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lundi 12 janvier 2015

Projet Justine / Coralie – phrases 67-74

Como Dios manda, asere, había de to, jevita, humo, carne, to el mundo estaba viviendo, hasta un choo de eso de jevita y pato, to el mundo sin ropa. Riquísimo to.
¿Y cómo saben que fue un lenguazo?
Claro asere, ese fue el chamita ese nuevo que cayó de descanso la semana pasada y él es, un punto y seguro se aflojó.
Los estaban orillando, asere.
La cosa está añil allá afuera. Hay azules por tos lao.
¿Y te encontraron algo?

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
— Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : de la nana, de l'herbe, de la chair, tout le monde en profitait, même un de ces cholos à voile et à vapeur, tout le monde à poil. Super génial !
— Qu'est-ce qui nous dit que c'est à cause d'un mouchard ?
— C'est évident, mon pote, c'est ce mec, là, le nouveau qui a pris quelques jours de congé la semaine dernière. C'est lui, c'est sûr.
— Ils le lâchaient pas, mon pote.

— Le problème, c'est la vague d'indigo, là, dehors. Il y a des uniformes bleus partout.
— Ils ont trouvé quelque chose sur toi ?

24 commentaires:

  1. — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : une jeune fille, de la fumée, de la viande, tout le monde était vivant, même un de ces cholos à voile et à vapeur, tous nus. Très riche en émotions.
    — Et comment sait-on que c'est à cause d'un mouchard ?
    — C'est évident, mon pote, c'est ce mec, le nouveau qui est tombé la semaine dernière. C'est lui, c'est sûr, révéla-t-il.
    — Ils étaient en train de longer la côte, mon pote.
    — Le problème, c'est l'indigo, là, dehors. Il y a des bleus partout.
    — Ils ont trouvé quelque chose sur toi ?

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  2. — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : une jeune fille [registre], de la fumée, de la viande, tout le monde était vivant [le sens ?], même un de ces cholos à voile et à vapeur, tous nus [registre ?]. Très riche en émotions [pas ce qu'il dit, à mon avis + un pb de ton].

    Faisons déjà ça.

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  3. — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : une nana, de la fumée, de la viande, tout le monde vivait en harmonie, même un de ces cholos à voile et à vapeur, tous à poil. Super géniale comme expérience.

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  4. — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : une nana, de la fumée, de la viande [sens littéral ou figuré ?], tout le monde vivait en harmonie [registre], même un de ces cholos à voile et à vapeur, tous à poil. Super géniale comme expérience [pourquoi cet ajout ?].

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  5. J'ai aussi hésité pour « carne »

    — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : une nana, de la fumée, de la chair, tout le monde vivait ensemble, même un de ces cholos à voile et à vapeur, tous à poil. Super génial !

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  6. Oui, mais est-ce naturel, ainsi formulé ? Demande quand même son avis à Elena pour l'interprétation.

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  7. Après concertation avec Elena que je remercie :

    — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : une nana, de l'herbe, de la chair, tout le monde en profitait, même un de ces cholos à voile et à vapeur, tous à poil. Super génial !

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  8. — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : une nana, de l'herbe, de la chair, tout le monde en profitait, même un de ces cholos à voile et à vapeur, tous à [comme ça a l'air d'être son expression, ce « to el mundo », répète] poil. Super génial !

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  9. — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : une nana, de l'herbe, de la chair, tout le monde en profitait, même un de ces cholos à voile et à vapeur, tout le monde à poil. Super génial !

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  10. — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : une nana [« une » ou « de la » ?], de l'herbe, de la chair, tout le monde en profitait, même un de ces cholos à voile et à vapeur, tout le monde à poil. Super génial !

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  11. — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : de la nana, de l'herbe, de la chair, tout le monde en profitait, même un de ces cholos à voile et à vapeur, tout le monde à poil. Super génial !

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  12. — Il y avait tout ce qu'il faut, mon pote : de la nana, de l'herbe, de la chair, tout le monde en profitait, même un de ces cholos à voile et à vapeur, tout le monde à poil. Super génial !

    OK.

    Je colle et tu peux faire un petit bout de la suite.

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  13. — Et comment sait-on que c'est à cause d'un mouchard ?
    — C'est évident, mon pote, c'est ce mec, le nouveau qui est tombé la semaine dernière. C'est lui, c'est sûr, révéla-t-il.
    — Ils étaient en train de longer la côte, mon pote.

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  14. — Et comment sait-on [tjs ton pb de registre] que c'est à cause d'un mouchard ?
    — C'est évident, mon pote, c'est ce mec, le nouveau qui est tombé [pour « cayó de descanso » ? Tu as trouvé ?] la semaine dernière. C'est lui, c'est sûr, révéla-t-il [supprime].
    — Ils étaient en train de longer la côte [pas encore une image ? Figuré / une expression ?], mon pote.

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  15. — Qu'est-ce qui nous permet de dire que c'est à cause d'un mouchard ?
    — C'est évident, mon pote, c'est ce mec, le nouveau qui a pris quelques jours de congé la semaine dernière. C'est lui, c'est sûr.
    — Ils le harcelaient, mon pote.

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  16. — Qu'est-ce qui nous permet [trop soutenu] de dire que c'est à cause d'un mouchard ?
    — C'est évident, mon pote, c'est ce mec, le nouveau qui a pris quelques jours de congé la semaine dernière. C'est lui, c'est sûr.
    — Ils le harcelaient [expression ; donc, expression], mon pote.

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  17. — Qu'est-ce qui nous dit que c'est à cause d'un mouchard ?
    — C'est évident, mon pote, c'est ce mec, là, le nouveau qui a pris quelques jours de congé la semaine dernière. C'est lui, c'est sûr.
    — Ils le lâchaient pas, mon pote.

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  18. — Qu'est-ce qui nous dit que c'est à cause d'un mouchard ?
    — C'est évident, mon pote, c'est ce mec, là, le nouveau qui a pris quelques jours de congé la semaine dernière. C'est lui, c'est sûr.
    — Ils le lâchaient pas, mon pote.

    OK.

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  19. — Le problème, c'est l'indigo, là, dehors. Il y a des bleus partout.
    — Ils ont trouvé quelque chose sur toi ?

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  20. — Le problème, c'est l'indigo, là, dehors. Il y a des bleus partout.
    [tu as cherché tout ça ?]
    — Ils ont trouvé quelque chose sur toi ?

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  21. Oui, j'ai cherché.

    — Le problème, c'est l'indigo, là, dehors. Il y a des bleus partout.
    — Ils ont trouvé quelque chose sur toi ?

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  22. Oui, l'uniforme actuel de la police cubaine se compose d'un béret noir et d'une tenue bleu foncé.

    — Le problème, c'est la vague d'indigo, là, dehors. Il y a des uniformes bleus partout.
    — Ils ont trouvé quelque chose sur toi ?

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  23. — Le problème, c'est la vague d'indigo, là, dehors. Il y a des uniformes bleus partout.
    — Ils ont trouvé quelque chose sur toi ?

    OK.

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