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mardi 16 octobre 2012

Les Lunes – phrases 304-306

Comenzaba a perder el aire cuando ella llegó hasta mí.
—¿Puedes sujetarte de mi cuello? —preguntó.
—Si hace falta —alcancé a decir.

Traduction temporaire :
Je commençais à manquer d’air lorsqu’elle arriva jusqu’à moi.
— Tu peux t’agripper à mon cou ? – demanda-t-elle.
— S’il le faut, oui – parvins-je à répondre.

9 commentaires:

  1. Je commençais à manquer d'air au moment où elle arriva jusque moi.
    — Tu peux t'agripper à mon cou ? – demanda-t-elle.
    — S'il le faut.– parvins-je à lui répondre.

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  2. Traduis « cuando » par « quand » ici.

    « jusque moi » ; ça ne va pas.

    On ajoute « oui » après le « s'il me faut » ?

    Tu peux supprimer le « lui ».

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  3. Je commençais à manquer d'air quand elle arriva jusqu'à moi.
    — Tu peux t'agripper à mon cou ? – demanda-t-elle.
    — Oui, s'il le faut.– parvins-je à répondre.

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  4. Je commençais à manquer d’air lorsqu’elle arriva jusqu’à moi.
    — Tu peux t’agripper à mon cou ? – demanda-t-elle.
    — Oui, s’il le faut – parvins-je à répondre.

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  5. Je commençais à manquer d’air lorsqu’elle arriva jusqu’à moi.
    — Tu peux t’agripper à mon cou ? – demanda-t-elle.
    — S’il le faut, oui – parvins-je à répondre.

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  6. « — Oui, s'il le faut.– parvins-je à répondre. » ou « — S’il le faut, oui – parvins-je à répondre. » ?

    Je vous laisse trancher.

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  7. Je ne vois pas de grande différence entre les deux propositions. J'adopte la tienne, Manon. Qu'en dis-tu Elena?

    Je commençais à manquer d’air lorsqu’elle arriva jusqu’à moi.
    — Tu peux t’agripper à mon cou ? – demanda-t-elle.
    — S’il le faut, oui – parvins-je à répondre.

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  8. Je commençais à manquer d’air lorsqu’elle arriva jusqu’à moi.
    — Tu peux t’agripper à mon cou ? – demanda-t-elle.
    — Oui, s’il le faut – parvins-je à répondre.

    C'étaient les propositions d'Hélène et d'Elena, et ça me convient tout à fait aussi :)

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  9. Puisqu'il faut que je départage ;-):

    Je commençais à manquer d’air lorsqu’elle arriva jusqu’à moi.
    — Tu peux t’agripper à mon cou ? – demanda-t-elle.
    — S’il le faut, oui – parvins-je à répondre.

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