El Río de la Plata, y esta es una imagen que jamás podré olvidar, se tornó un bloque compacto y macizo del color del tamarindo, lo que permitió de una vez por todas que los yoruguas, desde su orilla, dominaran país, dando rienda suelta a sus soterrados delirios colonialistas motivados por el tamaño de su nación1(acordé con la generalidad de su miembro viril).
Traduction temporaire :
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
1 Il est ridicule que ces misérables d'Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.
Le Río de la Plata – c’est une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin, ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer une fois pour toutes le pays, laissant libre cours à leurs délires colonialistes cachés, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
RépondreSupprimer1 No deja de ser ridículo que los únicos beneficiados por las debacles del calentamiento global hayan sido los miserables uruguayos. Nota de la transcriptora.
1 Il est ridicule que les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique aient été les misérables Uruguayens. Note de la transcriptrice.
Le Río de la Plata – c’est [nécessaire ?] une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin, [ou point-virgule ?] ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer une fois pour toutes [avance-le] le pays,
RépondreSupprimerlaissant libre cours à leurs délires colonialistes cachés, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis une fois pour toutes aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer le pays, laissant libre cours à leurs délires colonialistes cachés, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
RépondreSupprimer1 No deja de ser ridículo que los únicos beneficiados por las debacles del calentamiento global hayan sido los miserables uruguayos. Nota de la transcriptora.
1 Il est ridicule que les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique aient été les misérables Uruguayens. Note de la transcriptrice.
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer le pays une fois pour toutes
RépondreSupprimerlaissant libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
OK pour la version de Sonita :
RépondreSupprimerLe Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer le pays une fois pour toutes
Céline, qu'en penses-tu ?
laissant [qu'est-ce qui est le sujet de ça ?] libre cours à leurs délires colonialistes cachés [oui, pour « inavoués »], motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
1 Il est ridicule que les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique aient été les misérables Uruguayens [le mettre avant ? Essayez]. Note de la transcriptrice.
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer le pays une fois pour toutes et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
RépondreSupprimer1 Il est ridicule que les misérables Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive [ou après « une fois pour toutes » ? Essaie et dis-moi ce qui est mieux], de dominer le pays une fois pour toutes et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
RépondreSupprimer1 Il est ridicule que les misérables Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
RépondreSupprimer1 Il est ridicule que les misérables Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
RépondreSupprimer1 Il est ridicule que les misérables [ou « ces misérables de » ?] Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
RépondreSupprimer1 Il est ridicule que ces misérables d'Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
RépondreSupprimer1 Il est ridicule que ces misérables d'Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.
OK… Céline ?
J'attends pour mettre la suite.
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).
RépondreSupprimer1 Il est ridicule que ces misérables d'Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.
OK