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mardi 10 juillet 2012

Les Aurores boréales – phrase 25


El ascensor, a poco de donde debía dejarme comenzó a caer, había de por medio un centenar de pisos para descalabrarnos y ella estaba cerrada los ojos,  impasible,  sumida ahora en no sé cual pensamiento nefasto, así que activé mi vetusta máquina de transferencia y bucee en mis imágenes para encontrar alguna, a manera de primeros auxilios, de la que pudiera arrancar fuerza para controlar el elevador; agudicé el enfoque de las profundidades del ombligo de la hermana de Buda, de una escultura en jade, que tenía como centro de mesa y la observaba con detenimiento cuando me sentaba delante a humear con mi pipa de canela, ¡fue lo primero que encontré!,  yo lo consideraba bello, excelso si se quiere: oval, abisal, carnoso,  hasta lipóideo me parecía. Lo único que consiguió el ombligo de la dama fue acelerar más la caída.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Pratiquement là où il était supposé me laisser, l'ascenseur se mit à tomber vertigineusement ; ce qui représentait en gros une centaine d'étages pour être bien bousculés ; or, elle demeurait les yeux fermés, impassible, plongée maintenant dans je ne sais quelle pensée néfaste. J'ai donc activé ma vétuste machine de transfert et fouillé dans mes images pour en trouver une de secours dans laquelle je pourrais puiser la force de reprendre le contrôle de l'ascenseur. J’ai affiné la mise au point sur les profondeurs du nombril de la sœur de Bouddha, détail d'une sculpture en jade qui trônait au centre de la table et que j’observais avec attention quand je m’asseyais en face pour fumer mon bâton de cannelle ; la première chose qui m'est venue à l'esprit ! Je le trouvais beau,  exceptionnel même : ovale, abyssal, sensuel, je dirais même lipoïde. Or, tout ce qu'a réussi à provoquer ledit nombril de la dame,  c'est une accélération encore accrue de notre descente.

47 commentaires:

  1. Près de l'endroit où il devait me laisser, l'ascenseur entama une chute libre, il avait en moyenne une centaine d'étages pour nous malmener ; et elle demeurait les yeux fermés, impassible, désormais plongée dans je ne sais quelle pensée néfaste, j'ai donc activé ma vétuste machine de transfert et fouillé dans mes images pour en trouver une – en guise de premiers secours – de laquelle je pourrais puiser la force de contrôler l'ascenseur. J'ai affiné la mise au point des profondeurs du nombril de la soeur de Boudha, d'une sculpture en jade qui me servait de centre de table et que j'observais avec attention lorsque je m'asseyais en face pour fumer ma pipe de cannelle ; c'est la première image qui m'est venue à l'esprit ! Je le jugeais beau, exceptionnel si vous me le permettez : ovale, abyssal, pulpeux, je dirais même lipoïde. La seule chose qu'a réussi à faire le nombril de la dame a été d'accélérer davantage la chute.

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  2. On va faire progressivement… Décidément, l'auteur est adepte des phrases longues ;-)

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  3. El ascensor, a poco de donde debía dejarme comenzó a caer, había de por medio un centenar de pisos para descalabrarnos

    Près de l'endroit où il devait me laisser, l'ascenseur entama une chute libre, il avait en moyenne une centaine d'étages pour nous malmener ;

    1) « l'endroit » pour l'étage d'un ascenseur ? Essaie de trouver autre chose.

    2) « entama une chute libre » ; pas très bien… Pb avec le verbe.

    3) Point-virgule après « chute libre »

    4) La suite est à reprendre… Travaille notamment le verbe.

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  4. Près de là où il devait me laisser, l'ascenseur se précipita dans une chute libre ; il disposait en moyyenne d'une centaine d'étages pour nous malmener ;

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  5. Près de là où il devait me laisser, l'ascenseur se précipita dans une chute libre ; il disposait en moyyenne d'une centaine d'étages pour nous malmener ;

    1) Pour le début :
    « Pratiquement là… »

    2) Pour cette histoire de chute…, je pense qu'il faut que tu dissocies – commence par dire qu'il tombe et après, précise que c'est en chute libre.

    3) « disposer » ne va pas… Passe par « il avait devant lui ».

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  6. Pratiquement là où il devait me laisser, l'ascenseur tomba en chute libre ; il avait devant lui une centaine d'étages environ pour nous malmener ;

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  8. Bonjour à vous deux ! Je suis désolée pour ces quelques jours d'absence, ma connexion internet a été malencontreusement coupée.

