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samedi 1 mars 2014

Projet Joana – phrases 91-92

Pero después se convirtió en un reto. Hasta renuncié a las putas con las que todo está dicho. Ninguna pisó mi cuarto. Tampoco quería que su olor desapareciera, que era el de San Marcos, el de Lili.

Traduction temporaire :
Mais ensuite, cela tourna au défi. Je renonçai même aux putes, avec lesquelles tout est dit. Aucune n'entra plus dans ma chambre. Je ne voulais pas non plus que son odeur disparaisse, c'était celle de San Marcos, celle de Lili.

6 commentaires:

  1. Mais ensuite cela devint un défi. Je renonçai même aux putes avec lesquelles tout est dit. Aucune n'entra dans ma chambre. Je ne voulais pas non plus que son odeur disparaisse, c'était celle de San Marcos, celle de Lili.

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  2. Mais ensuite cela devint un défi. Je renonçai même aux putes [virgule] avec lesquelles tout est dit. Aucune n'entra [cheville : « plus » ou pas le sens ?] dans ma chambre. Je ne voulais pas non plus que son odeur disparaisse, c'était celle de San Marcos, celle de Lili.

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  3. Mais ensuite cela devint un défi. Je renonçai même aux putes, avec lesquelles tout est dit. Aucune n'entra plus dans ma chambre. Je ne voulais pas non plus que son odeur disparaisse, c'était celle de San Marcos, celle de Lili.

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  4. Mais ensuite [virgule] cela devint un [ou « tourna au » ? Comme tu veux] défi. Je renonçai même aux putes, avec lesquelles tout est dit. Aucune n'entra plus dans ma chambre. Je ne voulais pas non plus que son odeur disparaisse, c'était celle de San Marcos, celle de Lili.

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  5. Mais ensuite, cela tourna au défi. Je renonçai même aux putes, avec lesquelles tout est dit. Aucune n'entra plus dans ma chambre. Je ne voulais pas non plus que son odeur disparaisse, c'était celle de San Marcos, celle de Lili.

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  6. Mais ensuite, cela tourna au défi. Je renonçai même aux putes, avec lesquelles tout est dit. Aucune n'entra plus dans ma chambre. Je ne voulais pas non plus que son odeur disparaisse, c'était celle de San Marcos, celle de Lili.

    OK.

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