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jeudi 26 juillet 2012

Les Warmicusi – phrases 81-82

El único que se atrevía a dejar su puerta abierta por unas horas, era don Tálamo. Aseguraba que las ratas no se atreverían a salir a esas horas de la tarde porque morirían achicharradas a medio camino y al parecer tenía razón, pero nunca nadie se atrevió a imitarlo.

Traduction temporaire :
Don Tálamo était le seul qui se risquait à laisser sa porte ouverte quelques heures. Il affirmait que les rats ne s'aventureraient pas à montrer le bout du nez à ce moment-là de l’après-midi, sous peine de mourir carbonisés – ce en quoi il avait sûrement raison. Mais jamais personne ne se hasarda à l’imiter.

9 commentaires:

  1. Don Tálamo était le seul qui se risquait à laisser sa porte ouverte quelques heures. Il assurait que les rats ne s'aventureraient pas à ce moment de l'après-midi parce qu'ils mourraient carbonisés à mi-chemin. Il avait assurément raison, mais personne ne se décida jamais à faire de même.

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  2. El único que se atrevía a dejar su puerta abierta por unas horas, era don Tálamo. Aseguraba que las ratas no se atreverían a salir a esas horas de la tarde porque morirían achicharradas a medio camino y al parecer tenía razón, pero nunca nadie se atrevió a imitarlo.

    Une difficulté : on a trois fois le verbe "atreverse a" dans ce passage. En français, j'ai donc choisi un verbe différent à chaque fois.

    Le seul qui osait laisser sa porte ouverte quelques heures durant était don Tálamo. Il affirmait que les rats ne se risqueraient pas à sortir à ces heures-là de l’après-midi, sous peine de mourir grillés à mi-chemin, ce en quoi il avait sûrement raison, mais jamais personne n’eut l'audace de / ne se hasarda à l’imiter.

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  3. Oui, j'ai eu la même difficulté. Nous avons déjà une fois "oser".

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  4. - El único que se atrevía a dejar su puerta abierta por unas horas, era don Tálamo.

    Pour la syntaxe, je pense qu'Elena a raison… mais « heures durant » est bien. Mariez tout ça ;-)

    - Aseguraba que las ratas no se atreverían a salir a esas horas de la tarde

    Oui pour « il affirmait ».
    « se risquer » ou « s'aventurer » ; je trouve les deux bien et vous laisse trancher.

    - porque morirían achicharradas a medio camino y al parecer tenía razón, pero nunca nadie se atrevió a imitarlo.

    Oui pour « sous peine ».
    « carbonisés » est pas mal…
    À la place de « à mi-chemin » (et à mi-chemin de quoi, d'ailleurs ?,) que pensez-vous de passer par « monter le bout du nez ».
    « ce en quoi il avait sûrement raison » ; bien, mais avec un tiret devant et un point ensuite.

    - pero nunca nadie se atrevió a imitarlo.
    « se hasarder » est une bonne idée.

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  5. Je fais donc le "mix" :

    Don Tálamo était le seul qui se risquait à laisser sa porte ouverte quelques heures durant. Il affirmait que les rats ne s'aventureraient pas à montrer le bout du nez à ce moment-là de l’après-midi, sous peine de mourir carbonisés en chemin — ce en quoi il avait sûrement raison. Mais jamais personne ne se hasarda à l’imiter.

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  6. Don Tálamo était le seul qui se risquait à laisser sa porte ouverte quelques heures durant. Il affirmait que les rats ne s'aventureraient pas à montrer le bout du nez à ce moment-là de l’après-midi, sous peine de mourir carbonisés en chemin — ce en quoi il avait sûrement raison. Mais jamais personne ne se hasarda à l’imiter.

    1) Du coup, je crois que « quelques heures » tout court est mieux.

    2) Pas besoin de « en chemin ».

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  7. Don Tálamo était le seul qui se risquait à laisser sa porte ouverte quelques heures. Il affirmait que les rats ne s'aventureraient pas à montrer le bout du nez à ce moment-là de l’après-midi, sous peine de mourir carbonisés — ce en quoi il avait sûrement raison. Mais jamais personne ne se hasarda à l’imiter.

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  8. Don Tálamo était le seul qui se risquait à laisser sa porte ouverte quelques heures. Il affirmait que les rats ne s'aventureraient pas à montrer le bout du nez à ce moment-là de l’après-midi, sous peine de mourir carbonisés — ce en quoi il avait sûrement raison. Mais jamais personne ne se hasarda à l’imiter.

    OK.

    Je mets la suite.

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