    Pour ce premier morceaux, je suis d'accord, avec une légère modification dans l'ordre des mots pour la fin :

    Pratiquement là où il devait me laisser, l'ascenseur tomba en chute libre ; il avait environ une centaine d'étages devant lui pour nous malmener ;

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  9. Pratiquement là où il devait me laisser, l'ascenseur tomba en chute libre ; il avait environ une centaine d'étages devant lui pour nous malmener ;

    1) « se mit à tomber vertigineusement ». Qu'en pensez-vous ?
    2) Je pense que « malmener » est trop faible… Retournez voir le dictionnaire unilingue.

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  10. Pratiquement là où il devait me laisser, l'ascenseur se mit à tomber vertigineusement ; il avait environ une centaine d'étages devant lui pour nous maltraiter ;

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  11. "blesser" ?

    Pratiquement là où il devait me laisser, l'ascenseur se mit à tomber vertigineusement ; il avait environ une centaine d'étages devant lui pour nous blesser ;

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  12. En fait, après relecture de la V.O., je me rends compte que notre problème vient d'une mauvaise traduction de « había »… À reprendre !

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  13. Pratiquement là où il était sensé me laisser, l'ascenseur se mit à tomber vertigineusement ; il devait y avoir environ une centaine d'étages pour nous blesser ;

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  14. Pratiquement là où il était sensé me laisser, l'ascenseur se mit à tomber vertigineusement ; il devait y avoir environ une centaine d'étages pour nous blesser ;

    Je propose – histoire d'avancer :

    Pratiquement là où il était supposé me laisser, l'ascenseur se mit à tomber vertigineusement ; ce qui représentait en gros une centaine d'étages pour être bien bousculés ;

    OK ?

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  15. Pratiquement là où il était supposé me laisser, l'ascenseur se mit à tomber vertigineusement ; ce qui représentait en gros une centaine d'étages pour être bien bousculés ;

    OK

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  16. Ah oui, en effet, c'était "había DE"...

    OK pour moi aussi.

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  17. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  18. y ella estaba cerrada los ojos, impasible, sumida ahora en no sé cual pensamiento nefasto,

    et elle demeurait les yeux fermés, impassible, désormais plongée dans je ne sais quelle pensée néfaste,

    1) C'est un « y » qui ne veut pas dire « et » ; à adapter en fonction de ce qui précède et de la logique de la phrase.

    2) Traduis « ahora » littéralement – car ici « désormais » ne va pas.

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  19. or, elle demeurait les yeux fermés, impassible, maintenant plongée dans je ne sais quelle pensée néfaste,

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  20. J'aurais tendance à inverser "plongée maintenant".

    or, elle demeurait les yeux fermés, impassible, plongée maintenant dans je ne sais quelle pensée néfaste,

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  21. or, elle demeurait les yeux fermés, impassible, plongée maintenant dans je ne sais quelle pensée néfaste,

    OK.

    Justine ?

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  22. or, elle demeurait les yeux fermés, impassible, plongée maintenant dans je ne sais quelle pensée néfaste,

    OK.

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  23. así que activé mi vetusta máquina de transferencia y bucee en mis imágenes para encontrar alguna, a manera de primeros auxilios, de la que pudiera arrancar fuerza para controlar el elevador;

    j'ai donc activé ma vétuste machine de transfert et fouillé dans mes images pour en trouver une – en guise de premiers secours – de laquelle je pourrais puiser la force de contrôler l'ascenseur.

    1) Franchement, je crois qu'on devrait mettre un point ici et commencer une phrase à part entière. Nous avons bien compris que cet auteur aimait les phrases longues, mais pas sûre que ça crée un effet de style particulier… alors qu'en français, il est à peu près évident que ça complique la lecture.

    2) « – en guise de premiers secours – » ; à reprendre.

    3) Pour la fin, ajoute « reprendre ».

    OK pour le reste… pas mal.

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  24. . J'ai donc activé ma vétuste machine de transfert et fouillé dans mes images pour en trouver une – sorte de premiers secours – de laquelle je pourrais puiser la force de reprendre le contrôle de l'ascenseur.

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  25. Je pense qu'"en guise" éétait bien, mais qu'il faut supprimer "premier". Et je ne pense pas que les tirets d'incise soient nécessaires ici.

    . J'ai donc activé ma vétuste machine de transfert et fouillé dans mes images pour en trouver une, en guise de secours, de laquelle je pourrais puiser la force de reprendre le contrôle de l'ascenseur.

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  26. . J'ai donc activé ma vétuste machine de transfert et fouillé dans mes images pour en trouver une, en guise de secours, de laquelle je pourrais puiser la force de reprendre le contrôle de l'ascenseur.

    Non, vraiment « en guise de » ne va pas…

    Voyez si ça fonctionne en réécrivant carrément.

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  27. . J'ai donc activé ma vétuste machine de transfert et fouillé dans mes images pour en trouver une de secours dans laquelle je pourrais puiser la force de reprendre le contrôle de l'ascenseur.

