Pour notre projet « Lectures d'ailleurs », nous allons donc traduire quelques micro-nouvelles de l'Espagnol Agustín Martínez Valderrama (extraites de son recueil Sentido sin alguno) ; voici la première :
EL HOMBRE ELEFANTE
Me corté una oreja y salí de casa. En el ascensor coincidí con mi vecino y me preguntó qué había ocurrido. Le dije que fue un accidente, esquiando. El tipo del quiosco también se fijó. A él le expliqué lo del atraco a punta de navaja. Luego, en la cafetería, el camarero insistió. Se me cayó, respondí sin más. Al llegar a la oficina confesé que sufría un tumor. Funcionó. Hasta ella dijo que lo sentía y me besó en la mejilla. Tenía una voz bonita, olía bien y era más guapa aún de cerca. Unos días después todo volvió a ser como antes. Ayer me corté la otra.
Traduction temporaire :
(Manon / Nancy, vous ferez phrase après phrase… mais nous resterons sur ce post – ce sera plus simple)
Je me suis coupé une oreille et je suis sorti de chez moi. Dans l'ascenseur, je suis tombé sur mon voisin qui a voulu savoir ce qu'il s'était passé. Je lui ai dit que c'était un accident de ski. Le type du kiosque aussi a remarqué. À lui, je lui ai sorti le coup de l'agression au couteau. Ensuite, à la cafétéria, le serveur a insisté. Elle est tombée, me suis-je contenté de répondre. En arrivant au bureau, j'ai déclaré que je souffrais d'une tumeur. Ça a marché. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue. Elle avait une jolie voix, elle sentait bon et elle était encore plus belle de près. Quelques jours plus tard, tout est redevenu comme avant. Hier, je me suis coupé l'autre.
Je me suis coupé une oreille et je suis sorti de chez moi. Dans l'ascenseur, je suis tombé sur mon voisin qui a voulu savoir ce qu'il s'était passé. Je lui ai dit que c'était un accident de ski. Le type du kiosque aussi a remarqué. À lui, je lui ai sorti le coup de l'agression au couteau. Ensuite, à la cafétéria, le serveur a insisté. Elle est tombée, me suis-je contenté de répondre. En arrivant au bureau, j'ai déclaré que je souffrais d'une tumeur. Ça a marché. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue. Elle avait une jolie voix, elle sentait bon et elle était encore plus belle de près. Quelques jours plus tard, tout est redevenu comme avant. Hier, je me suis coupé l'autre.
***
PAISAJE ABSTRACTO CON HOMBRE, PERRO Y PÁJAROS
El hombre pasea a un perro que no es un perro sino un trozo de aire con forma de perro. El trozo de aire con forma de perro corre raudo y veloz tras unos pájaros que levantan el vuelo. Los pájaros no son de aire sino de pájaro. El hombre sujeta fuerte a la forma de perro en trozo de aire. Pero en una de éstas se le escapa el aire al perro en forma de trozo. El hombre grita. La forma huye. El aire vuela. El trozo desaparece. Y el perro que no es un perro sino un trozo de forma en aire desaparece, vuela, huye. Dejando al hombre que no es un hombre sino una forma de aire sin trozo de perro solo.
Traduction temporaire :
L'homme promène son chien qui n'est pas un chien mais une portion d'air en forme de chien. La portion d'air en forme de chien court, impétueuse et véloce, derrière des oiseaux qui prennent leur envol. Les oiseaux ne sont pas faits d'air mais d'oiseau. L'homme tient fortement la forme de chien en portion d'air. Mais soudain, l'air échappe au chien en forme de portion. L'homme crie. La forme s'enfuit. Et le chien, qui n'est pas un chien, mais une portion de forme faite d'air, disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme, mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
PAYSAGE ABSTRAIT AVEC UN HOMME, UN CHIEN ET DES OISEAUX
L'homme promène son chien qui n'est pas un chien mais une portion d'air en forme de chien. La portion d'air en forme de chien court, impétueuse et véloce, derrière des oiseaux qui prennent leur envol. Les oiseaux ne sont pas faits d'air mais d'oiseau. L'homme tient fortement la forme de chien en portion d'air. Mais soudain, l'air échappe au chien en forme de portion. L'homme crie. La forme s'enfuit. Et le chien, qui n'est pas un chien, mais une portion de forme faite d'air, disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme, mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
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SIMETRÍA
Un lado de mi cuerpo siempre fue mayor que el otro. Un ojo, una oreja, media nariz, parte de la boca, un brazo y una pierna eran por naturaleza distintos a sus afines. Incluso un cojón, con perdón, lucía más gordo y peludo que su análogo. En un principio, esta pequeña anomalía nunca me supuso ningún contratiempo. Podía montar en bicicleta, hacer el amor con Beatriz, bañarme desnudo en el río... Mi asimetría sólo se apreciaba al andar, dado que mi cuerpo tendía a inclinarse y bascular hacia el costado más recio. Por lo demás, todo era perfecto. Hasta el día que irrumpieron en casa unos soldados y constataron que mi flanco izquierdo y derecho no se correspondían. Quizá por ello me sacaron a rastras, me pusieron contra un muro y dispararon. Quizá.
Traduction temporaire :
SYMÉTRIE
Un côté de mon corps a toujours été plus fort que l'autre. Un œil, une oreille, une narine, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient par nature différents de leurs semblables. Même une de mes couilles, pardon, paraissait plus grosse et plus poilue que son binôme. Au début, cette petite anomalie ne m'a jamais causé le moindre contretemps. Je pouvais rouler à vélo, faire l'amour avec Beatriz, me baigner nu dans la rivière… Dans la mesure où mon corps avait tendance à pencher et à basculer vers le côté le plus vigoureux, mon asymétrie se remarquait seulement quand je marchais. Pour le reste, tout était parfait. Jusqu'au jour où des soldats ont fait irruption chez moi et ont constaté que mes flancs gauche et droit étaient disproportionnés. C'est peut-être à cause de ça qu'ils m'ont traîné dehors, m'ont plaqué contre un mur et ont tiré. Peut-être.
***
GLOBALIZACIÓN
Cogí una bolsa de plástico. Una bolsa de plástico cualquiera, de esas que te dan en el economato. Me la puse en la cabeza y le hice dos agujeros a la altura de los ojos, uno en la nariz y otro en la boca. Luego la anudé fuerte a mi cuello, no fuera a ser que viniera una ráfaga de aire y se la llevara volando. Una vez listo, salí a la calle a dar una vuelta. Y mientras paseaba tranquilamente, descubrí que todo el mundo llevaba una bolsa de plástico en la cabeza. Una bolsa con dos agujeros a la altura de los ojos, uno en la nariz y otro en la boca. Una bolsa de plástico cualquiera, de esas que te dan el economato.
Traduction temporaire :
J'ai pris un sac plastique. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu'on nous donne à la coopérative. Je me le suis mis sur la tête et j'y ai fait deux trous au niveau des yeux, un pour le nez et un autre pour la bouche. Après, je l'ai bien attaché autour de mon cou, au cas où il y aurait une rafale de vent qui le ferait s'envoler. Une fois prêt, je suis sorti dans la rue faire un tour. Et tandis que je me promenais tranquillement, je me suis rendu compte que tout le monde portait un sac plastique sur la tête. Un sac avec deux trous au niveau des yeux, un pour le nez et un autre pour la bouche. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu’on nous donne à la coopérative.
