Los monjes seguían rezando como de costumbre, con las manos metidas entre las bocamangas, las mentes ancladas en las letras menudas y las lenguas atadas a los cánticos dolorosos.
Traduction temporaire :
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues soumises aux cantiques douloureux.
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues soumises aux cantiques douloureux.
À leur habitude, les moines continuaient à prier ; les mains dans les manches, les lettres minuscules ancrées dans l'esprit, et les cantiques douloureux sur le bout de la langue.
RépondreSupprimerÀ leur habitude, les moines continuaient à [« de » ?] prier ; [pourquoi ce point-virgule ?] les mains dans les manches, les lettres minuscules ancrées dans l'esprit [pourquoi tu changes ?], et les cantiques douloureux sur le bout de la langue [idem ?].
RépondreSupprimerÀ leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules et les langues attachées aux cantiques douloureux.
RépondreSupprimerÀ leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules et les langues attachées [là, j'hésite…] aux cantiques douloureux.
RépondreSupprimerTon hésitation porte-t-elle sur le choix du verbe ou sur le fait de passer « les cantiques » en sujet ?
RépondreSupprimersur l'adjectif…
RépondreSupprimerÀ leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues liées aux cantiques douloureux.
RépondreSupprimerÀ leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues liées [regarde ce que dit l'unilingue à propos de « atado » / juste pour te donner des idées de synonymes] aux cantiques douloureux.
RépondreSupprimerJ'ai hésité entre « soumises », « astreintes » et « contraintes »…
RépondreSupprimerÀ leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues soumises aux cantiques douloureux.
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues soumises aux cantiques douloureux.
RépondreSupprimerOK.