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mercredi 11 juin 2014

Projet Sonita 15 – phrase 5

Siempre dejaba mi bicicleta a la que quería como si fuera parte de mi cuerpo cuando volaba como con alas sobre sus dos simples ruedas, en el palier del edificio.

Traduction temporaire :
Je laissais toujours mon vélo dans l'entrée de l'immeuble ; je l'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues pourtant ordinaires.

20 commentaires:

  1. Je laissais toujours mon vélo ,que j'aimais comme s'il était un membre à part entière de mon corps lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux simples roues, dans le palier de l'immeuble.

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  2. Rétablis tes espaces

    Je laissais toujours mon vélo ,que j'aimais comme s'il était un membre à part entière de mon corps lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux simples roues, dans le palier de l'immeuble.

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  3. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais comme s'il était un membre à part entière de mon corps lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux simples roues, dans le palier de l'immeuble.

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  4. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais comme s'il était un membre à part entière de mon corps lorsqu'il volait comme [ça m'ennuie ces deux « comme »] s'il était pourvu d'ailes sur ses deux simples roues, dans le palier de l'immeuble.

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  5. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point de le considérer un membre à part entière de mon corps lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux simples roues, dans le palier de l'immeuble.

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  6. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point de le considérer un membre [ça n'est pas correct ; soit tu remets le « comme » ici, soit tu changes vraiment] à part entière de mon corps lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux simples roues, dans le palier de l'immeuble.

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  7. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point de sentir que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux simples roues, dans le palier de l'immeuble.

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  8. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point de sentir [« d'avoir l'impression »] que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux simples roues, dans le palier de l'immeuble.

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  9. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux simples roues, dans le palier de l'immeuble.

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  10. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul [pas besoin] lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux simples [nécessaire ? Ça fait bizarre… ou alors vois si tu as autre chose ; peut-être avec « ordinaires »] roues, dans [?] le palier de l'immeuble.

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  11. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul [pas besoin] lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues, sur le palier de l'immeuble.

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  12. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul [pas besoin // tu ne tiens pas compte de ce commentaire précédent ? Attention de ne pas recommencer à travailler trop vite. Là, on perd un tour, par exemple ; donc du temps] lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues, sur le palier de l'immeuble.

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  13. Oui, tu as raison. Désolée...

    Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues, sur le palier de l'immeuble.

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  14. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues, sur [ah zut, embêtant, ces deux « sur » ; vois si tu trouves un synonyme ou si tu changes la syntaxe] le palier de l'immeuble.

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  15. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues, sur [ah zut, embêtant, ces deux « sur » ; vois si tu trouves un synonyme ou si tu changes la syntaxe] le palier de l'immeuble.

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  16. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues, dans l'entrée de l'immeuble.

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  17. Je laissais toujours mon vélo, que j'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues, dans l'entrée de l'immeuble [avance-le].

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  18. Je laissais toujours, dans l'entrée de l'immeuble, mon vélo, que j'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues.

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  19. Je te propose :

    Je laissais toujours mon vélo dans l'entrée de l'immeuble ; je l'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues pourtant ordinaires.

    OK ?

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  20. OK.

    Je laissais toujours mon vélo dans l'entrée de l'immeuble ; je l'aimais au point d'avoir l'impression que nous ne faisions qu'un seul lorsqu'il volait comme s'il était pourvu d'ailes sur ses deux roues pourtant ordinaires.

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