Traduction temporaire :
MONDIALISATION
J'ai pris un sac plastique. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu'on nous donne à la coopérative. Je me le suis mis sur la tête et j'y ai fait deux trous au niveau des yeux, un pour le nez et un autre pour la bouche. Après, je l'ai bien attaché autour de mon cou, au cas où il y aurait une rafale de vent qui le ferait s'envoler. Une fois prêt, je suis sorti dans la rue faire un tour. Et tandis que je me promenais tranquillement, je me suis rendu compte que tout le monde portait un sac plastique sur la tête. Un sac avec deux trous au niveau des yeux, un pour le nez et un autre pour la bouche. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu’on nous donne à la coopérative.
***
ACÚFENOS
Juan y Luis se sientan cada día en el mismo banco distinto. Mientras toman el sol, Juan – que en realidad no se llama Juan – le pregunta a Luis por su esposa. Luis – que tampoco es Luis – le contesta que la difunta está bien, algo pachucha, eso sí, y con los achaques propios de la edad, pero bien al fin y al cabo. Juan asiente con la cabeza y le dice que más o menos como su mujer, que también murió hace algún tiempo a pesar que la tienen frita los zumbidos en el oído, los huesos y últimamente anda un poco desganada, sin apetito. Luego suelen hablar largo y tendido de los hijos que fallecieron y a los que apenas ya ven porque viven muy lejos de aquí, en la capital. De los nietos que no tienen y a los que quieren con locura. Y de la guerra, maldita guerra, en la que combatieron cuando aún ni siquiera habían nacido. Entretanto, el sol que nunca llegó a salir se pone y cada uno tira por su lado, por donde no vino. Siempre en idénticas direcciones opuestas. Según el banco, según el sol, según el día.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires :
Juan et Luis s’assoient chaque jour sur leur banc respectif. Pendant qu'ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse. Luis – qui n'est pas non plus Luis – lui répond que la défunte va bien, quoi qu'un peu patraque et gênée par les troubles liés à l'âge, mais que l'un dans l'autre, elle s'en tire pas mal. Juan acquiesce d'un signe de tête et lui répond que c'est à peu près pareil pour sa femme – elle aussi morte il y a quelque temps –, même si elle est enquiquinée par des bourdonnements dans l'oreille et par ses os, et même si, dernièrement, elle n’a goût à rien et n'a plus guère d'appétit. Ensuite, ils ont l'habitude de parler longuement de leurs enfants qui sont décédés et qu'ils ne voient plus beaucoup car ils vivent très loin de là, à la capitale. De leurs petits-enfants qu'ils n'ont pas et qu'ils aiment à la folie. Et de la guerre, maudite guerre, durant laquelle ils ont combattu quand ils n’étaient encore même pas nés. Pendant ce temps, le soleil qui n'est jamais parvenu à se lever, se couche et chacun part de son côté, par là où il n’est pas venu. Toujours vers les mêmes directions opposées. En fonction du banc, du soleil, du jour.
ACOUPHÈNES
Juan et Luis s’assoient chaque jour sur leur banc respectif. Pendant qu'ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse. Luis – qui n'est pas non plus Luis – lui répond que la défunte va bien, quoi qu'un peu patraque et gênée par les troubles liés à l'âge, mais que l'un dans l'autre, elle s'en tire pas mal. Juan acquiesce d'un signe de tête et lui répond que c'est à peu près pareil pour sa femme – elle aussi morte il y a quelque temps –, même si elle est enquiquinée par des bourdonnements dans l'oreille et par ses os, et même si, dernièrement, elle n’a goût à rien et n'a plus guère d'appétit. Ensuite, ils ont l'habitude de parler longuement de leurs enfants qui sont décédés et qu'ils ne voient plus beaucoup car ils vivent très loin de là, à la capitale. De leurs petits-enfants qu'ils n'ont pas et qu'ils aiment à la folie. Et de la guerre, maudite guerre, durant laquelle ils ont combattu quand ils n’étaient encore même pas nés. Pendant ce temps, le soleil qui n'est jamais parvenu à se lever, se couche et chacun part de son côté, par là où il n’est pas venu. Toujours vers les mêmes directions opposées. En fonction du banc, du soleil, du jour.
***
FLECHAZO
Coincidieron en el tercero. Ella tendía la ropa. Él se dejaba caer por el patio de luces.
Traduction temporaire :
Ils se sont rencontrés au troisième. Elle, elle étendait son linge. Lui, il était en train de tomber dans la cour intérieure.
COUP DE FOUDRE
Ils se sont rencontrés au troisième. Elle, elle étendait son linge. Lui, il était en train de tomber dans la cour intérieure.
L'homme éléphant.
RépondreSupprimerJe me suis coupé une oreille et suis sorti de chez moi.
Me corté una oreja y salí de casa.
RépondreSupprimerJe me suis coupé une oreille et je suis sorti de chez moi.
OK pour la répétition du « Je » :
RépondreSupprimerJe me suis coupé une oreille et je suis sorti de chez moi.
OK Manon ?
OK !
RépondreSupprimerEn el ascensor coincidí con mi vecino y me preguntó qué había ocurrido.
Dans l'ascenseur, j'ai croisé mon voisin et il m'a demandé ce qu'il s'était passé.
En el ascensor coincidí con mi vecino y me preguntó qué había ocurrido.
RépondreSupprimerDans l'ascenseur, j'ai croisé [ou « tomber sur » ? J'hésite… alors je vous laisse vraiment trancher] mon voisin et il m'a [ou « qui m'a »] demandé [ou « a voulu savoir » ?] ce qu'il s'était passé.
OK pour "tomber sur", j'avais moi-même hésité pour cette option.
RépondreSupprimerDans l'ascenseur, je suis tombé sur mon voisin qui a voulu savoir ce qu'il s'était passé.
Dans l'ascenseur, je suis tombé sur mon voisin qui a voulu savoir ce qu'il s'était passé.
RépondreSupprimerOK.
Nancy ?
Manon, tu peux faire la suivante, si tu veux… Comme le texte est court, on ne risque pas de s'emmêler les crayons.
Je me suis coupé une oreille et je suis sorti de chez moi.
RépondreSupprimerDans l'ascenseur, je suis tombé sur mon voisin qui a voulu savoir ce qu'il s'était passé.
OK
Le dije que fue un accidente, esquiando.
Je lui ai dit que c'était un accident, évitant le sujet.
[ce n'est pas "esquiviando" à la place de "esquiando" ? ]
Le dije que fue un accidente, esquiando.
RépondreSupprimerJe lui ai dit que c'était un accident, évitant le sujet.
[ce n'est pas "esquiviando" à la place de "esquiando" ?]
Esquiar = ?????? Dico !
Je lui ai dit que c'était un accident de ski. [?]
RépondreSupprimerJe lui ai dit que c'était un accident de ski.
RépondreSupprimerOK.
Manon ?
Nancy, tu peux enchaîner avec la suite.
Je lui ai dit que c'était un accident de ski.
RépondreSupprimerOK
El tipo del quiosco también se fijó.
Le type du kiosque aussi a remarqué.
El tipo del quiosco también se fijó.
RépondreSupprimerLe type du kiosque aussi a remarqué.
OK.
