No me dio tiempo a nada. Qué extraño fue sentir el golpe sin dolor alguno, adormilarse y saber que por fin todo ha terminado; claro que no del todo, sino esa falsa rubia no podría haberme traído de vuelta.
Traduction temporaire :
Je n’ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur, de s’assoupir et de savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas complètement, bien sûr, sinon, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.
Je n’ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur, de s’assoupir et de savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas complètement, bien sûr, sinon, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.
Je n’ai eu le temps de rien. Ce fut très étrange de sentir le coup sans aucune douleur, s’assoupir et savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas tout, bien sûr, autrement, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.
RépondreSupprimerJe n’ai eu le temps de rien. Ce fut très [est-ce que tout cela est nécessaire ?] étrange de sentir [tu mettrais le temps ici] le coup sans [verbe-cheville : « ressentir » ou un truc comme ça ?] aucune douleur, s’assoupir et savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas tout [ou « complètement » ?], bien sûr, autrement, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.
RépondreSupprimerJe ne comprends pas ton conseil pour la deuxième phrase, à moi d'avoir la tête dans le chou !
RépondreSupprimerQuelle partie ?
RépondreSupprimerJe n'ai eu le temps de rien. Ce fut très [est-ce que tout cela est nécessaire ?] étrange de sentir [tu mettrais le temps ici : c'est à dire ?] le coup sans [verbe-cheville : « ressentir » ou un truc comme ça ?] aucune douleur
RépondreSupprimerJe n'ai eu le temps de rien. Ce fut très [est-ce que tout cela est nécessaire ?] étrange de sentir [tu mettrais le temps ici : c'est à dire ?] le coup sans [verbe-cheville : « ressentir » ou un truc comme ça ?] aucune douleur.
RépondreSupprimerJe te propose – ce sera plus simple et tu verras ce que tu en penses :
Je n'ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur
Je n’ai eu le temps de rien. Etrange de sentir le coup sans la moindre douleur, s’assoupir et savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas tout, bien sûr, autrement, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.
RépondreSupprimerJe n’ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur, [« de » ?] s’assoupir et savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas tout [« no del todo » = « pas totalement » ?], bien sûr, autrement [« sinon » ?], cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.
RépondreSupprimerJe n’ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur, de s’assoupir et de savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas complètement, bien sûr, sinon, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.
RépondreSupprimerJe n’ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur, de s’assoupir et de savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas complètement, bien sûr, sinon, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.
RépondreSupprimerOK.
Mets-moi les phrases suivantes ici.
RépondreSupprimer—Usted y su marido no se llevaban bien. —oigo decir a la mujer de uñas rojas mientras se acomoda el pañuelo que sostiene su cabello teñido.
RépondreSupprimerOK… Là, je raccroche les wagons. Je te mets la suite dans un post.
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