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jeudi 26 février 2015

Projet Émilie 8 – phrases 4-7

A eso de las once cayeron las primeras chispas. Una aquí, otra allá -partículas de cobre semejantes a las morcellas de un pábilo; partículas de cobre incandescente que daban en el suelo con un ruidecito de arena. El cielo seguía de igual limpidez; el rumor urbano no decrecía. Únicamente los pájaros de mi pajarera cesaron de cantar.

Traduction temporaire :
Vers onze heures, les premières étincelles commencèrent à tomber. Une ici, une autre là – particules de cuivre pareilles aux flammèches d’un lumignon ; particules de cuivre incandescent qui heurtaient le sol dans un léger crépitement de sable. Le ciel était toujours aussi limpide ; la rumeur de la ville ne faiblissait pas. Seuls les oiseaux de ma volière cessèrent de chanter.

4 commentaires:

  1. Vers onze heures, les premières étincelles commencèrent à tomber. Une ici, une autre là – particules de cuivre pareilles aux flammèches d’un lumignon ; particules de cuivre incandescent qui heurtaient le sol dans un léger crépitement de sable. Le ciel était toujours aussi limpide ; la rumeur de la ville ne faiblissait pas. Seuls les oiseaux de ma volière avaient cessé de chanter.

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  2. Vers onze heures, les premières étincelles commencèrent à tomber. Une ici, une autre là – particules de cuivre pareilles aux flammèches d’un lumignon ; particules de cuivre incandescent qui heurtaient le sol dans un léger crépitement de sable. Le ciel était toujours aussi limpide ; la rumeur de la ville ne faiblissait pas. Seuls les oiseaux de ma volière avaient cessé [ou passé simple ? J'hésite] de chanter.

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  3. Vers onze heures, les premières étincelles commencèrent à tomber. Une ici, une autre là – particules de cuivre pareilles aux flammèches d’un lumignon ; particules de cuivre incandescent qui heurtaient le sol dans un léger crépitement de sable. Le ciel était toujours aussi limpide ; la rumeur de la ville ne faiblissait pas. Seuls les oiseaux de ma volière cessèrent de chanter.

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  4. Vers onze heures, les premières étincelles commencèrent à tomber. Une ici, une autre là – particules de cuivre pareilles aux flammèches d’un lumignon ; particules de cuivre incandescent qui heurtaient le sol dans un léger crépitement de sable. Le ciel était toujours aussi limpide ; la rumeur de la ville ne faiblissait pas. Seuls les oiseaux de ma volière cessèrent de chanter.

    OK.

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