Pages

dimanche 8 décembre 2013

Projet Chloé 2 – phrase 31

Cuando el sillón está cerrado, ella se ocupa de cubrirlo con pespuntes que teje en sus tiempos libres, por lo general, los fines de semana, cuando más sucumbe a la impresión de que la vida queda en otro lado, al que no la dejan entrar.

Traduction temporaire :
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général le week-end, c'est-à-dire quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

18 commentaires:

  1. Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote pendant son temps libre ; en général, le week-end, quand elle succombe plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  2. Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de [nécessaire] le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote pendant son temps libre ; [je crois qu'avec le point-virgule, ça introduit un CS. Relis bien tout pour t'assurer de qui avec avec quoi] en général, le week-end, quand elle succombe plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  3. Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de [qu'est-ce qui est nécessaire ?] le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote pendant son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  4. Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de [qu'est-ce qui est nécessaire ? / « s'occupe de »] le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote pendant son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  5. Lorsque le fauteuil est plié, elle [non, on peut l'enlever] le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote pendant son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  6. Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote pendant [ou « sur » ?] son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe plus [CS] à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  7. Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand de plus en plus elle succombe à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  8. Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand de plus en plus [CS] elle succombe à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  9. Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand de plus en plus [CS / C'est la valeur du "más" qui ne va pas ou je dois le changer de place dans la phrase ? ] elle succombe à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  10. Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand de plus en plus [CS / C'est la valeur du "más" qui ne va pas ou je dois le changer de place dans la phrase ? Oui, c'est « más » ; besoin d'aide ?] elle succombe à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  11. Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand de plus en plus [CS / C'est la valeur du "más" qui ne va pas ou je dois le changer de place dans la phrase ? Oui, c'est « más » ; besoin d'aide ?] elle succombe à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    OK... Oui, je veux bien un peu d'aide ; je n'arrive pas trop à saisir le sens.

    RépondreSupprimer
  12. C'est le week-end où elle a le plus cette impression…

    RépondreSupprimer
  13. C'est le week-end où elle a le plus cette impression…

    RépondreSupprimer
  14. Ah oui ! D'accord... Merci.

    Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  15. Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de [on a dit que c'était pas nécessaire ; reprends à chaque fois la précédente version] le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  16. Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    RépondreSupprimer
  17. Je te propose :

    Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général le week-end, c'est-à-dire quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    OK ?

    RépondreSupprimer
  18. Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général le week-end, c'est-à-dire quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.

    OK

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.