Los médicos llegan, hablan, no ha sido un error, hay que operar ahora mismo la otra pierna, la enferma, mejor dicho, la otra también, porque las dos realmente no estaban sanas. Pero, doctor, acá vinimos por la pierna enferma y no para que le corten la sana. Señor, señorita, entiendan, las dos piernas estaban enfermas, su padre tiene diabetes y por las señales de la otra pierna, tarde o temprano se la iban a cortar también, usted sabe que la diabetes... Una palabra detrás de otra, y siguen hilvanando motivos, razones, sinrazones.
Traduction temporaire :
Les médecins arrivent, parlent : ce n'est pas une erreur, et d'ailleurs il faut opérer immédiatement l'autre jambe, celle qui est malade, ou plus exactement, l'autre aussi, parce qu'en réalité, les deux étaient atteintes. Mais, docteur, nous sommes venus ici pour la jambe malade et pas pour que vous coupiez celle qui était saine. Monsieur, mademoiselle, vous devez comprendre, les deux jambes étaient malades, votre père souffre de diabète et vu les marques sur l'autre jambe, tôt ou tard on la lui aurait coupée aussi. Vous savez que le diabète… Un mot après l'autre, et ils continuent à bâtir des arguments, des raisonnements, des non-sens.
9 commentaires:
Les médecins arrivent, ils parlent, ce n'est pas une erreur : il faut opérer tout de suite l'autre jambe, celle qui est malade, ou plus exactement, l'autre aussi, parce qu'en réalité les deux étaient atteintes. Mais, docteur, nous sommes venus ici pour la jambe malade et pas pour que vous coupiez celle qui est saine. Monsieur, mademoiselle, vous devez comprendre, les deux jambes étaient malades, votre père souffre de diabète et vu les marques sur l'autre jambe, tôt ou tard on la [?] lui aurait coupée aussi, vous savez que le diabète … Un mot après l'autre, et ils continuent à ourdir des arguments, des raisons, et des incohérences [? je sèche là...]
Les médecins arrivent, ils [nécessaire ?] parlent, [les deux points ici ?] ce n'est pas une erreur : il faut opérer tout de suite [un moyen d'économiser le « tout » ?] l'autre jambe, celle qui est malade, ou plus exactement, l'autre aussi, parce qu'en réalité [virgule] les deux étaient atteintes. Mais, docteur, nous sommes venus ici pour la jambe malade et pas pour que vous coupiez celle qui est [passé, du coup ?] saine. Monsieur, mademoiselle, vous devez comprendre, les deux jambes étaient malades, votre père souffre de diabète et vu les marques sur l'autre jambe, tôt ou tard on la [? Hélène ?] lui aurait coupée aussi, [point ?] vous savez que le diabète [supprime l'espace ici]… Un mot après l'autre, et ils continuent à ourdir [je ne crois pas qu'on l'emploie dans ce sens] des arguments, des raisons, et des incohérences [? je sèche là... Hélène ?]
Les médecins arrivent, parlent : ce n'est pas une erreur, il faut opérer immédiatement l'autre jambe, celle qui est malade, ou plus exactement, l'autre aussi, parce qu'en réalité, les deux étaient atteintes. Mais, docteur, nous sommes venus ici pour la jambe malade et pas pour que vous coupiez celle qui était saine. Monsieur, mademoiselle, vous devez comprendre, les deux jambes étaient malades, votre père souffre de diabète et vu les marques sur l'autre jambe, tôt ou tard on la [? Hélène ?] lui aurait coupée aussi, [point ?] vous savez que le diabète… Un mot après l'autre, et ils continuent à ourdir [je ne crois pas qu'on l'emploie dans ce sens] des arguments, des raisons, et des incohérences [? je sèche là... Hélène?]
Hélène, j'attends ton avis sur les questions en suspens // je commenterai après.
Les médecins arrivent, parlent : ce n'est pas une erreur, il faut opérer immédiatement l'autre jambe, celle qui est malade, ou plus exactement, l'autre aussi, parce qu'en réalité, les deux étaient atteintes. Mais, docteur, nous sommes venus ici pour la jambe malade et pas pour que vous coupiez celle qui était saine. Monsieur, mademoiselle, vous devez comprendre, les deux jambes étaient malades, votre père souffre de diabète et vu les marques sur l'autre jambe, tôt ou tard on la lui aurait coupée aussi. Vous savez que le diabète… Un mot après l'autre, et ils continuent à bâtir des arguments, des raisonnements, des non-sens.
Les médecins arrivent, parlent : ce n'est pas une erreur, [« et d'ailleurs » ? Je vous laisse voir… mais ça me semble plus clair] il faut opérer immédiatement l'autre jambe, celle qui est malade, ou plus exactement, l'autre aussi, parce qu'en réalité, les deux étaient atteintes. Mais, docteur, nous sommes venus ici pour la jambe malade et pas pour que vous coupiez celle qui était saine. Monsieur, mademoiselle, vous devez comprendre, les deux jambes étaient malades, votre père souffre de diabète et vu les marques sur l'autre jambe, tôt ou tard on la lui aurait coupée aussi. Vous savez que le diabète… Un mot après l'autre, et ils continuent à bâtir des arguments, des raisonnements, des non-sens.
Les médecins arrivent, parlent : ce n'est pas une erreur, et d'ailleurs il faut opérer immédiatement l'autre jambe, celle qui est malade, ou plus exactement, l'autre aussi, parce qu'en réalité, les deux étaient atteintes. Mais, docteur, nous sommes venus ici pour la jambe malade et pas pour que vous coupiez celle qui était saine. Monsieur, mademoiselle, vous devez comprendre, les deux jambes étaient malades, votre père souffre de diabète et vu les marques sur l'autre jambe, tôt ou tard on la lui aurait coupée aussi. Vous savez que le diabète… Un mot après l'autre, et ils continuent à bâtir des arguments, des raisonnements, des non-sens.
Les médecins arrivent, parlent : ce n'est pas une erreur, et d'ailleurs il faut opérer immédiatement l'autre jambe, celle qui est malade, ou plus exactement, l'autre aussi, parce qu'en réalité, les deux étaient atteintes. Mais, docteur, nous sommes venus ici pour la jambe malade et pas pour que vous coupiez celle qui était saine. Monsieur, mademoiselle, vous devez comprendre, les deux jambes étaient malades, votre père souffre de diabète et vu les marques sur l'autre jambe, tôt ou tard on la lui aurait coupée aussi. Vous savez que le diabète… Un mot après l'autre, et ils continuent à bâtir des arguments, des raisonnements, des non-sens.
OK.
Hélène ?
Les médecins arrivent, parlent : ce n'est pas une erreur, et d'ailleurs il faut opérer immédiatement l'autre jambe, celle qui est malade, ou plus exactement, l'autre aussi, parce qu'en réalité, les deux étaient atteintes. Mais, docteur, nous sommes venus ici pour la jambe malade et pas pour que vous coupiez celle qui était saine. Monsieur, mademoiselle, vous devez comprendre, les deux jambes étaient malades, votre père souffre de diabète et vu les marques sur l'autre jambe, tôt ou tard on la lui aurait coupée aussi. Vous savez que le diabète… Un mot après l'autre, et ils continuent à bâtir des arguments, des raisonnements, des non-sens.
OK.
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