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mardi 18 décembre 2012

Projet Céline 2 – phrase 181

Era como estar muerto, ahí, sentado a la mesa, mientras Leonor le contaba de la vecina, los chicos jugaban con las cucharas y él sorbía el mondongo sin ganas, “es que comí algo con los muchachos”, con la voz tan apagada que nunca entendió cómo su esposa lo pasó por alto.

Traduction temporaire :
C’était comme être mort quand il était assis là-bas, à table, tandis que Leonor lui parlait de la voisine, tandis que les enfants jouaient avec leurs cuillères et que lui, il avalait sa soupe de tripes sans appétit, « j’ai déjà mangé un morceau avec les garçons », s’était-il excusé, la voix si éteinte qu’il n’avait jamais compris comment sa femme n’avait rien remarqué.

8 commentaires:

  1. C’était comme être mort, là-bas, assis à table, tandis que Leonor lui parlait de la voisine, que les enfants jouaient avec les cuillères et que lui, il avalait sa soupe de tripes sans appétit, « c’est que j’ai mangé quelque chose avec les garçons », avec la voix si éteinte qu’il n’a jamais compris comment sa femme n’avait rien remarqué.

    Vu le verbe « sorber », je pense que « mondongo » est ici employé dans le sens de « soupe de tripes » (une spécialité d'Amérique Latine), donc il faudra modifier l’une des phrase précédentes où j'avais traduit ce mot par « tripes ».

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  2. [tu gardes en stock la modif à apporter et tu le feras quand tu reliras…]

    C’était comme être mort, là-bas, assis [on déplace ici le « la-bas » ou ça change le sens ?] à table, tandis que Leonor lui parlait de la voisine, que [lui parlait + que ????? Il faut que tu répètes « tandis »] les enfants jouaient avec les [possessif] cuillères et que lui, il avalait sa soupe de tripes sans appétit, « c’est [tu commences déjà la phrase avec « c'était » ; trouve une autre solution] que j’ai mangé quelque chose avec les garçons », [cheville : verbe ?] avec la voix si éteinte qu’il n’a jamais compris [ou le PQP ? Je te laisse trancher] comment sa femme n’avait rien remarqué.

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  3. C’était comme être mort, assis là-bas à table, tandis que Leonor lui parlait de la voisine, tandis que les enfants jouaient avec leurs cuillères et que lui, il avalait sa soupe de tripes sans appétit, « j’ai déjà mangé quelque chose avec les garçons », s’était-il excusé avec la voix si éteinte qu’il n’avait jamais compris comment sa femme n’avait rien remarqué. 

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  4. C’était comme être mort, [cheville : « quand il était » ? Je trouve l'ensemble peu cair et je me demande s'il ne faut pas expliciter un peu / tu me diras] assis là-bas [virgule ?] à table, tandis que Leonor lui parlait de la voisine, tandis que les enfants jouaient avec leurs cuillères et que lui, il avalait sa soupe de tripes sans appétit, « j’ai déjà mangé quelque chose avec les garçons », s’était-il excusé avec [ou virgule ?] la voix si éteinte qu’il n’avait jamais compris comment sa femme n’avait rien remarqué.

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  5. C’était comme être mort, quand il était assis là-bas, à table, tandis que Leonor lui parlait de la voisine, tandis que les enfants jouaient avec leurs cuillères et que lui, il avalait sa soupe de tripes sans appétit, « j’ai déjà mangé quelque chose avec les garçons », s’était-il excusé, la voix si éteinte qu’il n’avait jamais compris comment sa femme n’avait rien remarqué.

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  6. C’était comme être mort, [pas de virgule ?] quand il était assis là-bas, à table, tandis que Leonor lui parlait de la voisine, tandis que les enfants jouaient avec leurs cuillères et que lui, il avalait sa soupe de tripes sans appétit, « j’ai déjà mangé quelque chose [ou « un morceau » ?] avec les garçons », s’était-il excusé, la voix si éteinte qu’il n’avait jamais compris comment sa femme n’avait rien remarqué.

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  7. C’était comme être mort quand il était assis là-bas, à table, tandis que Leonor lui parlait de la voisine, tandis que les enfants jouaient avec leurs cuillères et que lui, il avalait sa soupe de tripes sans appétit, « j’ai déjà mangé un morceau avec les garçons », s’était-il excusé, la voix si éteinte qu’il n’avait jamais compris comment sa femme n’avait rien remarqué.

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  8. C’était comme être mort quand il était assis là-bas, à table, tandis que Leonor lui parlait de la voisine, tandis que les enfants jouaient avec leurs cuillères et que lui, il avalait sa soupe de tripes sans appétit, « j’ai déjà mangé un morceau avec les garçons », s’était-il excusé, la voix si éteinte qu’il n’avait jamais compris comment sa femme n’avait rien remarqué.

    OK.

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