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samedi 28 juillet 2012

Les Aurores boréales – phrase 31

Caer de un cuarto piso es suficiente para aniquilarse, balanceó la mano y sonrió sin mostrar los dientes mientras las puertas la engullían. 

Traduction temporaire :
Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle m'a adressé un petit signe de la main et a esquissé un sourire tandis que les portes l'avalaient.

6 commentaires:

  1. Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se tuer ; elle balança sa main, un sourire aux lèvres, alors que les portes l'avalaient.

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  2. 1) Il n'a pas choisi « tuer » ; donc n'explicite pas là où ça n'est pas explicité… sous peine de tomber dans la réécriture et de trahir la V.O.

    2) « balancer » ?

    3) « sonrió sin mostrar los dientes » ?

    (encore une fois, attention aux premiers jets ; manque de concentration)

    4) « tandis que… »

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  3. Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle a mis sa main en équilibre, a souri sans montrer les dents, tandis que les portes l'avalaient.

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  4. Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle a mis sa main en équilibre, a souri sans montrer les dents, tandis que les portes l'avalaient.

    Mais non, tu ne comprends pas cette histoire de main : elle lui dit au revoir d'un petit signe.

    « souri sans montrer les dents » ne va pas… ; tu n'es pas obligée de traduire littéralement. Il suffit de faire comprendre qu'elle sourit faiblement… Elle n'éclate pas de rire, quoi.

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  5. Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle m'a adressé un petit signe de la main, a esquissé un sourire, tandis que les portes l'avalaient.

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  6. Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle m'a adressé un petit signe de la main, a esquissé un sourire, tandis que les portes l'avalaient.

    Voilà mais on va supprimer la dernière virgule.

    Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle m'a adressé un petit signe de la main et a esquissé un sourire tandis que les portes l'avalaient.

    Perrine ?

    Justine, je te mets la suite.

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