Empiezo a caminar mientras escucho carcajadas a mis espaldas y la frase chau, caretón. Doblo en una calle transversal a la principal.
Traduction temporaire :
Lorsque je commence à m'éloigner, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister grande gueule. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
Lorsque je commence à m'éloigner, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister grande gueule. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
Lorsque je me mets en route, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de salut, grande gueule. Je tourne sur une rue qui traverse l'artère principale.
RépondreSupprimerLorsque je me mets en route [on peut associer cela à « à pied » ?], j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de salut [bye bye ?], [cheville : « Mister » ?] grande gueule. Je tourne sur [?] une rue qui traverse l'artère principale.
RépondreSupprimerLorsque je décanille, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister grande gueule. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
RépondreSupprimerLorsque je décanille [pas trop par rapport à l'espagnol ???], j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister grande gueule. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
RépondreSupprimerLorsque je commence à m'éloigner à pied, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister grande gueule. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
RépondreSupprimerLorsque je commence à m'éloigner à pied [« à pied » = nécessaire ?], j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister grande gueule. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
RépondreSupprimerLorsque je commence à m'éloigner à pied, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister grande gueule. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
RépondreSupprimerà pied [« à pied » = nécessaire ? non!!]
Lorsque je commence à m'éloigner à pied, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister grande gueule. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
RépondreSupprimerOK… alors supprime-le ;-)
Lorsque je commence à m'éloigner, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister grande gueule. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
RépondreSupprimerJe croyais l'avoir supprimé !!!
Coucou Irène : un "careta", c'est quelqu'un de prétentieux, vaniteux, fanfaron, frimeur, crâneur.
RépondreSupprimerElena… Comme je ne pense pas qu'Irène voit ton commentaire, peux-tu le lui signaler, stp.
RépondreSupprimerDeux supervisions pour le prix d'une!!! ça va donner une trad hyper lucide !!!
RépondreSupprimerElena: ta remarque me renvoie aux outils : j'utilise le dico de Lunfardo online mais il y a peut-être de meilleurs outils ??? http://lunfardo.esacademic.com/
me donne Careta pop. Atrevido, desfachatado, caradura// hipócrita// insolente qui me semble loin de frimeur. Ceci dit, frimeur colle au contexte...
Lorsque je commence à m'éloigner à pied, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister frimeur. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
Je ne connais pas de meilleur dico, mais par déduction :
RépondreSupprimercardura = gonflé
gonflé = − Péj. Rempli d'orgueil, de vanité.
Selon le CNRTL
C'est 3 supervisionsssss qu'il va me falloir !!!
RépondreSupprimerLorsque je commence à m'éloigner, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister frimeur. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
Elena : ds ce cas-là quelle différence fais-tu avec grande gueule?
RépondreSupprimerJe vous laisse finir le débat, chères amies ;-)
RépondreSupprimerBah, un frimeur n'est pas forcément grande gueule.
RépondreSupprimerNon mais l'inverse est vrai et il me semble ce jeune homme la ramène un peu et que les minettes sont un tantinet agressives. Du coup, je ne trouve pas la proposition initiale désajustée. Il me semble qu'on peut en rester là ???
RépondreSupprimerLorsque je commence à m'éloigner, j’entends des éclats de rire dans mon dos, ponctués de bye bye, Mister grande gueule. J'emprunte une rue qui coupe l'artère principale.
OK… On s'en tient là et, le cas échéant, on y reviendra à la relecture. Irène, mets-moi un commentaire à la phrase où tu en es, que je te rejoigne directement là-bas… Merci.
RépondreSupprimerOui merci!!
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