Pages

lundi 29 avril 2013

Projet Céline – phrase 72

La mujer no era fea, es decir él habría dicho que era atractiva, incluso muy atractiva, tanto que desde que él tomó asiento junto a ella, había tratado de no mirarle lo que miramos todos los hombres en circunstancias parecidas y en ocasiones fortuitas, de mirarle las piernas, es decir, el comienzo de las faldas y la cara, es decir la boca, la totay y única boca.

Traduction temporaire :
La femme n’était pas laide ; en fait, il aurait dit qu’elle était attirante, même très attirante, tellement que depuis qu’il avait pris place à côté d’elle, il avait essayé de ne pas regarder ce que tous les hommes regardent dans de pareilles circonstances et en des occasions fortuites : ses jambes, c’est-à-dire le commencement des genoux et du visage, à savoir la bouche,  la bouche absolue et unique.

6 commentaires:

  1. La femme n’était pas laide ; en fait, il aurait dit qu’elle était attirante, même très attirante, tellement que depuis qu’il avait pris place à côté d’elle, il avait essayé de ne pas regarder ce que tous les hommes regardent en de pareilles circonstances et dans des occasions fortuites : regarder ses jambes, c’est-à-dire le commencement des genoux et du visage, à savoir la bouche, la bouche absolue et unique.

    RépondreSupprimer
  2. La femme n’était pas laide ; en fait, il aurait dit qu’elle était attirante, même très attirante, tellement que depuis qu’il avait pris place à côté d’elle, il avait essayé de ne pas regarder ce que tous les hommes regardent en de pareilles circonstances et dans des occasions fortuites : regarder [on supprime ?] ses jambes, c’est-à-dire le commencement des genoux et du visage, à savoir la bouche, la bouche absolue et unique.

    RépondreSupprimer
  3. La femme n’était pas laide ; en fait, il aurait dit qu’elle était attirante, même très attirante, tellement que depuis qu’il avait pris place à côté d’elle, il avait essayé de ne pas regarder ce que tous les hommes regardent en de pareilles circonstances et dans des occasions fortuites : ses jambes, c’est-à-dire le commencement des genoux et du visage, à savoir la bouche, la bouche absolue et unique.

    RépondreSupprimer
  4. La femme n’était pas laide ; en fait, il aurait dit qu’elle était attirante, même très attirante, tellement que depuis qu’il avait pris place à côté d’elle, il avait essayé de ne pas regarder ce que tous les hommes regardent en [ou « dans » ?] de pareilles circonstances et dans [ou « en » ?] des occasions fortuites : ses jambes, c’est-à-dire le commencement des genoux et du visage, à savoir la bouche, la bouche absolue et unique.

    RépondreSupprimer
  5. La femme n’était pas laide ; en fait, il aurait dit qu’elle était attirante, même très attirante, tellement que depuis qu’il avait pris place à côté d’elle, il avait essayé de ne pas regarder ce que tous les hommes regardent dans de pareilles circonstances et en des occasions fortuites : ses jambes, c’est-à-dire le commencement des genoux et du visage, à savoir la bouche, la bouche absolue et unique.

    RépondreSupprimer
  6. La femme n’était pas laide ; en fait, il aurait dit qu’elle était attirante, même très attirante, tellement que depuis qu’il avait pris place à côté d’elle, il avait essayé de ne pas regarder ce que tous les hommes regardent dans de pareilles circonstances et en des occasions fortuites : ses jambes, c’est-à-dire le commencement des genoux et du visage, à savoir la bouche, la bouche absolue et unique.

    OK.

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.