—A quince no más doncito, respondió Rogelio, mirando desconfiado a su interlocutor.
Traduction temporaire :
— Tout juste quinze, mon petit monsieur – répondit Rogelio en fixant son interlocuteur avec méfiance.
— Tout juste quinze, mon petit monsieur – répondit Rogelio en fixant son interlocuteur avec méfiance.
— Tout juste quinze Nouveaux soles, mon bon monsieur, répondit Rogelio en fixant son interlocuteur avec méfiance.
RépondreSupprimer« Nouveaux soles » ?
RépondreSupprimer« doncito » ; ironie pour « don » ou pas ?
J'ai voulu mettre l'unité monétaire péruvienne.
RépondreSupprimerPour l'ironie, c'est possible, mais il est tout de même méfiant.
Don + cito = c'est ironique… et la méfiance n'est pas contradictoire.
RépondreSupprimerPas besoin de dire la monnaie, puisque lui ne le dit pas.
— Tout juste quinze, mon petit gars – répondit Rogelio en fixant son interlocuteur, avec méfiance.
RépondreSupprimer— Tout juste quinze, mon petit gars – répondit Rogelio en fixant son interlocuteur, avec méfiance.
RépondreSupprimerNon, « mon petit gars » ne va pas… puisque l'ironie est construit à partir d'une dérivation de DON/Señor.
1) "mon petit monsieur" ?
RépondreSupprimer2) J'enlèverais la virgule avant "avec méfiance".
— Tout juste quinze, mon petit monsieur – répondit Rogelio en fixant son interlocuteur avec méfiance.
— Tout juste quinze, mon petit monsieur – répondit Rogelio en fixant son interlocuteur avec méfiance.
RépondreSupprimerOK.
Justine ?
— Tout juste quinze, mon petit monsieur – répondit Rogelio en fixant son interlocuteur avec méfiance.
RépondreSupprimerOK.