Nancy ?
Le type du kiosque aussi l'a remarqué. [?]
RépondreSupprimerLe type du kiosque aussi l'a remarqué. [?]
RépondreSupprimera remarqué que le gars avait une oreille coupée…
OK, Nancy ? Sinon, dis si tu penses que ça n'est pas clair ou alors si nous nous sommes trompées.
Le type du kiosque aussi a remarqué.
RépondreSupprimerOK
Bon… Du coup, vous pouvez passer à la suite ;-)
RépondreSupprimerA él le expliqué lo del atraco a punta de navaja.
RépondreSupprimerÀ lui, j'y ai expliqué le coup de l'agression au couteau.
Lui, je lui ai fait le coup de l'agression à l'arme blanche.
RépondreSupprimerÀ lui, j'y ai expliqué le coup de l'agression au couteau.
RépondreSupprimerLui, je lui ai fait le coup de l'agression à l'arme blanche.
Manon, pourquoi « faire le coup » ; tu crois qu'il suggère qu'il l'a également baratiné ?
C'est ce qu'il m'a semblé avec le "lo", qu'est-ce que vous en pensez ?
RépondreSupprimerAh non… le « lo » n'a pas cette valeur ; c'est juste dans le sens « l'histoire de ».
RépondreSupprimerOui, mais il utilise un défini, il dit pas "une histoire"
RépondreSupprimerEuh… oui, mais, justement… ;-)
RépondreSupprimerLo de mi padre me impide, etc. – sous-entendu, l'histoire, l'affaire, le truc avec mon père…
Euh, je crois qu'on comprend la même chose depuis le début... Pourquoi "faire le coup" ne va pas ? C'est à cause de "faire" ?
RépondreSupprimerPour avancer, je repars de la proposition de Nancy :
À lui, j'ai expliqué le coup de l'agression au couteau.
Attends… Il y a quand même une nuance de taille : dans un cas il explique ce qui lui est arrivé, dans l'autre, tu suggères qu'il baratine.
RépondreSupprimerQuelle interprétation faites-vous : récit ou mensonge ?
Voilà ce que je comprends : il ment puisque dès le début il dit qu'il s'est coupé l'oreille (sous-entendu lui-même), et d'ailleurs à la fin il dit qu'il se coupe l'autre.
RépondreSupprimerEt il invente à chaque fois une nouvelle histoire, et tout ça (les réactions des gens et ses mensonges) le sort de l'ordinaire de son quotidien.
J'avais l'impression qu'il mentait puisqu'il donne une version différente à tout le monde et qu'il dit "je me suis coupé" mais maintenant, je doute car c'est la raison la plus vraisemblable et il emploie le verbe "explicar"…
RépondreSupprimerDans ce cas, d'accord… mais pas avec l'argument de la grammaire – qui ne tient pas vraiment ici.
RépondreSupprimerEt du coup :
À lui, j'ai expliqué le coup de l'agression au couteau.
ou :
« À lui, je lui sorti le coup de l'agression au couteau » ?
Si on laisse "expliqué", on peut l' interpréter des deux façons.
RépondreSupprimerÀ lui, j'y [?] ai expliqué le coup de l'agression au couteau
Plutôt la deuxième :
RépondreSupprimerÀ lui, je lui ai sorti le coup de l'agression au couteau.
OK Nancy, j'ai mis mon commentaire avant de voir le tien. Par contre, pourquoi le "y" ?
RépondreSupprimerÀ lui, j'ai expliqué le coup de l'agression au couteau.
Franchement, tout bien pesé, je crois que « À lui, je lui ai sorti le coup de l'agression au couteau. », est mieux…
RépondreSupprimerNancy… explique si vraiment tu préfères l'autre – ce qui est ton droit, hein. Ne te sens pas obligée d'accepter, etc. Bref, tu connais la chanson… ;-)
À lui, je lui ai sorti le coup de l'agression au couteau.
RépondreSupprimerOui, c'est mieux. On considère donc qu'il ment ce qui semble être le cas. Ça me va.
À lui, je lui ai sorti le coup de l'agression au couteau.
RépondreSupprimerOK.
Luego, en la cafetería, el camarero insistió. Se me cayó, respondí sin más.
RépondreSupprimerAllez-y… Faites ces deux-là.
Ensuite, dans la cafétéria, le serveur a insisté. Elle est tombée, ai-je répondu sans rien de plus.
RépondreSupprimerLuego, en la cafetería, el camarero insistió. Se me cayó, respondí sin más.
RépondreSupprimerEnsuite, à la cafétéria, le serveur a insisté. Elle est tombée, je lui ai juste répondu.
Ensuite, à la cafétéria, le serveur a insisté.
RépondreSupprimerOK.
Elle est tombée, je lui ai [par « lui ai-je juste »… ou alors « me suis-je contenté de » ; à vous de trancher] juste répondu.
Elle est tombée, me suis-je contenté de répondre.
RépondreSupprimerEnsuite, à la cafétéria, le serveur a insisté. Elle est tombée, lui ai-je juste répondu.
RépondreSupprimerEnsuite, à la cafétéria, le serveur a insisté. Elle est tombée, me suis-je contenté de répondre.
RépondreSupprimerÇa, ça me semble pas mal…
Manon, c'est bon aussi pour toi ; sinon, argumente ;-)
Oui, c'est bon pour moi !
RépondreSupprimerLa suite :
RépondreSupprimerAl llegar a la oficina confesé que sufría un tumor. Funcionó. Hasta ella dijo que lo sentía y me besó en la mejilla.
En arrivant au bureau, je leur ai avoué que j'avais une tumeur. Ça a marché. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
RépondreSupprimerEn arrivant au bureau, j'ai annoncé que je souffrais d'une tumeur. Ça a marché. Même elle, elle m'a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
RépondreSupprimerEn arrivant au bureau, j'ai annoncé / avoué [débattez !] que je souffrais / avais [idem] d'une tumeur.
RépondreSupprimerMême elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
OK
Je préfère "souffrir" parce que ça évite un verbe "avoir".
RépondreSupprimerPour "annoncer"/"avouer", j'avais déjà hésité pour mon premier jet, je me tâte encore : "annoncer" fait un peu trop journal télé, et "avouer", on dirait qu'il confie une vérité alors qu'encore une fois, il ment... Peut-être avec "confier" ?
En arrivant au bureau, j'ai confié que je souffrais d'une tumeur. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
Nancy, j'attends à présent ton avis…
RépondreSupprimerJe suis d'accord pour "souffrir", pour avouer, j'hésite un peu mais "confier" me paraît bien.
RépondreSupprimerEn arrivant au bureau, j'ai confié que je souffrais d'une tumeur. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
En arrivant au bureau, j'ai confié [le pb : à qui ?] que je souffrais d'une tumeur. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
RépondreSupprimerEn arrivant au bureau, je leur ai confié que je souffrais d'une tumeur. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
RépondreSupprimerEn effet... Et avec "prétendre" ?
RépondreSupprimerEn arrivant au bureau, j'ai prétendu que je souffrais d'une tumeur. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
En arrivant au bureau, j'ai prétendu que je souffrais d'une tumeur. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
RépondreSupprimerOK pour cette version… Nancy ?
Je trouve qu'on perd le sens de "confesar" mais je ne vois pas d'autre solution sans introduire "leur".
