mardi 13 janvier 2015

Projet Sonita 17 – phrases 342-345

Oye el motor de los autos que pasan a su izquierda; de vez en cuando distingue portones eléctricos y jardines solitarios más allá de verjas gruesas y altas. No hay una banca, un parque, no hay peatones tampoco.
Rumbo de ricos, qué curioso —piensa.
Prosigue en el mismo sentido hasta que desemboca en otra avenida, ésta ya más imponente.

Traduction temporaire :

Il entend les moteurs des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il aperçoit des portails électriques et des jardins solitaires au-delà de hautes grilles épaisses. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. La zone des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche dans une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

14 commentaires:

Sonita a dit…

Il entend le bruit du moteur des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il distingue des rideaux de fer électriques et des jardins solitaires au-délà des grosses grilles hautes. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. Le coin des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche sur une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

Tradabordo a dit…

Il entend le bruit du [pourquoi cet ajout ?] moteur des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il distingue des rideaux de fer [pas des « portails » ?] électriques et des jardins solitaires au-délà [coquille] des grosses [« épaisses » ?] grilles hautes. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. Le coin [ou avec « zone » ?] des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche sur [un moyen de ne pas répéter « sur »] une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

Sonita a dit…

Il entend les moteusr des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il distingue des portails électriques et des jardins solitaires au-delà des hautes grilles épaisses. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. La zone des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche dans une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

Tradabordo a dit…

Il entend les moteusr [coquille !] des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il distingue des portails électriques et des jardins solitaires au-delà des hautes grilles épaisses. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. La zone des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche dans une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

Sonita a dit…

Il entend les moteurs des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il distingue des portails électriques et des jardins solitaires au-delà des hautes grilles épaisses. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. La zone des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche dans une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

Tradabordo a dit…

Il entend les moteurs des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il distingue des portails électriques et des jardins solitaires au-delà des [« de »] hautes grilles épaisses. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. La zone des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche dans une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

Sonita a dit…

Il entend les moteurs des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il distingue des portails électriques et des jardins solitaires au-delà de hautes grilles épaisses. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. La zone des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche dans une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

Tradabordo a dit…

Il entend les moteurs des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il distingue des portails électriques et des jardins solitaires au-delà de hautes grilles épaisses [ça m'embête cette histoire de distinguer des portails au-delà de grilles… Pas super logique]. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. La zone des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche dans une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

Sonita a dit…

Il entend les moteurs des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il aperçoit des portails électriques et des jardins solitaires au-delà de hautes grilles épaisses. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. La zone des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche dans une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

Tradabordo a dit…

Il entend les moteurs des voitures qui passent à sa gauche ; de temps en temps, il aperçoit des portails électriques et des jardins solitaires au-delà de hautes grilles épaisses [j'insiste, c'est qd même bizarre des portails après des grilles // demande son avis à Elena]. Il n'y a pas de banc, pas de parc, pas de piétons non plus. La zone des riches. Que c'est bizarre, pense-t-il.
Il continue sur la même voie et débouche dans une autre avenue, plus imposante, celle-ci.

Sonita a dit…

J'ai déjà envoyé un mail à Elena.
Pour ma part, je pense que le narrateur fait références aux grilles des portails.
Regarde ici l'image d'un de ces "portones" : http://buenos-aires.all.biz/portones-levadizos-g44698

Tradabordo a dit…

Ok… attendons sa réponse.

Elena a dit…

Bonjour,
Un "portón eléctrico" est bel et bien un "portail électrique".
Les "verjas", ce sont celles de la clôture autour du jardin de la maison.
Je paraphrase :
Il distingue des portails électriques et aussi les jardins solitaires qui se trouvent derrière les épaisses et hautes grilles de la clôture.

Tradabordo a dit…

OK, merci. Dans ce cas, ta trad est bonne, Sonita. J'enregistre.