¡Vamos, basura, vamos! ¡Tienes que decirle que la amas, que la amas, que la aamaaaas! Gritó. Y ya en, la puerta de madera,con sus puños, sus rodillas y cabeza, comenzó a golpearla, restregándose en sus relieves, en sus motivos de animales que tenía tallados, y gritó con todas sus fuerzas: ¡Andreaaaaaa, te amo, puta mareee! ¡Te aamoooo! Tres veces seguidas.
Traduction temporaire :
Allez, pauvre con, allez ! Tu dois lui avouer que tu l'aimes, que tu l'aimes, que tu l'aiiimes ! s'époumona-t-il. Et à présent devant la porte en bois, avec ses poings, ses genoux et sa tête, il commença à cogner dessus, s'égratignant contre ses aspérités, contre ses motifs animaliers sculptés, et il brailla de toutes ses forces : Andreaaaaaa, je t'aime, putainnn ! Je t'aaiiiime ! - Trois fois de suite.
Allez, pauvre con, allez ! Tu dois lui avouer que tu l'aimes, que tu l'aimes, que tu l'aiiimes ! s'époumona-t-il. Et à présent devant la porte en bois, avec ses poings, ses genoux et sa tête, il commença à cogner dessus, s'égratignant contre ses aspérités, contre ses motifs animaliers sculptés, et il brailla de toutes ses forces : Andreaaaaaa, je t'aime, putainnn ! Je t'aaiiiime ! - Trois fois de suite.
Allez, pauvre con, allez ! Tu dois lui avouer que tu l'aimes, que tu l'aimes, que tu l'aiiimes ! s'époumona-t-il. Et là, devant la porte en bois, avec ses poings, ses genoux et sa tête, il commença à la cogner, se frottant à ses reliefs, à ses motifs animaliers taillés, et il brailla de toutes ses forces :
RépondreSupprimerAndreaaaaaa, je t'aime, putainnn ! Je t'aaiiiime ! Trois fois de suite.
Bonsoir!
RépondreSupprimerComme hier, je reprends la proposition de Manon :
Allez, pauvre con, allez ! Tu dois lui avouer que tu l'aimes, que tu l'aimes, que tu l'aiiimes ! s'époumona-t-il. Et là, devant la porte en bois, avec ses poings, ses genoux et sa tête, il commença à la cogner, se griffant à ses reliefs, à ses motifs animaliers taillés, et il brailla de toutes ses forces :
Andreaaaaaa, je t'aime, putainnn ! Je t'aaiiiime ! Trois fois de suite.
Pour "restregar", dans la Real Academia, on trouve : "Estregar o frotar mucho y con ahínco algo con otra cosa."
"Frotter" tout seul est peut-être trop faible en français. Il y va fort, il cogne et se fait sans doute mal. Mais je sur-traduis peut-être avec "griffer".
"Griffer" me convient, vu le contexte, donc je suis d'accord avec ta proposition, Julie.
RépondreSupprimer« ya » = « une fois » ou « à présent ».
RépondreSupprimer« la cogner » ou « cogner dessus » ?
« à » ou « contre » ?
« griffer » ou « égratigner » ?
« reliefs » ou « aspérités ».
« taillés » ; il manque une cheville derrière + « taillés » n'est en soi pas très bien choisi ici.
Tiret avant « trois fois de suite ».
OK pour le reste ; vous vous êtes bien débrouillées.
Allez, pauvre con, allez ! Tu dois lui avouer que tu l'aimes, que tu l'aimes, que tu l'aiiimes ! s'époumona-t-il. Et à présent, devant la porte en bois, avec ses poings, ses genoux et sa tête, il commença à cogner dessus, s'égratignant à ses aspérités, à ses motifs animaliers sculptés, et il brailla de toutes ses forces :
RépondreSupprimerAndreaaaaaa, je t'aime, putainnn ! Je t'aaiiiime ! - Trois fois de suite.
Allez, pauvre con, allez ! Tu dois lui avouer que tu l'aimes, que tu l'aimes, que tu l'aiiimes ! s'époumona-t-il. Et à présent, devant la porte en bois, avec ses poings, ses genoux et sa tête, il commença à cogner dessus, s'égratignant à [je pense vraiment que « contre » est mieux] ses aspérités, à ses motifs animaliers sculptés, et il brailla de toutes ses forces :
RépondreSupprimerAndreaaaaaa, je t'aime, putainnn ! Je t'aaiiiime ! - Trois fois de suite.
OK pour le reste.
Allez, pauvre con, allez ! Tu dois lui avouer que tu l'aimes, que tu l'aimes, que tu l'aiiimes ! s'époumona-t-il. Et à présent, devant la porte en bois, avec ses poings, ses genoux et sa tête, il commença à cogner dessus, s'égratignant contre ses aspérités, contre ses motifs animaliers sculptés, et il brailla de toutes ses forces :
RépondreSupprimerAndreaaaaaa, je t'aime, putainnn ! Je t'aaiiiime ! - Trois fois de suite.
Allez, pauvre con, allez ! Tu dois lui avouer que tu l'aimes, que tu l'aimes, que tu l'aiiimes ! s'époumona-t-il. Et à présent, devant la porte en bois, avec ses poings, ses genoux et sa tête, il commença à cogner dessus, s'égratignant contre ses aspérités, contre ses motifs animaliers sculptés, et il brailla de toutes ses forces :
RépondreSupprimerAndreaaaaaa, je t'aime, putainnn ! Je t'aaiiiime ! - Trois fois de suite.
Allez, pauvre con, allez ! Tu dois lui avouer que tu l'aimes, que tu l'aimes, que tu l'aiiimes ! s'époumona-t-il. Et à présent devant la porte en bois, avec ses poings, ses genoux et sa tête, il commença à cogner dessus, s'égratignant contre ses aspérités, contre ses motifs animaliers sculptés, et il brailla de toutes ses forces : Andreaaaaaa, je t'aime, putainnn ! Je t'aaiiiime ! - Trois fois de suite.
RépondreSupprimerOK.
Manon ?
Allez, pauvre con, allez ! Tu dois lui avouer que tu l'aimes, que tu l'aimes, que tu l'aiiimes ! s'époumona-t-il. Et à présent devant la porte en bois, avec ses poings, ses genoux et sa tête, il commença à cogner dessus, s'égratignant contre ses aspérités, contre ses motifs animaliers sculptés, et il brailla de toutes ses forces : Andreaaaaaa, je t'aime, putainnn ! Je t'aaiiiime ! - Trois fois de suite.
RépondreSupprimerOK !