RépondreSupprimerEn arrivant au bureau, j'ai prétendu que je souffrais d'une tumeur. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
Nancy,
RépondreSupprimerEst-ce que tu penses que c'est parce que cette fois, il dit la vérité ? J'avoue l'avoir lu rapidement et ne pas du tout me souvenir de la suite.
Je viens de me rendre compte qu'on a supprimé "Ça a marché" sans faire exprès au milieu, du coup, ça confirme qu'il ment encore :
RépondreSupprimerEn arrivant au bureau, j'ai prétendu que je souffrais d'une tumeur. Ça a marché. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
Nancy, est-ce que tu trouves que "prétendre" est trop explicite ? J'avoue que j'hésite encore !
En arrivant au bureau, j'ai prétendu que je souffrais d'une tumeur. Ça a marché. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
RépondreSupprimerNancy ?
Sinon, vous avez « déclaré », un plus neutre… Le cas échéant voyez si cela n'introduit pas une répétition.
Oui, je préfère.
RépondreSupprimerEn arrivant au bureau, j'ai déclaré que je souffrais d'une tumeur. Ça a marché. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
En arrivant au bureau, j'ai déclaré que je souffrais d'une tumeur. Ça a marché. Même elle, elle a dit qu'elle était désolée et m'a embrassé sur la joue.
RépondreSupprimerOK pour moi aussi !
OK.
RépondreSupprimerLa fin :
Tenía una voz bonita, olía bien y era más guapa aún de cerca. Unos días después todo volvió a ser como antes. Ayer me corté la otra.
Elle avait une jolie voix, elle sentait bon et elle était plus belle encore de près. Quelques jours plus tard, tout est redevenu comme avant. Hier, je me suis coupé l'autre.
RépondreSupprimerElle avait une jolie voix, elle sentait bon et elle était encore plus belle de près. Quelques jours plus tard, tout est redevenu comme avant. Hier, je me suis coupé l'autre.
RépondreSupprimerElle avait une jolie voix, elle sentait bon et elle était encore plus belle de près. Quelques jours plus tard, tout est redevenu comme avant. Hier, je me suis coupé l'autre.
RépondreSupprimerOK.
PAISAJE ABSTRACTO CON HOMBRE, PERRO Y PÁJAROS
RépondreSupprimerEl hombre pasea a un perro que no es un perro sino un trozo de aire con forma de perro.
Ouh là, je sens venir les embrouilles avec celle-là ! :)
RépondreSupprimerPAYSAGE ABSTRAIT AVEC UN HOMME, UN CHIEN ET DES OISEAUX
L'homme promène un chien qui n'est pas un chien, mais un fragment d'air en forme de chien.
Je ne sais pas pour "trozo de aire" : j'aurais dit "nuage", mais je ne le trouve nulle part utilisé comme ça. Et "courant d'air" ne m'évoque rien visuellement...
Paysage abstrait avec un homme, un chien et des oiseaux.
RépondreSupprimerL'homme promène son chien qui n'est pas un chien mais une portion d'air
en forme de chien.
PAYSAGE ABSTRAIT AVEC UN HOMME, UN CHIEN ET DES OISEAUX
RépondreSupprimerOK
El hombre pasea a un perro que no es un perro sino un trozo de aire con forma de perro.
L'homme promène un chien qui n'est pas un chien, mais un fragment d'air en forme de chien.
L'homme promène son chien qui n'est pas un chien mais une portion d'air en forme de chien.
J'hésite beaucoup entre vos « fragment » ou « portion »… avec, peut-être, une préférence pour « portions ». Et vous ?
J'hésite aussi, et "bulle d'air" ?
RépondreSupprimerPlus ça va, plus j'aime bien « portion ». Manon ?
RépondreSupprimerOui à "portion" !
RépondreSupprimerPAYSAGE ABSTRAIT AVEC UN HOMME, UN CHIEN ET DES OISEAUX
RépondreSupprimerL'homme promène son chien qui n'est pas un chien mais une portion d'air en forme de chien.
OK
La suite :
RépondreSupprimerEl trozo de aire con forma de perro corre raudo y veloz tras unos pájaros que levantan el vuelo.
La portion d'air en forme de chien court, impétueux et rapide, derrière des oiseaux qui s'envolent.
RépondreSupprimerLa portion d'air en forme de chien court, impétueuse et véloce, derrière des oiseaux qui prennent leur envol.
RépondreSupprimerLa portion d'air en forme de chien court, impétueux et rapide, derrière des oiseaux qui s'envolent.
RépondreSupprimerOK.
Manon ?
Manon, je n'avais pas vu ta solution… – à cause de l'ordre de publication des commentaires.
RépondreSupprimerJ'aime bien ce que tu proposes :
La portion d'air en forme de chien court, impétueuse et véloce, derrière des oiseaux qui prennent leur envol.
Nancy ?
OK
RépondreSupprimerLa portion d'air en forme de chien court, impétueuse et véloce, derrière des oiseaux qui prennent leur envol.
La suite :
RépondreSupprimerLos pájaros no son de aire sino de pájaro. El hombre sujeta fuerte a la forma de perro en trozo de aire.
Cette première phrase m'embête bien...
RépondreSupprimerLes oiseaux ne sont pas d'air, mais d'oiseau. L'homme fixe fortement la forme de chien en portion d'air.
Les oiseaux [cheville : « , eux, » ?] ne sont pas [cheville : « faits » ?] d'air, mais d'oiseau. L'homme fixe [FS] fortement la forme de chien en portion d'air.
RépondreSupprimerLes oiseaux ne sont pas faits d'air mais d'oiseau. L'homme retient fermement la forme de chien en portion d'air.
RépondreSupprimerLes oiseaux, eux, ne sont pas faits d'air, mais d'oiseau. L'homme tient fortement la forme de chien en portion d'air.
RépondreSupprimerJ'hésite pour la cheville "eux", ça explicite peut-être trop par rapport à la VO... ?
OK en mélangeant les deux :
RépondreSupprimerLes oiseaux ne sont pas faits d'air mais d'oiseau. L'homme tient fortement la forme de chien en portion d'air.
OK pour vous ?
Les oiseaux ne sont pas faits d'air mais d'oiseau. L'homme tient fortement la forme de chien en portion d'air.
RépondreSupprimerOK !
OK
RépondreSupprimerLes oiseaux ne sont pas faits d'air mais d'oiseau. L'homme tient fortement la forme de chien en portion d'air.
La suite :
RépondreSupprimerPero en una de éstas se le escapa el aire al perro en forma de trozo. El hombre grita. La forma huye.
Je ne vois pas du tout à quoi fait référence « éstas » ?
RépondreSupprimerMais [en una de éstas], l’air s’échappe du chien en forme de portion. L’homme crie. La forme fuit.
RépondreSupprimerMais soudain, l'air échappe au chien en forme de portion. L'homme crie. La forme fuit.
À quoi faire référence "éstas" ?
Je pense que c'est dans le sens que dit Nancy : « Mais soudain… »
RépondreSupprimerMais soudain, l'air échappe au chien en forme de portion. L'homme crie. La forme fuit [ou « s'enfuit » ?].
OK !
RépondreSupprimerMais soudain, l'air échappe au chien en forme de portion. L'homme crie. La forme s'enfuit.
Nancy ?
