Pages

samedi 3 novembre 2012

Les Lituma – phrase 172

 “Qué se iba a hacer, comenzaba Madame Arnoux con un mohín de asco, ahora era tan difícil encontrar un lugar dónde quedarse en esta ciudad“.

Traduction temporaire :
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».

13 commentaires:

  1. Qu'allait-on faire ? – commençait Madame Arnoux avec une moue de dégoût – désormais il était si difficile de trouver un endroit où rester dans cette ville ».

    RépondreSupprimer
  2. Qu'allait-on faire ? [dirait-on cela naturellement en français ? Encore une fois, il ne faut pas traduire des mots à la suite d'autres mots, mais se demander ce que l'auteur veut faire dire à son personne] – commençait Madame Arnoux avec une moue de dégoût – désormais [ou « aujourd'hui » ?] il était [Est-ce du discours direct ? Si oui, est-ce qu'on n'avait pas dit qu'on le mettait au présent ? Vérifie] si difficile de trouver un endroit où rester [?] dans cette ville ».

    RépondreSupprimer
  3. Que va-t-on faire ? – commençait Madame Arnoux avec une moue de dégoût – aujourd'hui, il est si difficile de trouver un endroit où demeurer dans cette ville ».

    RépondreSupprimer
  4. Que va-t-on faire ? [ou « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? »] – commençait Madame Arnoux [virgule] avec une moue de dégoût – aujourd'hui, il est si difficile de trouver un endroit où demeurer [« se loger » ?] dans cette ville ».

    RépondreSupprimer
  5. « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, il est si difficile de trouver un endroit où se loger dans cette ville ».

    RépondreSupprimer
  6. « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, il est si difficile de trouver un endroit où se loger dans cette ville ».

    Je te propose un dernier changement :

    « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de trouver à se loger ».

    OK ?

    RépondreSupprimer
  7. « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de trouver à se loger ».

    OK.

    RépondreSupprimer
  8. Après avoir vu les 175-176 de plus près, j'ai un doute sur la fin de celle-ci… sur l'interprétation de « quedarse ». Qu'en penses-tu ? À ton avis, que veut-elle dire ?

    RépondreSupprimer
  9. « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».

    RépondreSupprimer
  10. « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».

    L'avis d'une autre Lituma, svp – sachant que notre question porte sur la fin de la phrase (cf débat dans le reste des commentaires).

    RépondreSupprimer
  11. « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».


    Je suis d'accord avec votre proposition.

    RépondreSupprimer
  12. « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».


    Je suis d'accord avec votre proposition.

    RépondreSupprimer
  13. OK.

    « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.