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lundi 17 novembre 2014

Projet Victor 2 – phrases 50-51

De súbito acudió a la mente de Urashima la idea de que el Palacio del Dragón, allende los mares, con sus muros de coral y su fruta de rubíes, y sus dragones con colas de oro, había de ser parte del país de las hadas, donde un día es más largo que un año en este mundo, y que sus tres años en compañía de la princesa, habían sido cuatrocientos. De nada le valía, pues, permanecer ya en su tierra, donde todos sus parientes y amigos habían muerto, y donde hasta su propia aldea había desaparecido.

Traduction temporaire :
Soudain, il vint à l’esprit de Urashima que, situé au-delà des mers, le Palais du Dragon, avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons à la queue d'or, devait appartenir au pays des fées. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur ses terres, où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.  

10 commentaires:

  1. Soudain, il vint à l’esprit de Urashima l’idée que le Palais du Dragon, au-delà des mers, avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons aux queues d’or, devait appartenir au pays des fées. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur sa terre, où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.

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  2. Soudain, il vint à l’esprit de Urashima l’idée que [pas une solution plus « légère » ?] le Palais du Dragon, au-delà des mers, avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons aux queues [ou au singulier ?] d’or, devait appartenir au pays des fées. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé [grammaire ? Vérifiez…] quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur sa terre [pluriel ?], où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.

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  3. Soudain, il vint à l’esprit de Urashima que le Palais du Dragon, au-delà des mers, avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons à la queue d'or, devait appartenir au pays des fées. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur ses terres, où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.

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  4. Soudain, il vint à l’esprit de Urashima que le Palais du Dragon, au-delà des mers, avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons à la queue d'or, devait appartenir au pays des fées [ou « qu'avec ses…………, le Palais…………… » ? Essayez et voyez ce qui est mieux]. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur ses terres, où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.

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  5. Soudain, il vint à l’esprit de Urashima que le Palais du Dragon, au-delà des mers, avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons à la queue d'or, devait appartenir au pays des fées. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur ses terres, où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.

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  6. Soudain, il vint à l’esprit de Urashima que le Palais du Dragon, [manque quelque chose ici. Un adjectif ?] au-delà des mers, avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons à la queue d'or, devait appartenir au pays des fées. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur ses terres, où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.

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  7. Soudain, il vint à l’esprit de Urashima que le Palais du Dragon, situé au-delà des mers, avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons à la queue d'or, devait appartenir au pays des fées. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur ses terres, où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.

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  8. Soudain, il vint à l’esprit de Urashima que le Palais du Dragon, situé au-delà des mers [ou entre virgule après « que » ? Essayez…], avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons à la queue d'or, devait appartenir au pays des fées. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur ses terres, où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.

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  9. Soudain, il vint à l’esprit de Urashima que, situé au-delà des mers, le Palais du Dragon, avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons à la queue d'or, devait appartenir au pays des fées. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur ses terres, où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.

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  10. Soudain, il vint à l’esprit de Urashima que, situé au-delà des mers, le Palais du Dragon, avec ses murs de corail, ses fruits de rubis et ses dragons à la queue d'or, devait appartenir au pays des fées. Un jour y était plus long qu’une année dans ce monde, et en trois ans passés en compagnie de la princesse, il s’en était en fait écoulé quatre-cents. Il n’avait par conséquent aucun intérêt à rester sur ses terres, où tous ses parents et amis étaient morts, et où même son propre village avait disparu.

    OK.

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