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mercredi 13 novembre 2013

Projet Céline / Sonita 4 – phrase 16

Revisando universidades españolas y latinoamericanas –puesto que nunca pasó por mi cabeza la idea de abandonar las murallas que contienen a la gran nación hispanohablante– me vi tentado a probar suerte en España y Colombia, países que deseché por seguir un antiguo prurito gestáltico del que, para mi infortunio, nunca pude desprenderme.

Traduction temporaire :
En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – puisque que l’idée d’abandonner les murailles qui entourent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l’esprit – j’ai voulu tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai finalement écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

13 commentaires:

  1. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – étant donné que l’idée d’abandonner les murailles qui renferment la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l’esprit – j’ai eu envie de tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai écartés en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

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  2. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – étant donné que l’idée d’abandonner les murailles qui renferment [bof] la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l’esprit [ou « à l'idée » ?] – j’ai eu envie de [sûre de l'interprétation ? Sonita, qu'en penses-tu ?] tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai écartés [virgule ? J'hésite…] en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

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  3. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – étant donné[on a "étant" dans la phrase précédente ; "puisque" ?] que l’idée d’abandonner les murailles qui comprennent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l'idée – j’ai été séduit de [j'aurais traduit par "été tenté", mais le problème c'est le "tenter" qui suit, du coup, je propose "été séduit"] tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

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  4. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – étant donné[on a "étant" dans la phrase précédente ; "puisque" ? Oui ou « vu que » ; comme vous voulez… je trouve les deux bien…] que l’idée d’abandonner les murailles qui comprennent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l'idée – j’ai été séduit de [j'aurais traduit par "été tenté", mais le problème c'est le "tenter" qui suit, du coup, je propose "été séduit" / attends, je n'y comprends rien… Pour plus de clarté : reprends la phrase avec la version que tu préfères et on jugera…] tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

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  5. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – puisque que l’idée d’abandonner les murailles qui comprennent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l'idée – j’ai été séduit de tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

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  6. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – puisque que l’idée d’abandonner les murailles qui comprennent [« entourent » ?] la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l'idée – j’ai été séduit de tenter ma [voilà, c'est bien ce qu'il me semblait comprendre… Ça ne veut rien dire ;-)] chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

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  7. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – puisque que l’idée d’abandonner les murailles qui entourent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l'idée – j’ai été séduit par l'idée de tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

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  8. On a deux fois « idée », donc je remets mon « esprit ».

    En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – puisque que l’idée d’abandonner les murailles qui entourent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l’esprit – j’ai voulu tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

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  9. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – puisque que l’idée d’abandonner les murailles qui entourent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l’esprit – j’ai voulu tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai [es-ce qu'il ne manque pas une cheville argumentative ici, genre : « finalement » ? Qu'en pensez-vous ?] écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

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  10. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – puisque que l’idée d’abandonner les murailles qui entourent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l’esprit – j’ai voulu tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai finalement écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

    Oui, c’est plus logique avec le « finalement ».

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  11. n passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – puisque que l’idée d’abandonner les murailles qui entourent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l’esprit – j’ai voulu tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai finalement écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

    OK.

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  12. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – puisque que l’idée d’abandonner les murailles qui entourent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l’esprit – j’ai voulu tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai finalement écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

    OK.

    Sonita ?

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  13. En passant en revue les universités espagnoles et latino-américaines – puisque que l’idée d’abandonner les murailles qui entourent la grande nation hispanophone ne m’est jamais venue à l’esprit – j’ai voulu tenter ma chance en Espagne et en Colombie, des pays que j’ai finalement écartés, en obéissant à un vieux désir gestaltique dont je n’ai malheureusement jamais pu me défaire.

    OK.

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