–Eso te pasa por burra –dice él–. Sólo las burras creen que eso es comida de verdad –y señala los platos y cucharas y vasos de plástico tendidos en la tierra.
–Arruinaste la comida –llora la niña–. Yo te iba a invitar.
–Burra, súper burra.
–Julio malo –llora la niña–. Julio cara de poto.
Traduction temporaire :
— Cela t’arrive parce que tu es une bourrique, dit il.
Il n'y a que les bourriques pour croire que ça, c'est de la vraie nourriture.
ll désigne les assiettes, les cuillères et les verres en plastique sur le sol.
— Tu as gâché le repas, pleure-t-elle. J'allais t'inviter.
— Bourrique, grosse bourrique.
— Méchant Julio, sanglote l'enfant. Julio tête de nabot.
Il n'y a que les bourriques pour croire que ça, c'est de la vraie nourriture.
ll désigne les assiettes, les cuillères et les verres en plastique sur le sol.
— Tu as gâché le repas, pleure-t-elle. J'allais t'inviter.
— Bourrique, grosse bourrique.
— Méchant Julio, sanglote l'enfant. Julio tête de nabot.
– C'est parce que tu es une bourrique –dit il–.
RépondreSupprimerIl n'y a que les bourriques pour croire que ça, c'est de la vraie nourriture – et il montre du doigt les assiettes, les cuillères et les verres en plastique étendus sur le sol.
– Tu as gaché le repas –pleure-t-elle–. J'allais t'inviter.
– Bourrique, sacrée bourrique.
– Méchant Julio –pleure l'enfant–. Julio tête de cul.
Je ne vois pas très bien, est-ce que le "ça" est en italique? Sinon je suis Ok, mais ne faut-il pas garder la rime sur la dernière phrase "malo/poto" ? ou c'est trop risqué de changer le sens? J'avais pensé à:
RépondreSupprimer– Méchant Julio –pleure l'enfant–. Julio tête de cabot/ Julio le nabot.
Je vous laisse vous mettre d'accord sur une version commune. Comme je vous l'ai dit, ça me prendrait trop de temps d'évaluer deux solutions.
RépondreSupprimer– C'est parce que tu es une bourrique –dit il–.
RépondreSupprimerIl n'y a que les bourriques pour croire que ça, (je n’arrive pas à le remettre en italique...), c'est de la vraie nourriture – et il montre du doigt les assiettes, les cuillères et les verres en plastique étendus sur le sol.
– Tu as gaché le repas –pleure-t-elle–. J'allais t'inviter.
– Bourrique, sacrée bourrique.
– Méchant Julio –pleure l'enfant–. Julio tête de nabot.
– [les tirets les plus longs pour les dialogues : —] C'est parce que tu es une bourrique –[virgule]dit il–[supprimez le tiret // mettez-vous bien au point sur ces questions de typo, qu'on se débarrasse tout de suite de ce qu'il ne faut pas faire]. Il n'y a que les bourriques pour croire que ça, (je n’arrive pas à le remettre en italique... [oui, oui, impossible dans les commentaires // je l'ajouterai au moment du copier-coller]), c'est [vous en avez déjà un avant ; souvenez-vous de ce que j'ai dit en cours à propos de ce « tic » de traduction] de la vraie nourriture
RépondreSupprimerReprenez déjà ça… On y verra plus clair.
– et il montre du doigt les assiettes, les cuillères et les verres en plastique étendus sur le sol.
– Tu as gaché le repas –pleure-t-elle–. J'allais t'inviter.
– Bourrique, sacrée bourrique.
– Méchant Julio –pleure l'enfant–. Julio tête de nabot.
Ok
RépondreSupprimer—Tu es une bourrique, dit il.
RépondreSupprimerIl n'y a que les bourriques pour croire que ça, c'est de la vraie nourriture – et il montre du doigt les assiettes, les cuillères et les verres en plastique étendus sur le sol.
— Tu as gâché le repas, pleure-t-elle. J'allais t'inviter.
— Bourrique, sacrée bourrique.
— Méchant Julio, pleure l'enfant. Julio tête de nabot.
D’accord avec ce que propose Johanna.
RépondreSupprimerD'accord avec Eléonore qui est d'accord avec moi ;)
RépondreSupprimer—[espace]Tu es une bourrique, dit il. [qd même juste un petit doute // pas ennuyeux qu'on ne traduise pas « Eso te pasa » ? En fait, ça dépend de l'enchaînement avec la phrase d'avant… Vérifiez que c'est suffisant]
RépondreSupprimerIl n'y a que les bourriques pour croire que ça, c'est de la vraie nourriture – [point] et il montre [ou avec « désigne » ? Comme vous voulez…] du doigt les assiettes, les cuillères et les verres en plastique étendus [mal dit] sur le sol.
— Tu as gâché le repas, pleure-t-elle. J'allais t'inviter.
— Bourrique, sacrée [« grosse » ?] bourrique.
— Méchant Julio, pleure [un synonyme] l'enfant. Julio tête de nabot.
Je rajoute la phrase précédente :
RépondreSupprimer(— Julio, qu'est ce que t'as fait ! se plaint-elle.)
— Cela t’arrive parce que tu es une bourrique, dit il.
Il n'y a que les bourriques pour croire que ça, c'est de la vraie nourriture. ll désigne les assiettes, les cuillères et les verres en plastique dispersés sur le sol.
— Tu as gâché le repas, pleure-t-elle. J'allais t'inviter.
RépondreSupprimer— Bourrique, grosse bourrique.
— Méchant Julio, pleurniche l'enfant. Julio tête de nabot.
OK… je vois la phrase d'avant. Maintenant, remettez les deux morceaux du fragment en cours dans un seul et même commentaire.
RépondreSupprimer— Cela t’arrive parce que tu es une bourrique, dit il.
RépondreSupprimerIl n'y a que les bourriques pour croire que ça, c'est de la vraie nourriture. ll désigne les assiettes, les cuillères et les verres en plastique dispersés sur le sol.
— Tu as gâché le repas, pleure-t-elle. J'allais t'inviter.
— Bourrique, grosse bourrique.
— Méchant Julio, pleurniche l'enfant. Julio tête de nabot.
— Cela t’arrive parce que tu es une bourrique, dit il.
RépondreSupprimerIl n'y a que les bourriques pour croire que ça, c'est de la vraie nourriture.
ll désigne les assiettes, les cuillères et les verres en plastique dispersés [nécessaire ?] sur le sol.
— Tu as gâché le repas, pleure-t-elle. J'allais t'inviter.
— Bourrique, grosse bourrique.
— Méchant Julio, pleurniche [« sanglote » ?] l'enfant. Julio tête de nabot.
— Cela t’arrive parce que tu es une bourrique, dit il.
RépondreSupprimerIl n'y a que les bourriques pour croire que ça, c'est de la vraie nourriture.
ll désigne les assiettes, les cuillères et les verres en plastique sur le sol.
— Tu as gâché le repas, pleure-t-elle. J'allais t'inviter.
— Bourrique, grosse bourrique.
— Méchant Julio, sanglote l'enfant. Julio tête de nabot.
— Cela t’arrive parce que tu es une bourrique, dit il.
RépondreSupprimerIl n'y a que les bourriques pour croire que ça, c'est de la vraie nourriture.
ll désigne les assiettes, les cuillères et les verres en plastique sur le sol.
— Tu as gâché le repas, pleure-t-elle. J'allais t'inviter.
— Bourrique, grosse bourrique.
— Méchant Julio, sanglote l'enfant. Julio tête de nabot.
OK.
Johanna ?
ok
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