RépondreSupprimerManon pour que tu puisses continuer
El hombre grita. La forma huye. El aire vuela. El trozo desaparece.
Mais soudain, l'air échappe au chien en forme de portion. L'homme crie. La forme s'enfuit.
RépondreSupprimerOK
El aire vuela. El trozo desaparece.
L'air s'envole. La portion disparaît.
El aire vuela. El trozo desaparece.
RépondreSupprimerL'air s'envole. La portion disparaît.
OK.
Manon ?
Nancy, la suite :
Y el perro que no es un perro sino un trozo de forma en aire desaparece, vuela, huye. Dejando al hombre que no es un hombre sino una forma de aire sin trozo de perro solo.
RépondreSupprimerEt le chien qui n'est pas un chien mais une portion de forme en air disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
L'air s'envole. La portion disparaît.
RépondreSupprimerOK
Et le chien qui n'est pas un chien mais une portion de forme en [là, je me demande si on ne devrait pas mettre « faite »… parce que ça devient vraiment bizarre ;-)] air disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
RépondreSupprimerJe repars de ta proposition, Nancy, pour ajouter ma virgulite :
RépondreSupprimerEt le chien, qui n'est pas un chien, mais une portion de forme en air, disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme, mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
Et le chien, qui n'est pas un chien, mais une portion de forme en air [cf mon commentaire précédent ; dites-moi ce que vous en pensez / je veux bien garder ça, mais je veux qu'on y réfléchisse ensemble], disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme, mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
RépondreSupprimerOui, je crois que c'est mieux de rajouter "faite" !
RépondreSupprimerEt le chien, qui n'est pas un chien, mais une portion de forme faite d'air, disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme, mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
Et le chien, qui n'est pas un chien, mais une portion de forme faite d'air, disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme, mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
RépondreSupprimerOK.
Manon ?
Nos commentaires se sont croisés. J'hésite pour "faite" : est-ce qu'il ne veut pas garder exactement les mêmes mots, comme le "Belle marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour" de Molière ?
RépondreSupprimerSi je chipote trop, envoyez-moi paître :)
Nos commentaires se sont croisés. J'hésite pour "faite" : est-ce qu'il ne veut pas garder exactement les mêmes mots, comme le "Belle marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour" de Molière ?
RépondreSupprimerSi je chipote trop, envoyez-moi paître :)
Surtout, je pense que c'est plus compact…
RépondreSupprimerQue fait-on ?
Et le chien, qui n'est pas un chien, mais une portion de forme faite d'air, disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme, mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
RépondreSupprimerOK
On laisse "en" alors ?
RépondreSupprimerEt le chien, qui n'est pas un chien, mais une portion de forme en air, disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme, mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
Non, c'est bon avec "faite" !
RépondreSupprimerOK !
RépondreSupprimerEt le chien, qui n'est pas un chien, mais une portion de forme faite d'air, disparaît, s'envole, s'enfuit. Laissant l'homme, qui n'est pas un homme, mais une forme d'air sans portion de chien, seul.
OK.
RépondreSupprimerLa suite :
SIMETRÍA
Un lado de mi cuerpo siempre fue mayor que el otro.
SIMETRÍA
RépondreSupprimerUn lado de mi cuerpo siempre fue mayor que el otro.
SYMÉTRIE
Un côté de mon corps a toujours été plus grand que l'autre.
SYMÉTRIE
RépondreSupprimerUn côté de mon corps a toujours été plus grand [j'hésite avec « plus fort »… mais ça dépend un peu de la suite ; vous me direz] que l'autre.
SYMÉTRIE
RépondreSupprimerUn côté de mon corps a toujours été plus grand que l'autre.
Je suis d'accord.
Manifestement, vous êtes d'accord toutes les deux…
RépondreSupprimerConfirmez-moi juste votre lecture.
Mince, nos commentaires se sont encore croisés... En relisant, c'est un peu les deux (grand+gros), mais effectivement, "fort" correspond mieux, il englobe les deux :
RépondreSupprimerSYMÉTRIE
Un côté de mon corps a toujours été plus fort que l'autre.
SYMÉTRIE
RépondreSupprimerUn côté de mon corps a toujours été plus fort que l'autre.
Nancy ?
En attendant, Manon, voici la suite :
Un ojo, una oreja, media nariz, parte de la boca, un brazo y una pierna eran por naturaleza distintos a sus afines. Incluso un cojón, con perdón, lucía más gordo y peludo que su análogo.
Un œil, une oreille, une narine, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient par nature différents de leurs voisins. Même une couille, pardonnez-moi, paraissait plus grosse et poilue que sa semblable.
RépondreSupprimerUn œil, une oreille, une narine, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient par nature différents de leurs voisins [ou « doubles » ?]. Même une [cheville : « de ses » ou pas nécessaire ?] couille, pardonnez-moi [mieux vaut ne s'adresser à personne], paraissait plus grosse et [tu devrais répéter « plus » ; ça renforce l'humour] poilue que sa semblable [ou, plus drôle : « binôme » ?].
RépondreSupprimer
RépondreSupprimerUn côté de mon corps a toujours été plus fort que l'autre.
OK
Un oeil, une oreille, la moitié du nez, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient, par nature, différents de leurs semblables. Même une de ses couilles, pardon, se montrait plus grosse et plus poilue que son binôme.
Un oeil, une oreille, la moitié du nez, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient, par nature, [je ne sais pas si on ne devrait pas supprimer l'entrevirgulage ; qu'en pensez-vous ?] différents de leurs semblables. Même une de ses couilles, pardon, se montrait [mal dit] plus grosse et plus poilue que son binôme.
RépondreSupprimerUn œil, une oreille, la moitié du nez, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient par nature différents de leurs semblables. Même une de ses couilles, pardon, apparaissait plus grosse et plus poilue que son binôme.
RépondreSupprimerUn œil, une oreille, la moitié du nez, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient par nature différents de leurs semblables. Même une de ses couilles, pardon, paraissait plus grosse et plus poilue que son binôme.
RépondreSupprimer[avec une légère modif] OK
Manon ?
Nancy, je te mets la suite :
En un principio, esta pequeña anomalía nunca me supuso ningún contratiempo. Podía montar en bicicleta, hacer el amor con Beatriz, bañarme desnudo en el río...
Un œil, une oreille, la moitié du nez, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient par nature différents de leurs semblables. Même une de ses couilles, pardon, paraissait plus grosse et plus poilue que son binôme.
RépondreSupprimerPourquoi pas "narine" au lieu de "moitié du nez" ?
Et je me pose juste une question : peut-on dire "son" binôme, puisque "couille" est féminin ?
En un principio, esta pequeña anomalía nunca me supuso ningún contratiempo. Podía montar en bicicleta, hacer el amor con Beatriz, bañarme desnudo en el río...
RépondreSupprimerJe me demande si c'est du passé composé ou du plus-que parfait pour "supuso", qu'en pensez-vous ?
Au début, cette petite anomalie ne m'avait jamais causé aucun contretemps. Je pouvais monter à bicyclette, faire l'amour avec Beatriz, me baigner nu dans la rivière…
Un œil, une oreille, la moitié du nez, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient par nature différents de leurs semblables. Même une de ses couilles, pardon, paraissait plus grosse et plus poilue que son binôme.
