2. Villa Martelli, donde vivimos, no es distinto. Es, también, un barrio. Es lo que es: una población repleta de fábricas. Y negocios en las avenidas de cuestiones técnicas como pintura, carpintería metálica, repuestos de autos, ferreterías. También hay almacenes, claro, para que los que coexistimos ahí podamos comprar alimentos, productos de limpieza y esas cosas. Desodorantes, forros, cervezas.
Traduction temporaire :
2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier, une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, on trouve des commerces spécialisés en peinture, huisseries métalliques, pièces détachées pour les autos, des quincailleries. Il y a aussi des magasins, bien entendu, pour que nous, qui coexistons là, nous puissions acheter de la nourriture, des produits d’entretien et autres choses, déodorants, capotes, bières.
2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier, une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, on trouve des commerces spécialisés en peinture, huisseries métalliques, pièces détachées pour les autos, des quincailleries. Il y a aussi des magasins, bien entendu, pour que nous, qui coexistons là, nous puissions acheter de la nourriture, des produits d’entretien et autres choses, déodorants, capotes, bières.
Villa Martelli où nous habitons n’est pas différent. C’est aussi un quartier. Ce n’est ni plus ni moins qu’une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, des affaires de produits techniques comme de la peinture, des huisseries métalliques, des pièces détachées pour les autos, des quincailleries. Il y aussi des magasins, bien entendu, pour que nous, qui coexistons là, nous puissions acheter des aliments, des produits d’entretien et autres. Des déodorants, des housses, des bières.
RépondreSupprimer2. Villa Martelli, donde vivimos, no es distinto.
RépondreSupprimer2. [n'oublie pas de mettre les numéros des sections] Villa Martelli où nous habitons [pourquoi tu as supprimé le système des virgules de la V.O., qui fonctionne pareil en français] n’est pas différent.
Es, también, un barrio.
C’est aussi [ou « Là aussi, c'est » ?] un quartier.
Es lo que es: una población repleta de fábricas.
Ce n’est ni plus ni moins qu’une cité [tu as vérifié ?] truffée d’usines.
Y negocios en las avenidas de cuestiones técnicas como pintura, carpintería metálica, repuestos de autos, ferreterías.
Et, sur les avenues, des affaires [pas sûre que le terme soit bien adapté ici] de produits techniques [naturel en français ?] comme de [« de » est-il nécessaire ?] la peinture, des [idem] huisseries métalliques, des [idem] pièces détachées pour les autos, des quincailleries.
2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier. Ce n’est ni plus ni moins[tu as vérifié ? sur quoi???littéralement : c'est ce qu'elle est : c'est pas très beau !!!] qu’une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, des commerces de produits industriels comme la peinture, les huisseries métalliques, les pièces détachées pour les autos, des quincailleries.
RépondreSupprimer2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier. Ce n’est ni plus ni moins qu’une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, des commerces de produits industriels comme la peinture, les huisseries métalliques, les pièces détachées pour les autos, des quincailleries.
RépondreSupprimerC'est mieux ; deux points m'ennuient encore, cependant :
- La phrase 2 se termine par « c'est » et la 3 commence par « Ce n'est »… Déjà que le recours au « c'est » est assez pauvre en soi… ! Le problème étant, au-delà de la répétition, qu'il s'agit vite d'un tic quand on traduit – je sais de quoi je parle ;-)
- pas de verbe dans la troisième phrase.
C'est un désastre! j'avoue : je me réveille en pensant à ma trad de la veille et en plus tu me pointes des tics!!! 2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier. En fait, une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, des commerces spécialisés en peinture, huisseries métalliques, pièces détachées pour les autos, des quincailleries.
RépondreSupprimerC'est un désastre! j'avoue : je me réveille en pensant à ma trad de la veille et en plus tu me pointes des tics!!! 2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier. En fait, une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, des commerces spécialisés en peinture, huisseries métalliques, pièces détachées pour les autos, des quincailleries.