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  28. Ah oui… c'est bien ça.

    Justine ?

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  29. . J'ai donc activé ma vétuste machine de transfert et fouillé dans mes images pour en trouver une de secours dans laquelle je pourrais puiser la force de reprendre le contrôle de l'ascenseur.

    OK.

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  30. ; agudicé el enfoque de las profundidades del ombligo de la hermana de Buda, de una escultura en jade, que tenía como centro de mesa y la observaba con detenimiento cuando me sentaba delante a humear con mi pipa de canela,

    « . J'ai affiné la mise au point des profondeurs du nombril de la soeur de Boudha, »
    Je trouve que ça n'est pas très clair… et je me demande si c'est lié à la littéralité. Qu'en pensez-vous ?

    « d'une sculpture en jade qui me servait de centre de table » ; je crois que « servait » est mal choisi…

    et que j'observais avec attention lorsque je m'asseyais en face pour fumer ma pipe de cannelle ;
    « humear » ?

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  31. 1) En effet, ce n'est pas très clair, je pense qu'il faut ajouter un mot : "J’ai affiné la mise au point sur les profondeurs du nombril de la sœur de Bouddha..."

    2) "qui trônait" ?

    3) Je ne comprends pas ton interrogation, il ne s'agit pas de "fumer" ?

    J’ai affiné la mise au point sur les profondeurs du nombril de la sœur de Bouddha d’une sculpture en jade qui trônait au centre de la table et que j’observais avec attention quand je m’asseyais en face pour fumer ma pipe de cannelle

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  32. ; agudicé el enfoque de las profundidades del ombligo de la hermana de Buda, de una escultura en jade, que tenía como centro de mesa y la observaba con detenimiento cuando me sentaba delante a humear con mi pipa de canela,

    J’ai affiné la mise au point sur les profondeurs du nombril de la sœur de Bouddha d’une sculpture en jade qui trônait au centre de la table et que j’observais avec attention quand je m’asseyais en face pour fumer ma pipe de cannelle

    Pas mal ; mais ce qui me gêne, mais ce qui me gêne c'est l'enchaînement DU nombril / D'UNE sculpture. Ça crée un peu de confusion à cause de la mise sur un même plan…

    Et sinon, ça existe « pipe de cannelle » ?

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  33. J’ai affiné la mise au point sur les profondeurs du nombril de la sœur de Bouddha, représentée par une sculpture en jade qui trônait au centre de la table et que j’observais avec attention quand je m’asseyais en face pour fumer mon bâton de cannelle

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  34. J’ai affiné la mise au point sur les profondeurs du nombril de la sœur de Bouddha, détail d''une sculpture en jade qui trônait au centre de la table et que j’observais avec attention quand je m’asseyais en face pour fumer mon bâton de cannelle ;

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  35. agudicé el enfoque de las profundidades del ombligo de la hermana de Buda, de una escultura en jade, que tenía como centro de mesa y la observaba con detenimiento cuando me sentaba delante a humear con mi pipa de canela,

    J’ai affiné la mise au point sur les profondeurs du nombril de la sœur de Bouddha, représentée par une sculpture en jade qui trônait au centre de la table et que j’observais avec attention quand je m’asseyais en face pour fumer mon bâton de cannelle

    OK.

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  36. ¡fue lo primero que encontré!, yo lo consideraba bello, excelso si se quiere: oval, abisal, carnoso, hasta lipóideo me parecía. Lo único que consiguió el ombligo de la dama fue acelerar más la caída.

    ; c'est la première image qui m'est venue à l'esprit !
    Je crois qu'on a déjà suffisamment le mot « image » dans ce texte et qu'on devrait donc mettre « chose » ; sauf si on l'a déjà dans cette phrase.

    Je le jugeais beau,
    Pourquoi pas « trouvais » ? Si c'est parce que ça introduit une répétition, il faut quand même proposer autre chose… car « juger » n'est pas très bien ici.

    exceptionnel si vous me le permettez
    « permettez » = FS / CS

    : ovale, abyssal, pulpeux, je dirais même lipoïde.
    « pulpeux » = je crois que c'est un petit FS.

    La seule chose qu'a réussi à faire le nombril de la dame a été d'accélérer davantage la chute.
    Commence par la phrase par « Or tout » + reprendre l'ensemble pour essayer de rendre plus naturel et de supprimer « faire » – peut-être avec « résultat ». À voir.

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  37. Ah… Justine, nos commentaires se sont croisés et tu proposes une autre solution pour le morceau de phrase précédent.
    Je regarde :
    J’ai affiné la mise au point sur les profondeurs du nombril de la sœur de Bouddha, détail d'une sculpture en jade qui trônait au centre de la table et que j’observais avec attention quand je m’asseyais en face pour fumer mon bâton de cannelle ;

    Oui, c'est pas mal… cette histoire de détail.

