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dimanche 11 mai 2014

Projet Hélène 2 – phrases 38-40

Él, que siempre había sido digno y elegante y merecía despedirse de la vida del mismo modo honorable como llegó a ella. Los trámites de la muerte exceden siempre nuestra propia capacidad para el sufrimiento, pensaba, mientras las gestiones en el tanatorio me mantenían al margen de todo. Fue la única conclusión que decidí conservar conmigo al final del día.

Traduction temporaire :
Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y était entré, honorablement. Les démarches inhérentes à la mort dépassent toujours notre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres m'isolait de tout. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de retenir en cette fin de journée.

16 commentaires:


  1. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, et qui méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon, honorable, qu’il fit son entrée. L’administratif de la mort dépasse toujours notre propre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à la marge de tout le reste. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de garder pour moi à la fin de cette journée.

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  2. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, et qui méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon, honorable, qu’il fit son entrée.


    Cette phrase manque de clarté et / ou de fluidité. Reprends.

    L’administratif de la mort dépasse toujours notre propre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à la marge de tout le reste. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de garder pour moi à la fin de cette journée.

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  3. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il fit son entrée, c'est-à-dire honorablement. L’administratif de la mort dépasse toujours notre propre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à la marge de tout le reste. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de garder pour moi à la fin de cette journée.

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  4. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il fit [temps] son entrée, c'est-à-dire honorablement. L’administratif de [peu clair…] la mort dépasse toujours notre propre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à la marge de tout le reste. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de garder pour moi à la fin de cette journée.

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  5. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il avait fait son entrée, c'est-à-dire honorablement. La gestion administrative de la mort dépasse toujours notre propre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à la marge de tout le reste. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de garder pour moi à la fin de cette journée.

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  6. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il [« y » ou inutile ? Comme tu veux] avait fait son entrée, c'est-à-dire [nécessaire ?] honorablement. La gestion administrative [pas plutôt « les démarches » ?] de la mort dépasse toujours notre propre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à la marge de tout le reste. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de garder pour moi à la fin de cette journée.

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  7. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y avait fait son entrée, honorablement. Les démarches ["qui font suite à" : on explicite ?] la mort dépassent toujours notre propre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à la marge de tout le reste. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de garder pour moi à la fin de cette journée.

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  8. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y avait fait [ah zut, pas bien, les deux « faire » // trouve une solution] son entrée, honorablement. Les démarches ["qui font suite à" : on explicite ? « inhérentes»] la mort dépassent toujours notre propre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à la marge de tout le reste. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de garder pour moi à la fin de cette journée.

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  9. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y était entré, honorablement. Les démarches inhérentes à la mort dépassent toujours notre propre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à la marge de tout le reste. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de garder pour moi à la fin de cette journée.

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  10. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y était entré, honorablement. Les démarches inhérentes à la mort dépassent toujours notre propre [nécessaire ?] capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à la marge de tout le reste [naturel ?]. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de garder pour moi à la fin de cette journée [est-ce que cela signifie qu'il en a d'autres qu'il n'a pas gardées pour lui ? Un peu bizarre…].

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  11. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y était entré, honorablement. Les démarches inhérentes à la mort dépassent toujours notre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait à l’écart. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de retenir en cette fin de journée.

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  12. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y était entré, honorablement. Les démarches inhérentes à la mort dépassent toujours notre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait [« retenait » ?] à l’écart. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de retenir en cette fin de journée.

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  13. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y était entré, honorablement. Les démarches inhérentes à la mort dépassent toujours notre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait [« retenait » ? On aurait une répétition avec le verbe de la phrase suivante.] à l’écart. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de retenir en cette fin de journée.

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  14. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y était entré, honorablement. Les démarches inhérentes à la mort dépassent toujours notre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres me tenait [« retenait » ? On aurait une répétition avec le verbe de la phrase suivante.] à l’écart. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de retenir en cette fin de journée.

    C'est vrai… mais du coup, tu soulèves un lièvre : on avait déjà une répét… avec tenait et retenir. Il faut que tu trouves une solution ;-)

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  15. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y était entré, honorablement. Les démarches inhérentes à la mort dépassent toujours notre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres m'isolait de tout. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de retenir en cette fin de journée.

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  16. Lui, qui avait toujours été digne et élégant, méritait de faire ses adieux à la vie de la même façon qu’il y était entré, honorablement. Les démarches inhérentes à la mort dépassent toujours notre capacité à souffrir, pensais-je, tandis que la paperasse des pompes funèbres m'isolait de tout. Ce fut l’unique conclusion que je décidai de retenir en cette fin de journée.

    OK.

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