RépondreSupprimerAllons, allons, petite Descamps... ;-)
RépondreSupprimer2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier. En fait [un doute : tu ne crois pas que ce « en fait » relativise un peu ce qui est dit dans la phrase précédente ? Or je ne suis pas certaine qu'il y ait cette nuance], une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, des commerces spécialisés en peinture, huisseries métalliques, pièces détachées pour les autos, des quincailleries [cf mon commentaire précédent, où je te signalais l'absence de verbe].
C'est pas tout ma grande ! j'ai aussi fait une erreur de copier coller : j'avais bien pris note de ta remarque !!!
RépondreSupprimer2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier. En fait [un doute : tu ne crois pas que ce « en fait » relativise un peu ce qui est dit dans la phrase précédente ? Or je ne suis pas certaine qu'il y ait cette nuance], une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, on trouve des commerces spécialisés en peinture, huisseries métalliques, pièces détachées pour les autos, des quincailleries.
Dernière mouture, désolée !!!
RépondreSupprimer2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier. En effet(?), une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, on trouve des commerces spécialisés en peinture, huisseries métalliques, pièces détachées pour les autos, des quincailleries.
2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier. En effet(?) [et pourquoi pas pas rien, avec une virgule devant pour relier les deux phrases ? Essaie et dis-moi ce que tu en penses], une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, on trouve des commerces spécialisés en peinture, huisseries métalliques, pièces détachées pour les autos, des quincailleries.
RépondreSupprimerMais bien sûr!!!
RépondreSupprimer2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier, une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, on trouve des commerces spécialisés en peinture, huisseries métalliques, pièces détachées pour les autos, des quincailleries.
2. Villa Martelli, où nous habitons, n’est pas différent. Là aussi, c’est un quartier, une cité truffée d’usines. Et, sur les avenues, on trouve des commerces spécialisés en peinture, huisseries métalliques, pièces détachées pour les autos, des quincailleries.
RépondreSupprimerOK.
Merci.
RépondreSupprimerEt la suite ?
Il y aussi des magasins, bien entendu, pour que nous, qui coexistons là, nous puissions acheter des aliments, des produits d’entretien et autres déodorants, housses, bières.
En effet, ça m'avait échappé !
RépondreSupprimerTambién hay almacenes, claro, para que los que coexistimos ahí podamos comprar alimentos, productos de limpieza y esas cosas. Desodorantes, forros, cervezas.
Il y aussi des magasins, bien entendu, pour que nous, qui coexistons là, nous puissions acheter des aliments [ou « nourriture » ?], des produits d’entretien et autres [« cosas » ?] déodorants, housses [de quoi ?], bières.
Il y aussi des magasins, bien entendu, pour que nous, qui coexistons là, nous puissions acheter de la nourriture, des produits d’entretien et autres objets, déodorants, housses [de bite!!! = des capotes (ça m'a valu un coup de fil perso d'une morte de rire!!!), bières.
RépondreSupprimerJe reprends:
Il y aussi des magasins, bien entendu, pour que nous, qui coexistons là, nous puissions acheter de la nourriture, des produits d’entretien et autres objets, déodorants, capotes, bières.
Il y a aussi des magasins, bien entendu, pour que nous, [cheville : « les gens » ? ou pas nécessaire] qui coexistons là, nous puissions acheter de la nourriture, des produits d’entretien et autres objets [le pb, c'est que les trois trucs que tu dis après ne sont pas des objets ; pas de raison de contourner « choses »], déodorants, capotes, bières.
RépondreSupprimerIl y a aussi des magasins, bien entendu, pour que nous, qui coexistons là, nous puissions acheter de la nourriture, des produits d’entretien et autres choses, déodorants, capotes, bières.
RépondreSupprimerl y a aussi des magasins, bien entendu, pour que nous, qui coexistons là, nous puissions acheter de la nourriture, des produits d’entretien et autres choses, déodorants, capotes, bières.
RépondreSupprimerOK.