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lundi 11 novembre 2013

Projet Chloé 2 – phrase 18

No es melancolía lo que siente, sino una vaga desorientación, como si no entendiera qué extraños recorridos la depositaron en ese comedor, en ese tiempo sin marca que no termina, que se encarniza desde hace una década, impiadoso, sin fin.

Traduction temporaire :
Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étranges parcours l'avaient conduite dans cette salle à manger, dans ce présent sans délimitation et qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci, ni but.

15 commentaires:

  1. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais plutôt une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étaient les étranges parcours qui l'avaient déposée dans cette salle à manger, dans ce présent sans marque qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci ni fin.

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  2. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais plutôt [nécessaire ? L'un ou l'autre, non ? Vois si on peut simplifier…] une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étaient [ou « par quels » ? Essaie et dis-moi ce que ça donne…] les étranges parcours qui l'avaient déposée dans cette salle à manger, dans ce présent sans marque qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci ni fin.

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  3. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas par quels étranges parcours l'avaient déposée dans cette salle à manger, dans ce présent sans marque qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci ni fin.

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  4. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas par [?] quels étranges parcours l'avaient déposée dans cette salle à manger, dans ce présent sans marque [clair ?] qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci ni fin.

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  5. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étranges parcours l'avaient déposée dans cette salle à manger, dans ce présent sans délimitation qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci ni fin.

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  6. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étranges parcours l'avaient déposée [« conduite » ?] dans cette salle à manger, dans ce présent sans délimitation [« et » ?] qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci [ponctuation nécessaire] ni fin.

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  7. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étranges parcours l'avaient conduite dans cette salle à manger, dans ce présent sans délimitation et qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci, ni fin.

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  8. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étranges parcours l'avaient conduite dans cette salle à manger, dans ce présent sans délimitation et qui ne finit pas [ou avec un adjectif ? Comme tu préfères], qui s'acharne depuis dix ans, sans merci, ni fin [FS / en voyant la répétition de « finit » + « fin », je m'en suis rendu compte…].

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  9. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étranges parcours l'avaient conduite dans cette salle à manger, dans ce présent sans délimitation et qui ne finit pas [je préfère avec le verbe], qui s'acharne depuis dix ans, sans merci, ni raison.

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  10. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étranges parcours l'avaient conduite dans cette salle à manger, dans ce présent sans délimitation et qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci, ni raison [ou est-ce dans le sens de « but » ? Vérifie avec un passage par le dico unilingue…].

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  11. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étranges parcours l'avaient conduite dans cette salle à manger, dans ce présent sans délimitation et qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci, ni but.[oui, c'est bien dans le sens de "but" en fait...].

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  12. Ce qu'elle ressent n'est pas de la mélancolie, mais une vague désorientation, comme si elle ne comprenait pas quels étranges parcours l'avaient conduite dans cette salle à manger, dans ce présent sans délimitation et qui ne finit pas, qui s'acharne depuis dix ans, sans merci, ni but.

    OK.

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  13. Un doute de dernière minute : « sans merci » ou « impitoyablement » ? Comme tu préfères… !

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  14. Heu...je laisse "sans merci" alors, ça va bien avec l'idée d'acharnement.

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