Pages

lundi 23 décembre 2013

Projet Émeline – phrases 58-62

—¿Una qué?- respondió su esposa arrugando el entrecejo.
— Hayaca, mi amor, el pastel de maíz que comiste hace años en Venezuela. 
— Llevamos prisa, Rubén, ¿no puedes esperar a esta noche?
— No. Mejor ahora.

Traduction temporaire :

— Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
— Une hayaca, mon amour, le pâté de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
— On est pressés, Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
— Non. Maintenant, c’est mieux.

6 commentaires:

  1. — Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
    — Une hayaca, mon amour, le gâteau de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années.
    — Nous sommes pressés, Ruben, tu ne peux pas attendre ce soir ?
    — Non. Maintenant, c’est mieux.

    RépondreSupprimer
  2. — Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils [ou : « , les sourcils froncés » ? Comme tu veux].
    — Une hayaca, mon amour, le gâteau de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années [cheville : « de cela » ou inutile ? Essaie…].
    — Nous sommes [ou avec « on » ?] pressés, Ruben [orthographe], tu ne peux pas attendre ce soir ?
    — Non. Maintenant, c’est mieux.

    RépondreSupprimer
  3. — Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
    — Une hayaca, mon amour, le gâteau de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
    — On est pressé, Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
    — Non. Maintenant, c’est mieux.

    RépondreSupprimer
  4. — Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
    — Une hayaca, mon amour, le gâteau [juste pour être sûre : tu es certaine qu'il s'agit bien d'un « gâteau » ? Vérifie ou confirme…] de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
    — On est pressé [ou « és » ? Vérifie], Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
    — Non. Maintenant, c’est mieux.

    RépondreSupprimer
  5. — Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
    — Une hayaca, mon amour, le pâté de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
    — On est pressés, Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
    — Non. Maintenant, c’est mieux.

    RépondreSupprimer
  6. — Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
    — Une hayaca, mon amour, le pâté de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
    — On est pressés, Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
    — Non. Maintenant, c’est mieux.

    OK.

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.