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jeudi 29 janvier 2015

Projet Déborah / Julie – phrases 27-35

Toda una vida. La que nos tocó vivir. Y volvemos al principio. A donde debimos volver mucho antes. De donde nunca hubiésemos querido partir. Éramos tan jóvenes. Ahora tan viejos. Pero no importa, hemos regresado. Eran aquellos tiempos quizás los últimos. El comienzo del fin.

Traduction temporaire :
Toute une vie. Celle qu'il nous incomba de vivre. Et nous retournons au début. Où nous avons dû revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

16 commentaires:

  1. Toute une vie. Celle que nous devions vivre. Et nous revenons au début. Où nous devions retourner bien avant. D'où nous n'avions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes rentrés. Ces temps-là étaient peut-être les derniers. Le début de la fin.

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  2. Toute une vie. Celle que nous devions [pas plus près de la V.O. si on passe par « incomber » ?] vivre. Et nous revenons [ou « retourner » ici et « revenir » après ? J'hésite…] au début. Où nous devions retourner bien avant. D'où nous n'avions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes rentrés [« de retour » ?]. Ces temps-là [naturel ?] étaient peut-être les derniers. Le début de la fin.

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  3. Toute une vie. Celle que nous incombions vivre. Et nous retournons au début. Où nous devions revenir bien avant. D'où nous n'avions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

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  4. Toute une vie. Celle que nous incombions vivre [incorrect]. Et nous retournons au début. Où nous devions [temps] revenir bien avant. D'où nous n'avions jamais voulu [temps ?] partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

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  5. Toute une vie. Celle qu'on nous incomba de vivre. Et nous retournons au début. Où nous dûmes revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

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  6. Toute une vie. Celle qu'on nous [incorrect] incomba de vivre. Et nous retournons au début. Où nous dûmes [temps] revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

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  7. Toute une vie. Celle qu'on incomba de vivre. Et nous retournons au début. Où nous avons dû revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

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  8. Toute une vie. Celle qu'on incomba [incorrect ; je pense qu'il est temps d'ouvrir le Grevisse ou un quelconque ouvrage susceptible de vous indiquer commence ce verbe se construit] de vivre. Et nous retournons au début. Où nous avons dû revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

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  9. Toute une vie. Celle qu'il incomba à vivre. Et nous retournons au début. Où nous avons dû revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

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  10. Toute une vie. Celle qu'il [manque quelque chose ici] incomba à vivre. Et nous retournons au début. Où nous avons dû revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

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  11. Julie et Déborah3 février 2015 à 14:11

    Toute une vie. Celle qu'il nous incomba à vivre. Et nous retournons au début. Où nous avons dû revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

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  12. Après vérification, vous n'avez pas mis cette solution avant.

    Toute une vie. Celle qu'il nous incomba à [« à » ne va pas] vivre. Et nous retournons au début. Où nous avons dû revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

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  13. Toute une vie. Celle qu'il nous incomba de vivre. Et nous retournons au début. Où nous avons dû revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

    oui, on n'avait pas mis le "il" avant en effet, mais le "nous" oui et on avait compris qu'il était faux quand vous aviez écrit "incorrect" juste après. En ce qui concerne la préposition, on avait changé pour "à" car on a trouvé que ce verbe ce construisait avec cette préposition.

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  14. Toute une vie. Celle qu'il nous incomba de vivre. Et nous retournons au début. Où nous avons dû revenir bien avant. D'où nous n'aurions jamais voulu partir. Nous étions si jeunes. Aujourd'hui, si vieux. Mais cela n'a pas d'importance, nous sommes de retour. Cette époque-là était peut-être la dernière. Le début de la fin.

    OK.

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