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samedi 21 septembre 2013

Projet Céline – phrases 90-91


Él tuvo entonces la idea, y casi estuvo seguro de ella, de que la mujer le tenía un poco de lástima o de distancia o de desconfianza. Nadie en la vida se equivoca en tomar un tren para trasladarse de un país a otro, un tren no es un autobús, ni un tranvía, como los que él equivocaba siempre cuando los cogía en la Berna antigua para regresar hasta la estación.

Traduction temporaire :
L'idée le traversa – et il était presque sûr de sa véracité – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Dans la vie, personne ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre ; un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le centre historique de Berne.

10 commentaires:

  1. Il pensa alors – et il était presque sûr ce cela – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Personne, dans la vie, ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre, un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le vieux centre de Berne.

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  2. Il pensa alors [pourquoi tu as changé – à cause d'une répétition ? ] – et il était presque sûr ce [?] cela – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Personne, dans la vie, ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre, un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le vieux centre de Berne.

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  3. Il eut alors l’idée – et il en était presque sûr – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Personne, dans la vie, ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre, un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le vieux centre de Berne.

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  4. Il eut alors l’idée [« L'idée le traversa » ?] – et il en était presque sûr [« presque sûr de sa véracité » ?] – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Personne, dans la vie, ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre, un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le vieux centre de Berne.

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  5. L'idée le traversa – et il était presque sûr de sa véracité – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Personne, dans la vie, ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre, un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le vieux centre de Berne.

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  6. L'idée le traversa – et il était presque sûr de sa véracité – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Personne, dans la vie [syntaxe ? À mettre au début ?], ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre, [ponctuation ?] un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le vieux centre de Berne.

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  7. L'idée le traversa – et il était presque sûr de sa véracité – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Dans la vie, personne ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre ; un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le vieux centre de Berne.

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  8. L'idée le traversa – et il était presque sûr de sa véracité – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Dans la vie, personne ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre ; un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le vieux centre [« centre historique » ?] de Berne.

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  9. L'idée le traversa – et il était presque sûr de sa véracité – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Dans la vie, personne ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre ; un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le centre historique de Berne.

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  10. L'idée le traversa – et il était presque sûr de sa véracité – que la femme ressentait à son égard un peu de pitié, de distance ou de méfiance. Dans la vie, personne ne se trompe de train pour aller d’un pays à l’autre ; un train n’est pas un autobus ni un tramway, comme celui qu’il prenait – qui n’était jamais le bon – quand il voulait regagner la gare depuis le centre historique de Berne.

    OK.

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