Las ideas no se fusilan ni se guillotinan, las ideas matan al tirano, al asesino, al torturador. Juan Montalvo tenía razón sobrada cuando, en la lejanía del destierro, supo que el dictador sectario de su patria, el enlutado y medieval García Moreno había sido abatido por la mano de un secretario, dijo para sí, para su conciencia y la profesión de su conciencia, con la certeza de que él tenía razón y el futuro también: ¡Mi pluma lo mató!
Traduction temporaire :
On ne fusille ni ne guillotine les idées ; les idées tuent le tyran, l'assassin, le tortionnaire. Juan Montalvo avait de la raison à revendre quand, dans l'éloignement de l'exil, il apprit que le dictateur sectaire de sa patrie, l'endeuillé et moyenâgeux García Moreno, avait été abattu par la main d'un secrétaire ; il se dit en son for intérieur, pour sa conscience et la profession de sa conscience, avec la certitude qu'il était dans le vrai, lui et le futur : Ma plume l'a tué !
On ne fusille ni ne guillotine les idées ; les idées tuent le tyran, l'assassin, le tortionnaire. Juan Montalvo avait de la raison à revendre quand, dans l'éloignement de l'exil, il apprit que le dictateur sectaire de sa patrie, l'endeuillé et moyenâgeux García Moreno, avait été abattu par la main d'un secrétaire ; il se dit en son for intérieur, pour sa conscience et la profession de sa conscience, avec la certitude qu'il était dans le vrai, lui et le futur : Ma plume l'a tué !
Les idées ne se fusillent ni se guillotinent, les idées tuent le tyran, l'assassin, le tortionnaire. Juan Montalvo avait de la raison à revendre quand, dans le lointain de l'exil, il sut que le dictateur sectaire de sa patrie, l'endeuillé et moyenâgeux García Moreno, avait été abattu par la main d'un secrétaire, il dit en son for intérieur, à sa conscience et à la profession de sa conscience, avec la certitude qu'il était dans le vrai, lui et le futur aussi : Ma plume l'a tué !
RépondreSupprimerLas ideas no se fusilan ni se guillotinan, las ideas matan al tirano, al asesino, al torturador.
RépondreSupprimerLes idées ne se fusillent [opte pour une autre construction…, plus fluide et avec la double négation] ni se guillotinent, [ou « ; » ? À toi de choisir] les idées tuent le tyran, l'assassin, le tortionnaire.
On ne fusille ni ne guillotine les idées ; les idées tuent le tyran, l'assassin, le tortionnaire. Juan Montalvo avait de la raison à revendre quand, dans le lointain de l'exil, il apprit que le dictateur sectaire de sa patrie, l'endeuillé et moyenâgeux García Moreno, avait été abattu par la main d'un secrétaire, il dit en son for intérieur, à sa conscience et à la profession de sa conscience, avec la certitude qu'il était dans le vrai, lui et le futur aussi : Ma plume l'a tué !
RépondreSupprimerOn ne fusille ni ne guillotine les idées ; les idées tuent le tyran, l'assassin, le tortionnaire.
RépondreSupprimerOu : « Les idées, on ne les fusille pas, on ne les guillotine pas » ?
Juan Montalvo tenía razón sobrada cuando, en la lejanía del destierro,
Juan Montalvo avait de la raison à revendre quand, dans le lointain [ou « l'éloignement » ?] de l'exil,
supo que el dictador sectario de su patria, el enlutado y medieval García Moreno había sido abatido por la mano de un secretario,
il sut [ou « appris » ?] que le dictateur sectaire de sa patrie, l'endeuillé et moyenâgeux García Moreno, avait été abattu par [ou « de » ; j'ai un doute… Vérifie] la main d'un secrétaire,
dijo para sí, para su conciencia y la profesión de su conciencia, con la certeza de que él tenía razón y el futuro también: ¡Mi pluma lo mató!
, [ou « ; » ?] il [cheville « se » ?] dit en son for intérieur, à [à la place de « para » ? Pourquoi ?] sa conscience et à la profession de sa conscience, avec la certitude qu'il était dans le vrai, lui et le futur aussi [pas redondant avec le « aussi » ?] : Ma plume l'a tué !
On ne fusille ni ne guillotine les idées ; les idées tuent le tyran, l'assassin, le tortionnaire. Juan Montalvo avait de la raison à revendre quand, dans l'éloignement de l'exil, il apprit que le dictateur sectaire de sa patrie, l'endeuillé et moyenâgeux García Moreno, avait été abattu par la main d'un secrétaire ; il se dit en son for intérieur, pour sa conscience et la profession de sa conscience, avec la certitude qu'il était dans le vrai, lui et le futur également : Ma plume l'a tué !
RépondreSupprimerOn ne fusille ni ne guillotine les idées ; les idées tuent le tyran, l'assassin, le tortionnaire. Juan Montalvo avait de la raison à revendre quand, dans l'éloignement de l'exil, il apprit que le dictateur sectaire de sa patrie, l'endeuillé et moyenâgeux García Moreno, avait été abattu par la main d'un secrétaire ; il se dit en son for intérieur, pour sa conscience et la profession de sa conscience, avec la certitude qu'il était dans le vrai, lui et le futur également [dommage ; je trouve ce « également » maladroit / On peu le supprimer ?] : Ma plume l'a tué !
RépondreSupprimerOn ne fusille ni ne guillotine les idées ; les idées tuent le tyran, l'assassin, le tortionnaire. Juan Montalvo avait de la raison à revendre quand, dans l'éloignement de l'exil, il apprit que le dictateur sectaire de sa patrie, l'endeuillé et moyenâgeux García Moreno, avait été abattu par la main d'un secrétaire ; il se dit en son for intérieur, pour sa conscience et la profession de sa conscience, avec la certitude qu'il était dans le vrai, lui et le futur : Ma plume l'a tué !
RépondreSupprimern ne fusille ni ne guillotine les idées ; les idées tuent le tyran, l'assassin, le tortionnaire. Juan Montalvo avait de la raison à revendre quand, dans l'éloignement de l'exil, il apprit que le dictateur sectaire de sa patrie, l'endeuillé et moyenâgeux García Moreno, avait été abattu par la main d'un secrétaire ; il se dit en son for intérieur, pour sa conscience et la profession de sa conscience, avec la certitude qu'il était dans le vrai, lui et le futur : Ma plume l'a tué !
RépondreSupprimerOK.