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lundi 7 octobre 2013

Projet Manon / Élise – phrases 74-75

Caí de rodillas y comencé a gritar, ya no de terror o miedo, sino de angustia. Pobrecillas, ya entenderán, siempre es igual: Ainitze encuentra la foto y cae de rodillas; Edurne se acerca y, al ver la foto, comienza a cavar con sus manos una de las tumbas, e Izaskun permanece quieta, temblando, y mirando hacia ninguna parte.

Traduction temporaire :
Je tombai à genoux et me mis à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, ça y est, elles vont comprendre. C'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, après avoir vu la photo, commence à creuser à mains nues l'une des tombes ; et Izaskun, elle, reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.

6 commentaires:

  1. Je tombai à genoux et commençai à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, elles vont comprendre maintenant, c'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, voyant la photo, commence à creuser de ses mains ["à mains nues ?"] l'une des tombes, et Izaskun reste immobile, à trembler et à regarder ["les yeux" ?] dans le vide.

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  2. Je tombai à genoux et me mis à hurler, ce n'était plus de la terreur ou de la peur, non, mais de l'angoisse. Pauvre petites, elles auront compris, toujours le même résultat : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, en voyant la photo, commence à creuser une des tombes ; et Izaskun reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.

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  3. Je tombai à genoux et me mis à hurler,
    OK

    non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse.
    OK

    Pauvres petites,
    OK
    (attention à la relecture, Élise)

    « ça y est, elles vont comprendre » ?

    c'est toujours la même chose
    OK… je m'interroge juste sur la ponctuation avant

    Ainitze trouve la photo et tombe à genoux
    OK

    Edurne s'approche et, voyant [ou « après avoir » ?] la photo, commence à creuser de ses mains ["à mains nues ?" OUI] l'une des tombes

    ; [oui, Élise, pour le point-virgule…] et Izaskun [cheville : « , elle, »] reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.

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  4. Je tombai à genoux et me mis à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, ça y est, elles vont comprendre. C'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux Edurne s'approche et, après avoir vu la photo, commence à creuser à mains nues l'une des tombes ; et Izaskun, elle, reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.

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  5. J'ai hésité entre le point virgule et le point, mais ça faisait trop de points virgules, alors j'ai opté pour le point :

    Je tombai à genoux et me mis à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, ça y est, elles vont comprendre. C'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, après avoir vu la photo, commence à creuser à mains nues l'une des tombes ; et Izaskun, elle, reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.

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  6. Je tombai à genoux et me mis à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, ça y est, elles vont comprendre. C'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, après avoir vu la photo, commence à creuser à mains nues l'une des tombes ; et Izaskun, elle, reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.

    OK.

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