunvaba", je propose "planait au-dessus".
RépondreSupprimer2) Pour "rocotas", je me demande s'il ne s'agit pas et de branches de piments rocotos, et de branches d'araucarias...
il s'agissait d'une scène où un nuage positronique planait au-dessus des branches de piments rocotos et d'araucarias, prêt à les arroser et à maintenir leur niveau de bruine.
Pour le premier fragment, j'ai une suggestion quant à la syntaxe : je mettrais plutôt "fonctionnait toujours" à la fin du fragment. Ce qui donnerait :
De nouveau, la serre m'est apparue ; cette technique, trouvée dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lue dans mon enfance, dans la salle d'attente du climatologue dentaire, fonctionnait toujours
Justine – pour les deux propositions de Perrine ?
RépondreSupprimerDe nouveau, la serre m'est apparue ; cette technique, trouvée dans une revue électronique d'Agronomie psychique que j'avais lue dans mon enfance, dans la salle d'attente du climatologue dentaire, fonctionnait toujours ; il s'agissait d'une scène où un nuage positronique planait au-dessus des branches de piments rocotos et d'araucarias, prêt à les arroser et à maintenir leur niveau de bruine.
RépondreSupprimerOk pour moi
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