RépondreSupprimerPourquoi pas "narine" au lieu de "moitié du nez" ? OK pour « narine » ; tu as raison…
Et je me pose juste une question : peut-on dire "son" binôme, puisque "couille" est féminin ? Pas grave… puisque c'est masculin. Mais là, par exemple, Nancy est ton binôme dans cette trad, non ?
Réglons ça… Je corrige la suite après – histoire qu'on ne s'emmêle pas les crayons.
Un œil, une oreille, une narine, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient par nature différents de leurs semblables. Même une de ses couilles, pardon, paraissait plus grosse et plus poilue que son binôme.
RépondreSupprimer(oui, "binôme" est masculin)
En un principio, esta pequeña anomalía nunca me supuso ningún contratiempo. Podía montar en bicicleta, hacer el amor con Beatriz, bañarme desnudo en el río...
Dans un premier temps, cette petite anomalie n'a jamais suscité aucun contretemps. Je pouvais monter à vélo, faire l'amour avec Beatriz, me baigner nu dans la rivière...
Un œil, une oreille, une narine, une partie de la bouche, un bras et une jambe étaient par nature différents de leurs semblables. Même une de ses couilles, pardon, paraissait plus grosse et plus poilue que son binôme.
RépondreSupprimerOK !
En un principio, esta pequeña anomalía nunca me supuso ningún contratiempo. Podía montar en bicicleta, hacer el amor con Beatriz, bañarme desnudo en el río...
RépondreSupprimerDans un premier temps, cette petite anomalie n'a jamais suscité [CS + globalement, ça n'est pas ce qu'il dit] aucun contretemps. Je pouvais monter à vélo [mal dit], faire l'amour avec Beatriz, me baigner nu dans la rivière... [raccourci clavier des points de suspension]
Je me demande toujours si c'est du passé composé ou du plus-que-parfait pour "supuso" :
RépondreSupprimerAu début, cette petite anomalie ne m'avait jamais causé aucun contretemps. Je pouvais rouler à vélo, faire l'amour avec Beatriz, me baigner nu dans la rivière…
Au début, cette petite anomalie ne m'a jamais causé aucun contretemps. Je pouvais rouler à vélo, faire l'amour avec Beatriz, me baigner nu dans la rivière…
RépondreSupprimerIl me semble que le plus-que-parfait n'est pas nécessaire ici, non ?
Au début, cette petite anomalie ne m'avait jamais causé aucun [ou « pas le moindre » ? Comme vous voulez] contretemps. Je pouvais rouler à vélo, faire l'amour avec Beatriz, me baigner nu dans la rivière…
RépondreSupprimerNancy,
RépondreSupprimerNos commentaires se sont croisés…
Pour le PQP, en effet, ça n'est pas de l'ordre de la nécessité, mais on peut…
À vous de trancher + tenez compte du reste de mon commentaire précédent.
Au début, cette petite anomalie ne m'a jamais causé le moindre contretemps. Je pouvais rouler à vélo, faire l'amour avec Beatriz, me baigner nu dans la rivière…
RépondreSupprimerJe préfère sans le plus-que-parfait Manon, c'est plus "léger", qu'en penses-tu ?
Au début, cette petite anomalie ne m'a jamais causé le moindre contretemps. Je pouvais rouler à vélo, faire l'amour avec Beatriz, me baigner nu dans la rivière…
RépondreSupprimerOK pour moi.
Manon ?
La suite – en attendant que Manon réponde :
RépondreSupprimerMi asimetría sólo se apreciaba al andar, dado que mi cuerpo tendía a inclinarse y bascular hacia el costado más recio.
Mi asimetría sólo se apreciaba al andar, dado que mi cuerpo tendía a inclinarse y bascular hacia el costado más recio.
RépondreSupprimerMon asymétrie se remarquait seulement quand je marchais, étant donné que mon corps avait tendance à s'incliner et à basculer vers le côté le plus vigoureux.
Au début, cette petite anomalie ne m'a jamais causé le moindre contretemps. Je pouvais rouler à vélo, faire l'amour avec Beatriz, me baigner nu dans la rivière…
RépondreSupprimerOK !
Mi asimetría sólo se apreciaba al andar, dado que mi cuerpo tendía a inclinarse y bascular hacia el costado más recio.
Mon asymétrie se percevait seulement quand je marchais, étant donné que mon corps avait tendance à s'incliner et à basculer vers le flanc le plus robuste.
Mi asimetría sólo se apreciaba al andar, dado que mi cuerpo tendía a inclinarse y bascular hacia el costado más recio.
RépondreSupprimerMon asymétrie se percevait seulement quand je marchais, étant donné que mon corps avait tendance à s'incliner et à basculer vers le flanc le plus robuste.
Mon asymétrie se remarquait seulement quand je marchais [OK], étant donné [ou « dans la mesure où » ? Je me demande s'il ne faudrait pas changer la syntaxe ; essayez] que mon corps avait tendance à s'incliner [ou « pencher »] et à basculer vers le côté le plus vigoureux.
J'essaye le changement de syntaxe (si j'ai bien compris) :
RépondreSupprimerDans la mesure où mon corps avait tendance à pencher et à basculer vers le côté le plus vigoureux, mon asymétrie se remarquait seulement quand je marchais.
Mon asymétrie se remarquait seulement quand je marchais, dans la mesure où mon corps avait tendance à pencher et à basculer vers le côté le plus vigoureux.
RépondreSupprimerPersonnellement, je préfère la syntaxe originale.
Je préfère la version proposée par Manon… mais je vous laisse vous mettre d'accord.
RépondreSupprimerJe préférais aussi la syntaxe originale, mais en relisant avec l'ensemble (ce qu'on a déjà traduit), je préfère avec la syntaxe inversée. Mais si tu y tiens, Nancy, la syntaxe originale me convient aussi (je ne dis pas "ça va", je dis "c'est bien" ;) ) !
RépondreSupprimer:D [Manon]
RépondreSupprimerNancy, la balle est donc dans ton camp ; quelle syntaxe ?
C'est vrai qu'en relisant avec l'ensemble, c'est mieux. [D'ailleurs, il y a une coquille : on a mis "une de ses couilles" au lieu de "une de MES couilles"]
RépondreSupprimerDans la mesure où mon corps avait tendance à pencher et à basculer vers le côté le plus vigoureux, mon asymétrie se remarquait seulement quand je marchais.
OK… Je corrige cette histoire de couilles, si je puis dire… et je colle :
RépondreSupprimerDans la mesure où mon corps avait tendance à pencher et à basculer vers le côté le plus vigoureux, mon asymétrie se remarquait seulement quand je marchais.
La suite :
RépondreSupprimerPor lo demás, todo era perfecto. Hasta el día que irrumpieron en casa unos soldados y constataron que mi flanco izquierdo y derecho no se correspondían.
Por lo demás, todo era perfecto. Hasta el día que irrumpieron en casa unos soldados y constataron que mi flanco izquierdo y derecho no se correspondían.
RépondreSupprimerPour le reste, tout était parfait. Jusqu'au jour où des soldats ont fait irruption chez moi et ont constaté que mes flancs gauche et droit étaient disproportionnés.
Por lo demás, todo era perfecto. Hasta el día que irrumpieron en casa unos soldados y constataron que mi flanco izquierdo y derecho no se correspondían.
