--La felicidad perfecta no existe –dijo mi madre-; y los M también tendrán sus cosas, como todas las familias.
--Yo creo que sí puede existir una familia completamente feliz. No la nuestra –dijo mi hermana con resignación-, pero otra, en algún lado.
--Sí, como los habitantes de otros planetas –dijo mi padre-: tan lejos que nunca los conoceremos.
Traduction temporaire :
— Le bonheur parfait n'existe pas, intervint ma mère, et les M doivent avoir leurs soucis, comme toutes les familles.
— Moi, je crois que oui, qu'une famille absolument heureuse, ça peut exister. Pas la nôtre, se lamenta ma sœur, mais une autre, quelque part.
— Oui, comme les habitants d'une autre planète, observa mon père, si lointaines qu'on ne les connaîtra jamais.
— Moi, je crois que oui, qu'une famille absolument heureuse, ça peut exister. Pas la nôtre, se lamenta ma sœur, mais une autre, quelque part.
— Oui, comme les habitants d'une autre planète, observa mon père, si lointaines qu'on ne les connaîtra jamais.
— Le bonheur parfait n'existe pas, déclara ma mère ; et les M doivent avoir leurs soucis, comme toutes les familles.
RépondreSupprimer— Je crois que oui, qu'une famille absolument heureuse, ça peut exister. Pas la nôtre, assura ma sœur avec résignation, mais une autre, quelque part.
— Oui, comme les habitants d'une autre planète, observa mon père; si lointaines qu'on ne les connaîtra jamais.
— Le bonheur parfait n'existe pas, déclara [« intervint »] ma mère ; [évite dans les dialogues] et les M doivent avoir leurs soucis, comme toutes les familles.
RépondreSupprimer— [le « yo » est important ici] Je crois que oui, qu'une famille absolument heureuse, ça peut exister. Pas la nôtre, assura [met le verbe adéquat, qui te permettra de supprimer avec « résignation »] ma sœur avec résignation, mais une autre, quelque part.
— Oui, comme les habitants d'une autre planète, observa mon père[espace]; si lointaines qu'on ne les connaîtra jamais.
— Le bonheur parfait n'existe pas, intervint ma mère, et les M doivent avoir leurs soucis, comme toutes les familles.
RépondreSupprimer— Moi, je crois que oui, qu'une famille absolument heureuse, ça peut exister. Pas la nôtre, s'y résigna ma sœur, mais une autre, quelque part.
— Oui, comme les habitants d'une autre planète, observa mon père, si lointaines qu'on ne les connaîtra jamais.
— Le bonheur parfait n'existe pas, intervint ma mère, et les M doivent avoir leurs soucis, comme toutes les familles.
RépondreSupprimer— Moi, je crois que oui, qu'une famille absolument heureuse, ça peut exister. Pas la nôtre, s'y résigna [non, un verbe quand tu dis quelque chose avec regret] ma sœur, mais une autre, quelque part.
— Oui, comme les habitants d'une autre planète, observa mon père, si lointaines qu'on ne les connaîtra jamais.
— Le bonheur parfait n'existe pas, intervint ma mère, et les M doivent avoir leurs soucis, comme toutes les familles.
RépondreSupprimer— Moi, je crois que oui, qu'une famille absolument heureuse, ça peut exister. Pas la nôtre, se lamenta ma sœur, mais une autre, quelque part.
— Oui, comme les habitants d'une autre planète, observa mon père, si lointaines qu'on ne les connaîtra jamais.
— Le bonheur parfait n'existe pas, intervint ma mère, et les M doivent avoir leurs soucis, comme toutes les familles.
RépondreSupprimer— Moi, je crois que oui, qu'une famille absolument heureuse, ça peut exister. Pas la nôtre, se lamenta ma sœur, mais une autre, quelque part.
— Oui, comme les habitants d'une autre planète, observa mon père, si lointaines qu'on ne les connaîtra jamais.
OK.