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  38. c'est la première chose qui m'est venue à l'esprit ! Je le trouvais beau, exceptionnel même : ovale, abyssal, charnu, je dirais même lipoïde. Or, tout ce qu'a réussi à provoquer le nombril de la dame a été davantage d'accélération dans la chute.

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  39. c'est la première chose qui m'est venue à l'esprit ! Je le trouvais beau, exceptionnel même : ovale, abyssal, charnu, je dirais même lipoïde. Or, tout ce qu'a réussi à provoquer le nombril de la dame a été davantage d'accélération dans la chute.

    Je te propose :

    La première chose qui m'est venue à l'esprit ! Je le trouvais beau, exceptionnel même : ovale, abyssal, sensuel, je dirais même lipoïde. Or, tout ce qu'a réussi à provoquer ledit nombril de la dame, c'est une accélération encore accrue de notre descente.

    OK ?

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  40. La première chose qui m'est venue à l'esprit ! Je le trouvais beau, exceptionnel même : ovale, abyssal, sensuel, je dirais même lipoïde. Or, tout ce qu'a réussi à provoquer ledit nombril de la dame, c'est une accélération encore accrue de notre descente.

    OK, c'est beaucoup mieux, merci !

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  41. La première chose qui m'est venue à l'esprit ! Je le trouvais beau, exceptionnel même : ovale, abyssal, sensuel, je dirais même lipoïde. Or, tout ce qu'a réussi à provoquer ledit nombril de la dame, c'est une accélération encore accrue de notre descente.

    Perrine ?

    Et je récapitule pour l'ensemble dans un autre commentaire.

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  42. Pratiquement là où il était supposé me laisser, l'ascenseur se mit à tomber vertigineusement ; ce qui représentait en gros une centaine d'étages pour être bien bousculés ; or, elle demeurait les yeux fermés, impassible, plongée maintenant dans je ne sais quelle pensée néfaste. J'ai donc activé ma vétuste machine de transfert et fouillé dans mes images pour en trouver une de secours dans laquelle je pourrais puiser la force de reprendre le contrôle de l'ascenseur. J’ai affiné la mise au point sur les profondeurs du nombril de la sœur de Bouddha, détail d'une sculpture en jade qui trônait au centre de la table et que j’observais avec attention quand je m’asseyais en face pour fumer mon bâton de cannelle ; la première chose qui m'est venue à l'esprit ! Je le trouvais beau, exceptionnel même : ovale, abyssal, sensuel, je dirais même lipoïde. Or, tout ce qu'a réussi à provoquer ledit nombril de la dame, c'est une accélération encore accrue de notre descente.

    OK ?

    Justine, en attendant l'avis de Perrine, je te mets la suite… Nous sommes proches de la fin ;-)

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  43. OK pour moi, juste une suggestion à la place de "chose" pour "c'est la première chose qui m'est venue à l'esprit" : "c'est la première idéeé...", qu'en pensez-vous ?

    Pratiquement là où il était supposé me laisser, l'ascenseur se mit à tomber vertigineusement ; ce qui représentait en gros une centaine d'étages pour être bien bousculés ; or, elle demeurait les yeux fermés, impassible, plongée maintenant dans je ne sais quelle pensée néfaste. J'ai donc activé ma vétuste machine de transfert et fouillé dans mes images pour en trouver une de secours dans laquelle je pourrais puiser la force de reprendre le contrôle de l'ascenseur. J’ai affiné la mise au point sur les profondeurs du nombril de la sœur de Bouddha, détail d'une sculpture en jade qui trônait au centre de la table et que j’observais avec attention quand je m’asseyais en face pour fumer mon bâton de cannelle ; la première idée qui m'est venue à l'esprit ! Je le trouvais beau, exceptionnel même : ovale, abyssal, sensuel, je dirais même lipoïde. Or, tout ce qu'a réussi à provoquer ledit nombril de la dame, c'est une accélération encore accrue de notre descente.

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  44. Pour le coup, je pense que « chose » est mieux… Pour trois raisons :
    - d'abord parce qu'on a déjà pas mal « idées », si mes souvenirs sont bons.
    - Ensuite, plus important, parce que je crois que c'est ce qu'on dit spontanément.
    - Parce qu'en l'occurrence il s'agit bien d'une chose.

    Quoi qu'il en soit, contente que nous en ayons terminé avec cette loooooongue phrase pas facile à manier.

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  45. SI "chose " convient effectivement mieux, attention, car dans la traduction temporaire, c'est "idée " qui apparaît...

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