RépondreSupprimerPour le reste, tout était parfait. Jusqu'au jour où des soldats ont fait irruption chez moi et ont constaté que mes flancs [ou « côtés » ?] gauche et droit étaient disproportionnés.
Je garderais "flanc", car on a "côté" au début !
RépondreSupprimerOK.
RépondreSupprimerDu coup, j'enregistre :
Pour le reste, tout était parfait. Jusqu'au jour où des soldats ont fait irruption chez moi et ont constaté que mes flancs gauche et droit étaient disproportionnés.
La suite et la fin de « Symétrie » :
RépondreSupprimerQuizá por ello me sacaron a rastras, me pusieron contra un muro y dispararon. Quizá.
Quizá por ello me sacaron a rastras, me pusieron contra un muro y dispararon. Quizá.
RépondreSupprimerC'est peut-être pour ça qu'ils m'ont traîné dehors, qu'ils m'ont mis contre un mur et qu'ils ont tiré. Peut-être.
Quizá por ello me sacaron a rastras, me pusieron contra un muro y dispararon. Quizá.
RépondreSupprimerC'est peut-être pour cela qu'ils m'ont traîné, m'ont plaqué contre un mur et ont tiré. Peut-être.
Quizá por ello me sacaron a rastras, me pusieron contra un muro y dispararon. Quizá.
RépondreSupprimerC'est peut-être pour [ou « à cause de » ?] ça qu'ils m'ont traîné dehors, qu'ils m'ont mis [ou « collé »] contre un mur et qu'ils ont tiré. [cheville : « Oui, » ou pas utile ? Comme vous voulez] Peut-être.
Manon,
RépondreSupprimerNos commentaires se sont croisés… Fais la synthèse entre ce que je propose et ta solution.
OK. Du coup, je propose :
RépondreSupprimerC'est peut-être à cause de ça qu'ils m'ont traîné dehors, m'ont plaqué contre un mur et ont tiré. Oui, peut-être.
J'hésite pour le "oui", la chute me paraît moins sèche. Qu'en penses-tu, Nancy ?
C'est peut-être à cause de ça qu'ils m'ont traîné dehors, m'ont plaqué contre un mur et ont tiré. Oui, peut-être.
RépondreSupprimerJ'hésite pour le "oui", la chute me paraît moins sèche. Qu'en penses-tu, Nancy ?
OK.
Attendons Nancy pour le « Oui » de la fin.
Manon, je mets la suite…
GLOBALIZACIÓN
RépondreSupprimerCogí una bolsa de plástico. Una bolsa de plástico cualquiera, de esas que te dan en el economato.
GLOBALIZACIÓN
RépondreSupprimerCogí una bolsa de plástico. Una bolsa de plástico cualquiera, de esas que te dan en el economato.
MONDIALISATION
J'ai pris un sac plastique. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu'on nous donne à la coopérative.
(C'est dur de ne pas écrire "poche"... ;) )
Tu as eu raison de te faire violence pour « poche » ;-) Si, si, je t'assure !
RépondreSupprimerGLOBALIZACIÓN
Cogí una bolsa de plástico. Una bolsa de plástico cualquiera, de esas que te dan en el economato.
MONDIALISATION
[on ne laisse pas « globalisation » ?]
J'ai pris un sac plastique. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu'on nous donne à la coopérative.
OK pour le reste.
Oui, je sais, mais c'est dur de renoncer à ses régionalismes ;)
RépondreSupprimerGLOBALISATION
J'ai pris un sac plastique. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu'on nous donne à la coopérative.
C'est peut-être à cause de ça qu'ils m'ont traîné dehors, m'ont plaqué contre un mur et ont tiré. Peut-être.
RépondreSupprimerJe préfère sans le "oui".
MONDIALISATION
[on ne laisse pas « globalisation » ? On emploie plus "mondialisation" en français, non ?]
J'ai pris un sac plastique. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu'on nous donne à la coopérative.
[Moi aussi je dis "poche"!]
Évidemment, la Toulousaine que tu dis « poche » ;-))))
RépondreSupprimerBon alors, « mondialisation » ou « globalisation » ? Surtout, est-ce que c'est la même chose ? Regardez…
Pour le reste OK.
Vous me remettre l'ensemble.
Selon votre Bobby, "globalisation" est un anglicisme qui veut dire "mondialisation".
RépondreSupprimerMONDIALISATION
J'ai pris un sac plastique. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu'on nous donne à la coopérative.
Si Bobby le dit……………
RépondreSupprimerMONDIALISATION
J'ai pris un sac plastique. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu'on nous donne à la coopérative.
OK.
Si Bobby le dit……………
RépondreSupprimerMONDIALISATION
J'ai pris un sac plastique. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu'on nous donne à la coopérative.
OK.
La suite :
RépondreSupprimerMe la puse en la cabeza y le hice dos agujeros a la altura de los ojos, uno en la nariz y otro en la boca.
Me la puse en la cabeza y le hice dos agujeros a la altura de los ojos, uno en la nariz y otro en la boca.
RépondreSupprimerJe me le suis mis sur la tête et j'y ai fait deux trous au niveau des yeux, un au nez et un autre à la bouche.
Me la puse en la cabeza y le hice dos agujeros a la altura de los ojos, uno en la nariz y otro en la boca.
RépondreSupprimerJe me le suis mis sur la tête et j'y ai fait deux trous au niveau des yeux, un au [ou « pour le » ?] nez et un autre à la bouche.
Je me le suis mis sur la tête et j'y ai fait deux trous au niveau des yeux, un pour le nez et un autre pour la bouche.
RépondreSupprimerDu coup, pour que ce soit plus logique, j'ai aussi remplacer "à la bouche" par "pour la bouche" :
RépondreSupprimerJe me le suis mis sur la tête et j'y ai fait deux trous au niveau des yeux, un pour le nez et un autre pour la bouche.
Je me le suis mis sur la tête et j'y ai fait deux trous au niveau des yeux, un pour le nez et un autre pour la bouche.
RépondreSupprimerOK.
La suite :
RépondreSupprimerLuego la anudé fuerte a mi cuello, no fuera a ser que viniera una ráfaga de aire y se la llevara volando. Una vez listo, salí a la calle a dar una vuelta.
Luego la anudé fuerte a mi cuello, no fuera a ser que viniera una ráfaga de aire y se la llevara volando. Una vez listo, salí a la calle a dar una vuelta.
RépondreSupprimerEnsuite je l'ai bien attachée à mon cou, au cas où une rafale de vent vienne et l'emporte dans son vol. Une fois prêt, je suis sorti faire un tour.
Luego la anudé fuerte a mi cuello, no fuera a ser que viniera una ráfaga de aire y se la llevara volando. Una vez listo, salí a la calle a dar una vuelta.
RépondreSupprimerEnsuite [ou « Après » ? Quoi qu'il en soit, ajoute une virgule] je l'ai bien attachée [grammaire] à [ou « autour de » ?] mon cou, au cas où une rafale de vent vienne [temps] et l'emporte [temps] dans son vol [CS]. Une fois prêt, je suis sorti [et « a la calle » ?] faire un tour.
Après, je l'ai bien attaché autour de mon cou, au cas où une rafale de vent viendrait et le ferait s'envoler. Une fois prêt, je suis sorti dans la rue faire un tour.
