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vendredi 8 novembre 2013

Projet Elena 6 – phrases 193-201

Seguí hablando febrilmente, enredándome cada vez más:
-Mire. Vamos a ver: creo que nos estamos haciendo la competencia y eso sólo beneficia a la otra parte. Si nos pusiéramos de acuerdo para bajar los precios... ¿Qué le parece? Se hizo un silencio. Suspiré agotado.
Ella dijo:
-Me gusta tu voz.

Traduction temporaire :
Je continuai de parler fébrilement, en m’embrouillant de plus en plus :
— Voyons… je crois qu’on est en compétition et que cela bénéficie surtout à la concurrence. Si on se mettait d’accord pour baisser les prix… Qu’en pensez-vous ? Il y eut un silence. Je soupirai, épuisé.
Elle déclara :
— J’aime ta voix. *

9 commentaires:

  1. Je continuais de parler de manière fébrile, en m’embrouillant de plus en plus :
    —Voyons voir : Je crois qu’on se fait de la concurrence et que cela ne bénéficie que l’autre partie. Si on se mettait d’accord pour baisser les prix… Qu’en pensez-vous ?
    Il y eut un silence. Je soupirai épuisé. Elle déclara :
    — J’aime ta voix.
    *

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  2. Je continuais [temps / grammaire ?] de parler de manière fébrile [avec l'adverbe, ce sera plus simple…], en m’embrouillant de plus en plus :
    —[espace]Voyons voir [pas sûre que ce soit naturel en français] : [pas de deux points dans les dialogues] Je crois qu’on se fait de la [pas nécessaire / « de la »] concurrence et que cela ne bénéficie que l’autre partie [à partir de « cela… » ??????]. Si on se mettait d’accord pour baisser les prix… Qu’en pensez-vous ?
    Il y eut un silence. Je soupirai [virgule] épuisé. Elle déclara :
    — J’aime ta voix.
    *

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  3. Je continuai de parler fébrilement, en m’embrouillant de plus en plus :
    — Voyons, je crois qu’on se fait concurrence et que cela ne bénéficie que l’un de nous deux. Si on se mettait d’accord pour baisser les prix… Qu’en pensez-vous ?
    Il y eut un silence. Je soupirai, épuisé. Elle déclara :
    — J’aime ta voix.
    *

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  4. Je continuai de parler fébrilement, en m’embrouillant de plus en plus :
    — Voyons… je crois qu’on se fait concurrence et que cela ne bénéficie que l’un de nous deux [pas de sens]. Si on se mettait d’accord pour baisser les prix… Qu’en pensez-vous ?
    Il y eut un silence. Je soupirai, épuisé. Elle déclara :
    — J’aime ta voix.
    *

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  5. Je continuai de parler fébrilement, en m’embrouillant de plus en plus :
    — Voyons… je crois qu’on est en compétition et que cela bénéficie uniquement la concurrence. Si on se mettait d’accord pour baisser les prix… Qu’en pensez-vous ?
    Il y eut un silence. Je soupirai, épuisé. Elle déclara :
    — J’aime ta voix.
    *

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  6. Je continuai de parler fébrilement, en m’embrouillant de plus en plus :
    — Voyons… je crois qu’on est en compétition et que cela bénéficie uniquement [passe par « ne que »] la concurrence. Si on se mettait d’accord pour baisser les prix… Qu’en pensez-vous ?
    Il y eut un silence. Je soupirai, épuisé. Elle déclara :
    — J’aime ta voix.
    *

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  7. Je continuai de parler fébrilement, en m’embrouillant de plus en plus :
    — Voyons… je crois qu’on est en compétition et que cela ne bénéficie que la concurrence. Si on se mettait d’accord pour baisser les prix… Qu’en pensez-vous ?
    Il y eut un silence. Je soupirai, épuisé. Elle déclara :
    — J’aime ta voix.
    *

    Ou : "ne fait que bénéficier" ?

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  8. Je te propose :

    Je continuai de parler fébrilement, en m’embrouillant de plus en plus :
    — Voyons… je crois qu’on est en compétition et que cela bénéficie surtout à la concurrence. Si on se mettait d’accord pour baisser les prix… Qu’en pensez-vous ?
    Il y eut un silence. Je soupirai, épuisé. Elle déclara :
    — J’aime ta voix.
    *

    OK ?

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