Nosotros continuamos allí en el cementerio sin alcanzar a comprender nada, no pasábamos de las tres docenas los sobrevivientes, pues los infranqueables muros habían impedido el ingreso de más gente, para nuestra buena suerte la avalancha solo había llegado hasta los primeros niveles.
Traduction temporaire :
Nous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs, infranchissables, avaient empêché le passage de davantage de personnes ; par chance, l'avalanche n'était pas monté bien haut.
Nous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs, infranchissables, avaient empêché le passage de davantage de personnes ; par chance, l'avalanche n'était pas monté bien haut.
Nous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce fût. Nous ne dépassions pas les trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage davantage de personnes. Par chance, l'avalanche n'était pas allée au-delà des premiers paliers.
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce fût [pas sûre pour la concordance des temps ici ; naturel ?]. Nous ne dépassions [peu naturel ici… Va au plus fluide en français. Comment dirais-tu, toi, spontanément ?] pas les trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage [manque quelque chose ici] davantage de personnes. Par chance, l'avalanche n'était pas allée au-delà des premiers paliers.
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage de davantage de personnes. Par chance, l'avalanche n'était pas allée au-delà des premiers paliers.
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage de davantage de personnes. Par chance, l'avalanche n'était pas allée au-delà des premiers paliers [« paliers » de quoi, au fait ?].
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage de davantage de personnes. Par chance, l'avalanche n'était pas allée au-delà d'une certaine hauteur [du mur... ?].
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage de davantage de personnes. Par chance, l'avalanche n'était pas allée au-delà d'une certaine hauteur [du mur... ? Oui, je pense que c'est l'idée ; mais est-ce qu'on ne peut pas rester plus près de la V.O. / pas d'idée, mais cherche, toi ;-)].
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage de davantage de personnes ; et [j'ai changé ici le "." par ";" et ai rajouté "et" pour lier, comme dans la V.O, les deux facettes, négatives et positives, du mur] par chance, l'avalanche n'était pas allée au-delà des premières strates.
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage de davantage de personnes ; et [j'hésite sur ce « et » / lien avec la phrase d'avant ?] par chance, l'avalanche n'était pas allée au-delà des premières strates.
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage de davantage de personnes ; [non, pas de lien, en effet] par chance, l'avalanche n'en [j'ai un doute niveau grammaire : c'est correct de mettre ici ce "en" pour rappeler le mur ou non ? car il manque un truc à la phrase. Si c'est pas bon, je tente autre chose] était pas allée au-delà des premières strates.
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage de davantage de personnes ; par chance, l'avalanche n'était pas allée au-delà des premières strates.
RépondreSupprimerÇa me semble pas mal comme ça… avec un mini-doute, quand même : « strates » pour un mur ?
Nous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage de davantage de personnes ; par chance, l'avalanche n'était pas allée au-delà des premiers soubassements [pas de doute, tu as raison, je n'en étais pas satisfaite non plus. Ce terme pourrait correspondre à cette réalité-là].
RépondreSupprimerQuoique... peut-être un peu bas par rapport au niveau que l'avalanche aurait pu atteindre.
RépondreSupprimerTu sais quoi, on ne devrait pas s'entêter à chercher un substantif pour rendre « primeros niveles »… Contourne.
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs infranchissables avaient empêché le passage de davantage de personnes ; par chance, l'avalanche n'était pas passé par-dessus.
RépondreSupprimerJe te propose :
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs, infranchissables, avaient empêché le passage de davantage de personnes ; par chance, l'avalanche n'était pas monté bien haut.
Pas vraiment satisfaite non plus. Est-ce qu'on peut se permettre de laisser pour le moment, en stand by, et de revenir dessus lors de la relecture global ? Peut-être que ça viendra naturellement à l'esprit avec la fluidité de la lecture. ???
RépondreSupprimerPourquoi ça ne te va pas ?
RépondreSupprimerÉcoute, ça m'embête de laisser des casseroles derrière nous… C'est une mauvaise habitude à prendre. Prends quelques jours pour y réfléchir si tu veux… Et n'hésite pas à demander à des gens autour de toi ; un œil neuf (voire plusieurs) nous serait peut-être utile.
Pourquoi ça ne te va pas ?
RépondreSupprimerÉcoute, ça m'embête de laisser des casseroles derrière nous… C'est une mauvaise habitude à prendre. Prends quelques jours pour y réfléchir si tu veux… Et n'hésite pas à demander à des gens autour de toi ; un œil neuf (voire plusieurs) nous serait peut-être utile.
Nous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs, infranchissables, avaient empêché le passage de davantage de personnes ; par chance, l'avalanche n'avait pas atteint le haut du mur.
RépondreSupprimerSi ça ne te convient pas, alors on garde la solution que tu avais proposée.
Nous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs, infranchissables, avaient empêché le passage de davantage de personnes ; par chance, l'avalanche n'avait pas atteint le haut du mur [tu t'éloignes trop ; le texte ne dit pas qu'il n'est pas monté haut, mais au contraire qu'il n'est pas monté bien haut… Fais quelque chose de simple].
RépondreSupprimerNous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs, infranchissables, avaient empêché le passage de davantage de personnes ; par chance, l'avalanche n'était pas monté bien haut.
RépondreSupprimerValidé ! ;-)
Nous restâmes là, dans le cimetière, sans parvenir à comprendre quoi que ce soit. Nous n'étions pas plus de trois douzaines de survivants, car les murs, infranchissables, avaient empêché le passage de davantage de personnes ; par chance, l'avalanche n'était pas monté bien haut.
RépondreSupprimerOK.