RépondreSupprimer"faire s'envoler" n'est pas terrible, mais c'est pour être sûre que c'est déjà le sens...
Luego la anudé fuerte a mi cuello, no fuera a ser que viniera una ráfaga de aire y se la llevara volando. Una vez listo, salí a la calle a dar una vuelta.
RépondreSupprimerAprès, je l'ai bien attaché autour de mon cou, au cas où [en fait, ça n'est pas tout à fait ça ; la V.O. dit « No fuera… »] une rafale de vent viendrait et le ferait s'envoler. Une fois prêt, je suis sorti dans la rue faire un tour.
Après, je l'ai bien attaché autour de mon cou, au cas où [je ne vois pas par quoi on peut le remplacer, c'est l'idée de "pour ne pas" mais ce n'est pas tout a fait ça non plus] une rafale de vent viendrait et le ferait s'envoler. Une fois prêt, je suis sorti dans la rue faire un tour.
RépondreSupprimerAprès, je l'ai bien attaché autour de mon cou, au cas où une rafale de vent viendrait et le ferait s'envoler. Une fois prêt, je suis sorti dans la rue faire un tour.
RépondreSupprimerJe vous propose :
Après, je l'ai bien attaché autour de mon cou, au cas où il y aurait une rafale de vent qui le ferait s'envoler. Une fois prêt, je suis sorti dans la rue faire un tour.
OK ?
OK pour moi !
RépondreSupprimerAprès, je l'ai bien attaché autour de mon cou, au cas où il y aurait une rafale de vent qui le ferait s'envoler. Une fois prêt, je suis sorti dans la rue faire un tour.
Après, je l'ai bien attaché autour de mon cou, au cas où il y aurait une rafale de vent qui le ferait s'envoler. Une fois prêt, je suis sorti dans la rue faire un tour.
RépondreSupprimerOK pour moi.
La suite :
RépondreSupprimerY mientras paseaba tranquilamente, descubrí que todo el mundo llevaba una bolsa de plástico en la cabeza.
[je vous propose de mettre un petit coup d'accélérateur sur ces textes pour publier l'ensemble rapidement]
Et tandis que je me promenais tranquillement, je me suis rendu compte que tout le monde portait un sac plastique sur la tête.
RépondreSupprimer(OK pour le coup d'accélérateur)
Y mientras paseaba tranquilamente, descubrí que todo el mundo llevaba una bolsa de plástico en la cabeza.
RépondreSupprimerEt tandis que je me promenais tranquillement, je me suis rendu compte que tout le monde portait un sac plastique sur la tête.
OK.
Nancy ?
La suite :
RépondreSupprimerUna bolsa con dos agujeros a la altura de los ojos, uno en la nariz y otro en la boca. Una bolsa de plástico cualquiera, de esas que te dan el economato.
Una bolsa con dos agujeros a la altura de los ojos, uno en la nariz y otro en la boca. Una bolsa de plástico cualquiera, de esas que te dan el economato.
RépondreSupprimerUn sac avec deux trous au niveau des yeux, un pour le nez et un autre pour la bouche. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu’on nous donne à la coopérative.
Una bolsa con dos agujeros a la altura de los ojos, uno en la nariz y otro en la boca. Una bolsa de plástico cualquiera, de esas que te dan el economato.
RépondreSupprimerUn sac avec deux trous au niveau des yeux, un pour le nez et un autre pour la bouche. Un sac plastique quelconque, un de ceux qu’on nous donne à la coopérative.
OK.
Nancy ? Essaie de faire toute la fin en même temps… Ce sera plus simple pour le copier-coller.
Manon, je te mets la nouvelle suivante.
ACÚFENOS
RépondreSupprimerJuan y Luis se sientan cada día en el mismo banco distinto. Mientras toman el sol, Juan – que en realidad no se llama Juan – le pregunta a Luis por su esposa.
ACOUPHÈNES
RépondreSupprimerJuan et Luis s’assoient chaque jour sur le même banc distinct. Pendant qu’ils prennent le soleil, Juan – qui en réalité ne s’appelle pas Juan – demande à Luis comment va son épouse.
ACOUPHÈNES
RépondreSupprimerJuan et Luis s'assoient chaque jour sur le même banc différent. Tandis qu'ils prennent le soleil, Juan – qui en réalité ne s'appelle pas Juan – demande à Luis comment va son épouse.
ACÚFENOS
RépondreSupprimerJuan y Luis se sientan cada día en el mismo banco distinto. Mientras toman el sol, Juan – que en realidad no se llama Juan – le pregunta a Luis por su esposa.
ACOUPHÈNES
Juan et Luis s’assoient chaque jour sur le même banc distinct [que faut-il comprendre ?]. Pendant qu’ils prennent le soleil, Juan – qui [virgule ?] en réalité [virgule ?] ne s’appelle pas Juan – demande à Luis comment va son épouse [ou par « des nouvelles » ?].
Juan et Luis s’assoient chaque jour sur le même banc distinct [ils s'asseoient chacun sur un banc différent mais tous les jours sur le même ?] Pendant qu’ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse.
RépondreSupprimerACOUPHÈNES
RépondreSupprimerJuan et Luis s’assoient chaque jour sur le même banc distinct [Pour moi, chacun a son banc, ils ne s'assoient pas ensemble, mais ils ont chacun le même chaque jour]. Pendant qu’ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse.
Juan et Luis s’assoient chaque jour sur le même banc distinct [ils s'asseoient chacun sur un banc différent mais tous les jours sur le même ?] Pendant qu’ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse.
RépondreSupprimerACOUPHÈNES
Juan et Luis s’assoient chaque jour sur le même banc distinct [Pour moi, chacun a son banc, ils ne s'assoient pas ensemble, mais ils ont chacun le même chaque jour]. Pendant qu’ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse.
Pour la partie un peu problématique, je pense qu'il faut le formuler un peu autrement… sinon, pour qui n'a pas la V.O. à côté, c'est juste bizarre.
ACOUPHÈNES
RépondreSupprimerJuan et Luis s’assoient chaque jour sur leur banc respectif [mais on perd la construction "mismo"/"distinto"]. Pendant qu'ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse.
ACOUPHÈNES
RépondreSupprimerJuan et Luis s’assoient chaque jour sur leur même banc respectif. Pendant qu'ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse.
J'ai ajouté "même" pour que l'on voit ce que ça donne, mais je pense que ça embrouille le lecteur plus qu'autre chose, qu'en pensez-vous ?
Oui, c'est un peu bizarre avec "même". Ou avec "chacun" mais ça fait chaque/chacun et c'est aussi bizarre :
RépondreSupprimerACOUPHÈNES
Juan et Luis s’assoient chaque jour sur chacun le même banc. Pendant qu'ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse.
Ou alors :
RépondreSupprimerJuan et Luis s’assoient tous les jours chacun sur son banc respectif, le même. Pendant qu'ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse.
Qu'en pensez-vous ?
Ou alors :
RépondreSupprimerJuan et Luis s’assoient tous les jours chacun sur son banc respectif, le même. Pendant qu'ils prennent le soleil, Juan – qui, en réalité, ne s’appelle pas Juan – demande à Luis des nouvelles de son épouse.
Qu'en pensez-vous ?
Ça me paraît bizarre aussi…
RépondreSupprimerÀ mon avis, le plus simple est de supprimer « le même ».
RépondreSupprimer